Mathieu Bock-Côté: «À l’université Laval, à Québec, une offre d’emploi interdite aux hommes blancs»

Les gauchistes et autres islamo-gauchistes mettent en place au Québec une authentique société raciste.

Ça commence dans les facs où ils sont les maÎtres absolus et où il n’y a que les antifas, dans leurs jeux, pour  croire que des « fafs royalistes » organisent quotidiennement « des conférences dans les facs » (sic)

https://resistancerepublicaine.com/2022/12/01/antifa-co-produit-par-les-degeneres-de-la-horde-en-vente-a-la-fnac/

Si nous n’entrons pas en Résistance contre ces gens alors notre société française deviendra infernale.

Vous vous croyez bien à l’abri, en France, de ces délires : c’est oublier que « notre » propre  ministre de l’Education, autrefois Nationale, installé par la crapule Macron, , est un complice actif de ces gauchistes-là.

C’est oublier que -vidéo ci-dessous- le cuistre Eric Fassin développe déjà  dans son b**l universitaire  des thèses  de ce genre relayées par « France-Culture ».

De Mathieu Bock-Côté dans le Figaro :

CHRONIQUE – L’inversion de la définition du racisme par la sociologie universitaire est l’une des plus grandes fraudes intellectuelles de notre temps.

Les programmes de discrimination positive nord-américains s’enrobèrent longtemps d’une forme de précaution rhétorique. Ils prétendaient non pas favoriser en soi les individus issus des minorités, mais les favoriser à condition que ceux-ci soient à «compétences égales» avec un individu provenant du groupe majoritaire. Cette pudeur n’est plus de saison, on l’a vu cette semaine au Canada.

Frédéric Bastien est un historien reconnu. Disposant de toutes les qualifications requises, il a récemment pensé se porter candidat à un poste à l’université Laval, à Québec.

Il a constaté qu’il n’en avait tout simplement pas le droit. Pourquoi? Mieux vaut citer l’offre d’emploi:

«Seules les personnes candidates possédant les compétences requises ET s’étant auto-identifiées comme membre d’au moins un de ces quatre groupes sous-représentés (femmes, Autochtones, personnes en situation de handicap et personne appartenant aux minorités visibles) seront sélectionnées.»

Traduisons pour ceux qui ne sont pas familiers avec ce jargon: les hommes blancs ne peuvent tout simplement pas postuler.

 

Leur candidature ne sera plus seulement traitée avec un a priori très négatif et souvent rejetée: elle ne sera pas traitée du tout.

Ces pratiques, connues, sont rarement contestées.

Car qui espère malgré tout se faire une place à l’université a tout intérêt à ne jamais les dénoncer, sous peine de devenir un paria.

Mais Frédéric Bastien a défié cet interdit et a osé nommer la réalité: en tant qu’homme blanc, il est victime ici d’une discrimination formelle basée sur la race et le sexe. Autrement dit, d’une discrimination raciste et sexiste.

Il brise ici un tabou de l’idéologie diversitaire, prétendant que le racisme antiblanc est une impossibilité théorique, comme l’auraient prétendument démontré les sciences sociales.

 

 

Prétendre le contraire, sans surprise, serait un «marqueur de l’extrême droite». Comme d’habitude.

L’inversion de la définition du racisme par la sociologie universitaire est l’une des plus grandes fraudes intellectuelles de notre temps.

Le racisme se référait historiquement à une doctrine visant la discrimination explicite entre les groupes «raciaux», à partir de leur hiérarchisation et de leur essentialisation.

La doctrine a changé.

La sociologie diversitaire veut plutôt voir aujourd’hui dans la «suprématie blanche» le principe fondateur de l’Occident.

Mais elle se dissimulerait derrière l’universalisme.

Il se dissimulerait aussi derrière l’idéal méritocratique.

Il importe dès lors d’attaquer l’universalisme pour révéler le «racisme systémique» occidental, que l’on dépistera dès qu’on apercevra la moindre disparité statistique entre la présence d’un groupe identifié par la bureaucratie diversitaire dans la population et sa représentation dans tel ou tel secteur d’activité.

Cette théorie se traduit aujourd’hui dans la doctrine «Équité, diversité et inclusion».

La logique du privilège ethnique est institutionnalisée.

Quant au commun des mortels qui doute de cette nouvelle définition du racisme, il faudra le rééduquer.

Et c’est dans cette perspective qu’agit l’université Laval.

Elle entend remplir ses quotas de «racisés» avant d’ouvrir à nouveau certains postes aux «Blancs».

L’université s’est cachée derrière les exigences du gouvernement fédéral pour justifier sa politique de discrimination contre les hommes blancs, car il est vrai qu’Ottawa conditionne désormais l’octroi des chaires et des fonds de recherche à une politique de quotas visant une stricte correspondance entre le poids des différents groupes dans la population et leur poids dans le personnel universitaire.

Mais sur quelle base élaborer ces statistiques?

La composition de la population n’est pas la même à Toronto et à Québec.

Le régime diversitaire pousse à une réingénierie intégrale de la vie universitaire.

