Thomas est mort parce qu’il était Français de souche.
Brian est mort parce qu’il croyait vivre en France, dans un pays libre.
Ils ne savaient pas que nous étions dans un pays occupé dont nombre d’habitants pratiquent le djihad, contraignant les De Souche, les non musulmans à payer la dîme due aux maîtres musulmans du pays. Terreur, soumission, intimidation, humiliation, viols, blessures, mort.
La dîme porte un nom : la jizya ou impôt de capitation
La fiscalité des dhimmis selon le cadi Abû Yûsuf (mort en 798)
Source : Abû Yûsuf, Kitâb al-kharâj, trad. E. Fagnan, Le livre de l’impôt foncier, Paris, 1921, p. 104, 166-7 et 187-191.
Tout lieu d’habitation des non Arabes qui est conquis par l’imâm et laissé par lui entre les mains des vaincus, est terre de kharâj, et il est terre de dîme s’il est réparti par lui entre les vainqueurs. Ne sait-on pas que les terres des non Arabes conquises par Umar Ibn al-Khattâb et laissées par lui entre les mains des vaincus sont terres de kharâj ? Tout sol non arabe où les habitants ont conclu des traités et sont devenus tributaires (dhimmî), est terre de kharâj.
[…] L’impôt de capitation (jizya) frappe tous les tributaires habitant le Sawâd aussi bien que ceux de Hîra et d’ailleurs, qu’ils soient juifs, chrétiens, mages, sabéens ou samaritains. Font seuls exception les chrétiens des Banû Taghlib et les habitants de Najrân. Elle n’est due que par les hommes, à l’exception des femmes et des enfants, à raison de 48 dirhams pour le riche, de 24 pour celui de condition moyenne et de 12 pour le nécessiteux, le laboureur ou celui qui exerce un travail manuel. Elle est perçue annuellement et peut être versée en nature, par exemple en bêtes de somme ou en effets, qui sont acceptés pour leur valeur, mais qui ne peuvent être ni bêtes mortes, ni porcs, ni vin.
https://comprendrelislam.fr/islam-et-alterite/la-fiscalite-des-dhimmis-selon-abu-yusuf/
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Ce vendredi 8 décembre, en début de soirée, Brian, 17 ans, qui habite Sucy-en-Brie (94), a rendez-vous avec un potentiel acheteur pour vendre un jogging Nike. La transaction a été convenue via la plateforme en ligne Vinted, spécialisée dans la vente des vêtements d’occasion. Le rendez-vous est fixé à Valenton (94), non loin de l’arrêt de bus Lutèce. Brian ne s’y rend pas seul, mais accompagné de trois personnes, son cousin R. (18 ans), son ami C. (17 ans) et le petit frère de C.(16 ans). Pourquoi aussi nombreux ? Probablement pour avoir le dessus en cas de problème et éviter de se faire voler. Mais, manifestement, Brian et ses amis n’avaient physiquement pas l’air assez dissuasifs.
Sur place, ils constatent que l’acheteur n’est pas venu seul. Une demi-douzaine de jeunes gens, décrits comme « de type africain, de grande taille, vêtus de doudoune et de parkas de couleurs foncées », dont l’un porte un masque anti-covid, les abordent à l’arrêt de bus Lutèce. Il s’agirait « de jeunes de cité », indique une source policière.
A la demande de ces derniers, B., son cousin Brian et son ami C., se laissent attirer dans un parc situé à proximité. Une fois à l’écart, le groupe de l’acheteur tente de voler le pantalon, sans payer. En face, le groupe du vendeur cherche à résister, deux d’entre eux prennent alors un coup de couteau, dont Brian, touché à la cuisse, et plus exactement à l’artère fémorale. Il se vide littéralement de son sang et parvient néanmoins à rejoindre la chaussée, comme le laissent à penser les trainées de sang retrouvées sur place.
Trois heures après, aux alentours de 23h20, la police est appelée par une mère de famille en panique dans le quartier sensible dit « des Pologne », à Valenton. Celle-ci indique que son fils, B. K., âgé de 16 ans, pris de remord parce qu’il « aurait fait quelque chose de mal », tente de se suicider en voulant se jeter par la fenêtre depuis le troisième étage. Elle tente difficilement de l’en empêcher. La police fait aussitôt le lien entre les deux affaires. Sur place, la mère ouvre à la police, qui tombe sur un jeune homme dévasté, en pleure, haletant, et qui correspond au profil décrit par les victimes.
