Le nouveau brevet est sorti, et Bel Kacem qui voudrait faire croire qu’elle est une adepte de l’enseignement traditionnel dont on a la nostalgie eu égard à son efficacité réinvente une remise de récompenses, disparue depuis 1968 !
https://fr.news.yahoo.com/c%C3%A9r%C3%A9monie-contr%C3%B4le-continu-nouveau-brevet-074532527.html
Elle enfonce chaque jour l’école dans le gouffre de l’ignorance, de l’interdisciplinarité, de la disparition de notre histoire et de notre littérature et pour le faire oublier elle parle de dictée, de chronologie… et même de cérémonie pour la remise du diplôme.
Cérémonie uniquement destinée à faire croire aux illettrés, étrangers ou descendants d’étrangers de préférence, qu’ils sont géniaux !
Elle se garde bien d’instituer la même chose avec le bac, et pour cause… Malgré des décennies de voeux pieux, d’interdictions faites aux correcteurs de mettre des mauvaises notes, la création de bacs de tout et de n’importe quoi il y a encore quelques pourcentages de la population française qui ne parvient pas à décrocher le diplôme de référence.
Qu’à cela ne tienne, laissons à ces puants amateurs de latin grec et autres classes européennes les difficultés et le travail et félicitons ceux qui auront glandé toute l’année pour obtenir un diplôme donné automatiquement… celui du brevet.
La preuve ? Facile.
Jusqu’à il y a peu pour avoir le brevet il fallait avoir suffisamment de points au contrôle continu sur 200 et suffisamment de points aux 3 épreuves, français, histoire-geo et maths sur 120. Il fallait donc avoir 160 points sur 320.
Il y avait encore bien trop de déchets… De recalés malgré les notes de sport, musique et art plastique qui comptaient autant que les notes de français, sciences physiques ou maths. Quand on ne fait rien de rien…
Nos estimables ministres de l’Education nationale ont donc décidé d’ajouter une épreuve orale d’histoire de l’art bidon, très bien notée, qui donne un bonus et permette à davantage d’élèves d’obtenir le fameux diplôme qui ne sert à rien…
Cela ne suffisait pas encore… Belkacem a trouvé la panacée
Ainsi, la part du contrôle continu dans la note finale va augmenter, comptant pour 400 points sur 700 et passant de 44% à 57%. Il évaluera l’acquisition des huit champs d’apprentissage du socle commun, selon qu’elle sera insuffisante (10 points), fragile (20 points), satisfaisante (35) ou très bonne (50).
Le brevet actuel s’articule également autour d’un contrôle final. Ce dernier, qui comptait jusque-là pour 56% de la note, voit son importance diminuer. Il comptera désormais pour 300 points : 100 pour l’épreuve écrite de français, d’histoire-géographie et d’enseignement moral et civique, 100 pour l’épreuve écrite de mathématiques, sciences et vie de la terre, physique-chimie et technologie, et enfin 100 points pour une épreuve orale de 15 minutes où l’élève présentera un projet interdisciplinaire. Jusque-là, l’élève passait un oral d’histoire de l’art.
D’abord augmenter l’importance du contrôle continu, sachant que l’on demande aux professeurs de mettre des points pour avoir simplement écrit leur nom sur la copie (je caricature à peine) et ensuite faire de l’interdisciplinarité tous azimuts.
Qui peut imaginer une épreuve sérieuse mélangeant français, histoire-géo et enseignement moral (sic !) et civique ? Qui peut imaginer une épreuve sérieuse mélangeant mats, svt, physique-chimie et technologique ?
Ces mélanges doivent d’ailleurs à la fois à l’objectif de faire disparaître nos élites mais aussi de sacrifier à l’égalité des disciplines, des fois que le prof de techno se sente méprise par la physique, matière noble…
Enfin qui peut imaginer qu’aux deux précédentes épreuves soit ajoutée une autre, de même coefficient, portant sur un projet interdisciplinaire, autrement dit un projet créatif de l’élève, un dossier à la mords-moi-le noeud qui lui rapportera entre 12 et 20 points, forcément… pour ne pas le décourager !
Bref plus que jamais Belkacem se fout de nous et de nos enfants.
Ça se paiera cher.
Christine Tasin
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Le niveau scolaire et d’études est devenu catastrophique, j’ai souvent des contacts avec de vieux professeurs notamment d’Université à la retraite, tous le disent… et les universitaires, de plus, ont des charges administratives si énormes qu’on peut se demander si les gens ayant une culture classique dans ce pays ne sont pas en voie d’extinction à très court terme. On n’a plus le droit de penser, de réfléchir, dans les lieux où ce devait être possible parce qu’on n’a plus le temps de le faire. Des logiques d’entreprise intègrent trop les services publics, par exemple des prospections de type commercial pour faire venir des personnes à des colloques de Faculté. Et comme souvent le personnel administratif est incompétent, ne sachant aligner trois mots correctement, ce sont des enseignants ayant des doctorats qui doivent faire le petit boulot, courriers administratifs en tous genres notamment…
A tous ceux qui le peuvent : privilégiez l’école à la maison.
Bel Kacem est le porte étendard de l’inculture programmée.
Pourquoi de plus en plus de décideurs, quand ce ne sont pas des ministres, sont issus de l’immigration? Posons nous la question.
Ils enfoncent la France dans la misère, la violence et la médiocrité et sont de grands adeptes de la préférence étrangère.
écoeurant!!!
» (10 points), fragile (20 points), satisfaisante (35) ou très bonne (50). »
On notera qu’il n’y est pas prévu de niveau d’excellence. Pour ne pas stigmatiser, encore ?
Il faut se mettre au niveau des étrangers qui n’en branle pas une et perturbe la classe bien souvent par la terreur. Quand mon fils était au lycée en première ,le jour de la rentrée, un arabe marocain à dit à toute la classe que celui qui aurait un 20 se ferait tabasser par lui. Mon fils lui à répondu qu’il comptait bien en avoir plusieurs et quand il a eu un 20 assez rapidement il est allé le lui montrer en lui disant que s’était quand t’il voulait et ou il voulait.le parasite n’a rien dit. Mon fils était à l’époque ceinture marron de ju-jutsu. L’arabe c’est mis au fond de la classe et na rien foutu de l’année. Mon fils s’était étonné de le voir en première. En terminale il avait disparu.
99.99%, cela ne change sans doute pas beaucoup, j’ai ete le seul a echouer au brevet sur une division de 250 😉 (je me suis ameliore depuis)
Oui mais… Quel âge avez-vous ?
Moi j’ai 42 ans, je l’ai eu mon brevet, mais le pourcentage de recalés était bien plus important, même si je n’ai pas les chiffres en tête (et en plus ça varie selon les académies, et donc, les ordres donnés aux correcteurs ! )
42 et je crois que personne n’avait echoue les annees precedentes