On ajoutera que le savoir lui-même, que ce soit en sociologie, en chimie, en mathématique ou en médecine doit œuvrer à la construction d’une société inclusive. Autrement dit, le savoir est idéologisé.

Pour avoir dénoncé ce racisme officiel, Frédéric Bastien a été pris à partie violemment, et diffamé.

Une professeur de science politique à l’université Laval a ainsi dit qu’il était représentatif des «hommes blancs médiocres» engendrés par notre société.

Jamais l’université n’a pensé la sanctionner.

Quel sort lui aurait été réservé si elle avait parlé ainsi d’une autre catégorie de la population?

Disons les choses brutalement: on tend aujourd’hui vers un racisme légal dans les sociétés occidentales: il vise les hommes blancs, tout simplement.

Les autres formes de racisme, touchant les minorités, ne sont pas inexistantes, mais résiduelles, légitimement condamnées et combattues moralement et juridiquement.

Ce qui nous oblige à le redire: l’antiracisme diversitaire qui fonctionne à l’obsession raciale aboutit à un racisme antiblanc

https://www.lefigaro.fr/vox/monde/mathieu-bock-cote-a-l-universite-de-laval-a-quebec-une-offre-d-emploi-interdite-aux-hommes-blancs-20221202

 

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9 Commentaires

  1. Ce qui est très inquiétant, c’est que ce sont les blancs qui sortent ces théories, la folie n’a plus de barrières.

  2. Est-ce que dans cette université merdique la communauté LGBTCUL,etc… est une minorité visible ?
    Mr Frédéric Bastien pouvait se prévaloir de cette  » qualité  » et expliquer, dans son CV, qu’il ne pouvait venir travailler et enseigner que vêtu d’une robe et maquillé, car il se sentait femme jusqu’au bout de  » son maillot épilé « .
    Ce qui pouvait fonctionner c’est venir travailler en djellabah avec un kriss accroché à sa ceinture. Très minorité ethnique non ?
    On a M’conar, ils ont Pruneau, deux minorités dont on se passerait vu leur capacité de nuisance envers les Majorités (hélas trop silencieuses ).

  3. « L’inversion de la définition du racisme par la sociologie universitaire est l’une des plus grandes fraudes intellectuelles de notre temps. »

    Pas très élevé le niveau de sociologie, du même niveau que ceux qui y entrent et qui ont des professions non intellectuelles mais l’esprit très ancré dans le « Social » idéologique, rien d’étonnant donc.

    Depuis le temps que je dis qu’il faudrait re-mettre ce « social » à sa juste place ainsi que ceux qui y professent mais qui ont obtenu de « titres » grâce au fameux « nombre d’années d’études » à la place de « niveau d’études ».

    Bien des gens qui n’ont pas le niveau universitaire sont à la fac avec des diplômes loin de ce niveau, dû à toute cette gabegie. Pour permettre aussi aux universités d’avoir leurs subventions voire habilitation (nivellement oblige comme mixité sociale).

    Ceci produit cela…. et on dit que le niveau baisse…

    Quand on reste intellectuellement au niveau du raz des pâquerettes on produit des idées du même jus. Mais, ce sont ceux-là qu’on écoute, les facilitateurs de « penser en rond », ça arrange bien les politiques.

  4. Le racisme Anti Blanc est une réalité et les Gauchistes des Médias Dominants essaient de dissimuler cette réalité car pour eux et les sociologues d’extrême Gauche le racisme est seulement visible auprès des minorités ethniques qui se disent opprimer mais en réalité ces minorités ethniques qui gonflent les rangs des Islamo Gauchistes et des Antiracistes de pacotilles sont les véritables racistes qui pratiquent la ségrégation contre les blancs avec l’épisode de ce professeur d’université Mr Frédérik Bastien qui postulait à l’université de Laval au Québec a été victime de discrimination en raison de sa couleur de peau ce qui est un scandale . Mathieu Bock Côté nous décrit parfaitement les mensonges et le chantage du Régime diversitaire qui pour exister pratique le racisme à l’envers dans une forme de changement de valeur extrêmement dangereux pour la société Occidentale notamment Française. A bas le régime diversitaire d’Extrême Gauche !

  5. être racisé dans son propre pays est le comble de la perversité du gauchisme dévoyé : imaginons l’inverse: habiter un pays africain et revendiquer la discrimination positive ou le blanc passerait avant le noir pour études et emploi ! les africains ne sont pas aussi malades que l’occident pour oser une pareille perversion

  6. C’est sûr qu’en France c’est pas bien de dire interdit aux hommes blancs, c’est pas beau, c’est caca ! Par contre chez pôle emploi, on inscrit dans les annonces affichées au mur « emplois favorables à la diversité… » Est-on toujours dans le GFDG- grand foutage de gueule

    • Oui cela fait longtemps que je le dénonce, on ne disait pas diversité mais insertion… et quelqu’un qui veut arrondir ses fins de mois par des petits travaux (genre ménage, travaux d’exécution….) est exclu d’office, même plus d’annonces de cet ordre.

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