Nous l’avions appelée Françoise lors de la publication de son histoire (lire nos éditions du 12 juillet 2021). Françoise, institutrice, a enseigné entre 1985 et 1991, notamment à temps partiel à l’Établissement régional d’enseignement adapté (Érea) pour les deux dernières années scolaires. La jeune femme s’est aperçue qu’elle n’était pas à sa place. « Je ne savais pas comment il fallait s’y prendre », confesse-t-elle.
À 26 ans, elle entame des études de médecine et obtient son doctorat. Elle devient interne en médecine générale, travaille dans différents hôpitaux, part en Outre-mer exercer son art puis revient en France.
Elle ne démissionne cependant pas de l’Éducation nationale et, grâce aux disponibilités qui lui sont, chaque année, accordées, elle poursuit sa carrière de praticienne tout en restant dans le tableau des personnels de l’Éducation nationale.
En juin 2021, les instances académiques refusent de renouveler la disponibilité de Françoise, âgée de 59 ans.
On lui explique qu’elle ne peut aboutir en raison d’un sous-effectif chronique de professeurs des écoles.
La quinquagénaire, qui travaille en qualité de médecin-conseil à la Sécurité sociale, dans un département en province, a poussé la stratégie de l’Éducation nationale jusqu’à l’absurde.
En passant la visite médicale et en acceptant en deux temps un poste à l’école Damien-Allard-Jules-Ferry à Poitiers. Jusqu’à hier, mercredi, dans le cadre de la prérentrée. « Le directeur m’a appelée s’inquiétant de ne pas me voir, rapporte-t-elle. J’ai voulu aller jusqu’au bout du processus de nomination pour démontrer la légèreté du système. »
Jusqu’à envoyer un mail pour une formation de remise à niveau. Aucune réponse, juste un coup de fil d’une conseillère pédagogique « pour me dire qu’elle m’accompagnerait. Si je ne prends pas conscience de m’arrêter l’administration est prête à me laisser reprendre le travail ».
Ajoutant: « Elle ne sait rien de moi, ne connaît pas mon casier judiciaire, je pourrais être une institutrice traumatisante. Je suis plus raisonnable qu’eux en refusant ce poste. Et ce n’est pas une question de salaire, s’il avait été le même que le mien actuellement, je n’y serais pas allée. »
L’institutrice médecin ne fera donc pas la rentrée aujourd’hui à Damien-Allard-Jules-Ferry. Elle incite les parents à être « vigilants » et « partie prenante de l’Éducation nationale » afin de veiller à l’égalité des chances.
L’ancienne institutrice ne comptera plus prochainement parmi les effectifs de l’Éducation nationale: « Je vais être radiée du corps enseignant. »
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on ne dit plus éducation l’on dit garderie!D’ailleurs l’on n’enseigne plus l’on éduque enseignement primaire et secondaire ont disparu au profit de l’éducation primaire et secondaire Voyez notre enseignement n’existe plus vive les socialos !Alors il va falloir que vous évoluiez ou vous reçycler!C’est le nivellement par le bas proné par les socialopes pour ne pas traumatiser les immigrès musulmans qui n’en veulent pas!
Et la viauque casse des assiettes à 500 euros pièce…
On notera que ce médecin en disponibilité de l’ÉN, ne percevait ni salaire ni point pour la retraite pour son non emploi de prof. Elle aurait été inspecteur des finances ET ministre, elle aurait cumulé les deux…
J’ai connu une prof d’histoire qui n’avait jamais entendu parler de la bataille de Tolbiac ……Faut pas s’étonner qu’il sorte des bourriques de leurs écoles , remarquez la plupart de ces bourricots se foutent royalement de la France et de son histoire !
1968 a commencé à rendre l’Education Nationale complètement folle! Et c’est allé en s’aggravant.
N’importe qui peut devenir prof… comme n’importe qui peut devenir chef d’État ou n’importe quel raté devenir ministre.
En en a quelques preuves vivantes.
Parmi les mesures démagogiques qu’a proposées l’Education Nationale – je ne me souviens pas de quelle année il s’agit, ni de quel ministre – ,il y a eu cette perle: une mère de trois enfants (et plus) pouvait ipso facto enseigner en primaire, quel que soit son niveau d’études.
Devant le tollé général, l’Etat a fait machine arrière.
Il en reste cependant une dispense de diplôme pour les parents de 3 enfants : https://www.leparisien.fr/societe/les-parents-de-trois-enfants-dispenses-de-licence-27-04-2005-2005901898.php
Et on se demande pourquoi la France part en sucette? C’est le bordel total dans les services de l’état à force de nommer les copains des copains aux postes de responsabilité on se retrouve avec des incompétents notoires aux plus hauts niveaux de l’administration, des incompétents très grassement payés cependant et qui n’auront jamais à assumer leurs conneries.. Pas belle la France de Macrocon!!
