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Mikheïl Kalatozichvili (en géorgien : მიხეილ კალატოზიშვილი) est un réalisateur d’origine géorgienne né le dans l’Empire russe à Tiflis (actuellement Tbilissi, Géorgie) et mort le à Moscou. Il est célèbre pour avoir réalisé Quand passent les cigognes(Palme d’Or du Festival de Cannes en 1958) et Soy Cuba. Wikipedia
Quand passent les cigognes (titre original russe : Летят журавли, Letiat jouravli1) est un film soviétique de Mikhaïl Kalatozov sorti en 1957. Il s’agit de l’adaptation cinématographique de la pièce de Rozov, Éternellement vivants2. En 1958, le film reçoit la Palme d’or au festival de Cannes.
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La lettre inachevée
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100 % d’accord avec Gérard Boyadjian. Anecdote édifiante : A Cannes, en marge du festival, une actrice américaine, Sharon Stone (celle qui n’a pas de culotte dans le film Basic Instinct) a fait capoter en moins de deux une vente aux enchères qu’elle avait décidé de prendre en main à son idée. Les organisateurs n’ont vraiment pas choisi la bonne « marraine » pour l’événement. Ces acteurs, culottés, quand même ! MDR.
https://www.closermag.fr/people/honteux-inimaginable-sharon-stone-provoque-un-tolle-a-cannes-1580684
Du grand cinéma, dans la lignée des Dostoïevski et Tolstoï.
La puissance de l’âme slave, contrairement au cucul gauchiasse fransouillard.
Le cucul gauchiasse s’est moqué du beauf, mais alors quel ridicule il fait le cucul gauchiasse !!
Ça nous fait des économies de cinéma. De même, retour à la littérature russe passée et contemporaine.
Notamment, on peut relire avec profit, dans « Les Frères Karamazov » ,le chapitre intitulé « La légende du Grand Inquisiteur », qui a des échos dans le monde actuel.
Il n’y a pas photo, les films actuels, à part de rares exceptions, surtout ceux dits sociétaux, sont d’une indigence totale intellectuellement parlant, surtout ceux pleurnichant sur l’horrible sort des immigrés, maltraités par ces horribles Français racistes. Je préfère le cinéma d’avant, quand il y avait une histoire, avec des acteurs talentueux, des réalisateurs du même calibre, au lieu des comédiens actuels, pleurnichards et intimistes. Les grands s’en vont, ne reste que le menu fretin. Ça ne va pas être triste d’ici quelques années.