Aux policiers, ce dernier indique avoir « fait une bêtise ce soir », et répète « c’est moi », avant de s’enquérir de la santé de la victime : « est-ce qu’il était mort ? ». Il est aussitôt interpellé pour homicide volontaire en réunion et violences par arme blanche. (…)
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Brian avait le sentiment qu’il ne risquait rien, il avait le sentiment que son jogging avait de la valeur. Nous avons le sentiment que Brian est mort par naïveté. Le sentimental Dupont de la république, nous donne le sentiment que nous sommes dépourvus de sentiments.
Chose incroyable, cette affaire est passée hier soir au JT. Ils disent que de plus en plus de guet apens de ce genre se produisent.
C’est quasiment tous les jours maintenant,et partout en France, villes,villages ,et après on nous dit que la France n’est pas un coupe gorges, ben voyons on y croit .
« Trois heures après, aux alentours de 23h20, la police est appelée par une mère de famille en panique dans le quartier sensible dit « des Pologne », à Valenton. Celle-ci indique que son fils, B. K., âgé de 16 ans, pris de remord parce qu’il « aurait fait quelque chose de mal », tente de se suicider en voulant se jeter par la fenêtre depuis le troisième étage. Elle tente difficilement de l’en empêcher. La police fait aussitôt le lien entre les deux affaires. Sur place, la mère ouvre à la police, qui tombe sur un jeune homme dévasté, en pleure, haletant, et qui correspond au profil décrit par les victimes. »
Pas très spécifique des muzz la repentance, je penche pour un blanco décérébré par les muzz du quartier !
Malheureusement, certaines choses déteignent par esprit de dhimmitude, il faut bien survivre en milieu hostile, un syndrome de Stockholm !
Ce genre de tractation nouvelle est du niveau de la piétaille, vendeurs compris. Pourquoi ne pas se donner rendez-vous dans un lieu public comme un bar plutôt qu’un endroit isolé propre aux traquenards ? Surtout que si le vendeur venait avec des amis, c’est qu’il soupçonnait des complications possibles. La bêtise et l’imprudence sont parfois punies. Et par des prédateurs primitifs africains visiblement débarqués de Lampedusa et qui ont bien compris où ils arrivaient. Le maître blanc reviendra, mais ce n’est pas de l’ouest. Au « Retour du roi », la meurtrière plaisanterie historique occidentale sera terminée.
Déjà, ils volent les téléphones portables des kouffars dans les cours des récréations.
Edouard Philippe, dans le Figaro, au sujet de l’assassinat islamique du jeune Thomas: « Il semblerait qu’il y ait un racisme anti-blanc. » Un vrai langage de politicard. Même rase a blanc pour ne plus laisser apparaître son vitiligo, je réponds à ce tartuffe: »Il semblerait, Edouard Philippe que vous nous prenez pour des cons. »
Pffff, encore la faute de l’extrême-droite tout ça !!!
Blague à part, estimez les chances de survie de ce jeune criminel et sa famille si ces faits c’étaient produits en Corse ?
La faute à qui ? est ce que nous nous baladions avec un couteau en France , il y a seulement 10- 15 ans ! les contrôles ne sont plus admis, voulaient certains, car il y avait discrimination au faciès ! ah , oui ! c’est curieux mais c’est exactement ce qui se passe, qui portent des couteaux , pourquoi faire ? alors pour non contrôle nous nous retrouvons dans un pays extrèmement criminogène, mais , là aussi , sans chiffres !! un crimininologue bien connu disait hier que l’OBSERVATOIRE DE LA DELINQUANCE avait été dissous, ( Hollande ou Macron je ne sais plus ) et que ses membres sont directement sous le commandement du ministre de l’intérieur !! pas de chiffres pas de meurtres , disait il ! car les chiffres des coups de couteaux de 120/jour datent de plus de 10 ans , alors aujourd’hui ?
Bien dommage que le fils de la crevure ne se soit pas suicidé, mais en fait c’est pas leur style
Mort pour ça, on voit que la vie humaine n’a que peu de valeur dans la nouvelle France. La France de Macron.
Personne ne dit que l’origine de l’individu et de ses complices est d’origine africaine
Silence radio
Il faut éviter de paniquer les moutons avant de les égorger.