Ils ont qu’à faire des écoles coraniques, et prendre des imans qui leurs feront fumer du coran toute la journée on aura la paix pendant ce temps là, et raser les écoles de la République, et faire appliquer la charia, tu voles on te coupe la main, tu fumes du chinchon on te décapite, il va y voir du boulot dans la cité
Allez en avant
Le forgeron du village va se faire les burnes en or a forger et aiguiser les sabres , entre les fumeurs de chichon et les voleurs on est bien équipés !!
Il faut refirmer toutes les administrations et virer toutes ces têtes de hauts fonctionnaires de glandus payés à ne rien faire..
Comme quoi on est au milieu de fous dans un monde de fous gouverné par des baltringues qui ont comme ministres que le nom. Bref de sinistres incompétents.
Tout le reste de l’administration est à l’avenant dans ce pays, sauf celles qui s’occupent de te faire cracher ton pognon et celle qui te retire des points sur le permis de conduire.
Le fisc m’oblige à payer la taxe foncière ET la taxe d’habitation…..
1800 euros ! Ma retraite culmine à 1000 Euros /mois !!
Mohamerde macron avait promis d’enlever la taxe d’habitation….. Vous souvenez-vous ?????
Je vais vendre ma maison, charger un semi remorque et rouler vers le Portugal.
Comme cela vous ferez partie des plus de 150 000 français qui quittent la France chaque année !
On a la preuve après plus d’un siècle de dirigisme étatique de la faillite de ce système.
Le droit public protège moins bien les citoyens que le droit privé.
Pas d’exception d’inexécution (mécanisme permettant de refuser de payer sa dette – l’impôt en l’occurrence – si le cocontractant n’accomplit pas une prestation satisfaisante) malgré les scandales d’Etat innombrables.
Et un statut des fonctionnaires qui les protège moins désormais que le droit du travail à cause des grands principes du service public (dont l’adaptabilité, la mutabilité du service public).
Les traitements sont plafonnés alors que dans le « privé » (surtout quand il y a en réalité un monopole ou des ententes concurrentielles puisque le droit de la concurrence est un leurre), des gens s’en mettent plein les fouilles en exploitant des marchés juteux.
Ils ont réussi à torpiller cette belle idée qu’était l’intérêt général, le service public, le bien commun… à tarir les vocations.
Tout est à repenser et à remettre à plat…
Je suis on ne peut plus d’accord avec vous. Fonctionnaire moi-même, je suis pour la suppression du statut. Je suis intimement convaincu que, loin d’être une protection pour les agents du secteur public, c’est un carcan qui contribue à la mauvaise gestion des ressources humaines de l’administration. Il faut y mettre fin, sauf évidemment, pour les fonctions régaliennes de l’Etat : justice, police, armée, diplomatie.
Par ailleurs, la sécurité de l’emploi n’est plus un argument suffisant pour attirer les talents. Aujourd’hui, la fonction publique ne fait plus rêver.
J’ai aussi choisi la fonction publique où j’exerce une mission d’encadrement car il ne faut pas que la France soit gangrénée jusqu’à la moelle par nos ennemis mais je le vis comme un sacerdoce. Souvent je me dis que j’aurais mieux fait d’être égoïste et d’aller vers des métiers du privé mieux rémunérés et qui m étaient accessibles, mais ce n’était pas dans ma trajectoire de vie, j’ai trop le sens de la justice et de l’intérêt général pour cela. Certains ne l’ont pas comme le sieur macron qui a fait fortune dans la finance
Re-bonjour cher collègue !
Eh bien moi j’en ai ma claque de l’administration. C’est la raison pour laquelle il y a quelques années j’ai repris des études de droit et obtenu récemment un master 2 en droit privé. Cette année, je compte tenter l’examen d’avocat. Attention, je ne suis pas naïf. Je sais pertinemment que tous les avocats ne roulent pas sur l’or et ma motivation n’est absolument pas pécuniaire. Si un jour j’exerce ce métier, ce ne sera pas pour m’en mettre plein les poches (d’ailleurs, je déteste le droit des affaires !).
Simplement, j’espère pouvoir accomplir un vieux rêve, car servir l’Etat ne m’intéresse plus. A l’heure où toutes nos libertés sont de plus en plus attaquées, j’espère pouvoir un jour porter la robe pour les défendre. Qui vivra verra…
et aussi dans les « piquouzes »Il a travaillé pour rotshill !Mais quels fonds privés ont payés sa campagne?car il a beaucoup touché pour sa campagne et c’est déductible des impots, eh oui les élus font la loi comme cela les arrange!bref nos élus travaillent pour eux pas pour nous!
quand on vit dans un pays où certains secteurs sont contrôlés et gérés par les cartels de la drogue avec check point et contrôle d’identité , quand on vit dans un pays où même la police se fait canarder , un pays ou la plupart de la classe politique est corrompue jusque a la moelle faut plus s’étonner de rien , bientôt la chute finale !
Je pense que nombreux vous suivront!