4 Commentaires

  1. Dans le Grand Jury du dimanche 2 juillet, sur RTL, nous avons la bécasse qui ose dire : les Français craignent le chaos si Marine est élue.
    Bardella aurait pu éclater de rire devant tant d’aveuglement.
    Il a gardé son calme et son sangfroid pour faire remarquer à la donzelle que nous y étions jusqu’au cou, dans la merde macronique.

  2. Les Gauchiasses du JDD continuent de pleurnicher et de faire du chantage à la prétendue extrême droite incarner par Mr Geoffroy Lejeune qui est un très bon journaliste et qui mérite de diriger le JDD qui est en déroute et il est là pour le redresser accompagné de son équipe dont Me Charlotte D’Ornellas dans le but de faire renaître le journal avec beaucoup d’objectivité, d’impartialité, d’esprit critique et de pluralisme d’opinions. Si les Gauchiasses du JDD ne veulent pas travailler avec Mr Lejeune alors ils n’ont qu’à aller Chez les Pedo sataniste du Monde, de Libération, du Nouvel Obs, Marianne, BFMWC, LCI, Agence Française de Propagande, Slate et Tutti Quanti qui t’a aller défoncer le gros de Marjane Satrapi l’un de leur soutien pour éviter d’être en contact avec la bête immonde selon eux. Ces Gauchiasses ne supportent la réalité des faits avec le cas du caïd de Nanterre Nahel qui pour eux est un innocent mais en réalité c’est un salopard. Le Gauchisme journalistique tombera en désuétude !

  3. Ceux qui nous représentent sont bien isolés en ce moment. Je croyais que l’affaire de Nanterre et ses conséquences allaient faire pencher le plateau de la balance du bon côté, mais quand je vois les réactions des Français, pas tous, je n’y crois plus beaucoup. Ce n’est pas une raison pour baisser les bras, surtout que ça va exploser d’ici peu de temps. Ce sera l’affaire Abdullah ou Toufik. Au choix. Macron ne peut plus gouverner, il a montré sa faiblesse et son incapacité, ces émeutes l’ont révélé. Les racailles ont testé et sondé le pouvoir.

    • Et oui les Français vont continuer à râler dans les files des caisses de supermarché, dans les bistrots, aux arrêts de bus, etc…
      Mais le changement semble leur faire peur et beaucoup préfèrent s’en tenir à ces équipes de bras cassés au pouvoir. « On n’sait pas ce qui peut arriver ma pauv’dame, mieux vaut t’nir que courrir ».

      Comment on dit déjà chez Lidl ?

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