Les musées choisissent de s’adapter au « nouveau public » : c’est une défaite.
Les visiteurs des musées étant a priori plus éduqués que la moyenne, cette nouvelle en dit long sur le niveau général de la population.
Nous sommes bien dans la société du moindre effort et l’abrutissement de la masse est bien avancé.
Louvre, Carnavalet…
Quand les musées renoncent aux chiffres romains
Certains musées ont pris cette décision au motif qu’un nombre grandissant de visiteurs ne sait plus lire la numérotation antique. Une renonciation vaine pour les défenseurs de la culture classique.
Certains musées renoncent à la numérotation antique, au motif que les étrangers et une majorité de Français ne savaient plus les déchiffrer.
«À mort Louis-croix-vé-bâton», s’exclamaient Les Inconnus dans leur sketch sur la Révolution française. À l’époque, le public s’esclaffait devant la bêtise du collégien en bonnet phrygien. Trente ans plus tard, la difficulté de certains à reconnaître, et donc à maîtriser, les chiffres romains a quitté l’humour pour devenir un sujet très sérieux.
Après quatre ans de travaux et une refonte complète de son parcours consacré à l’histoire de Paris, le Musée Carnavalet a décidé de les supprimer purement et simplement d’une partie de ses cartels. Il suit, à quelques années de distance, le Louvre qui a déjà renoncé à la numérotation antique pour désigner les siècles, au motif que les étrangers et une majorité de Français ne savaient plus les déchiffrer. Au Louvre, les rois ont tout de même gardé leur privilège, et on continue de croiser des Henri IV ou des Louis XIV. Ce qui n’est plus forcément le cas à Carnavalet, où l’on peut apercevoir des Louis 15 et des Henri 4 – ce qui pique un peu les yeux.
« Nous faisons tous le constat que les visiteurs lisent peu les textes dans les salles, surtout s’ils sont trop longs. Ils ont aussi tendance à zapper et à picorer »
Noémie Giard, responsable du service des publics au Musée Carnavalet
Le mouvement simplificateur part d’un bon sentiment qui consiste à vouloir parler au plus grand nombre. En dehors des Latins, bien peu d’étrangers savent capter la mention XVIIe ou XIXe siècle au premier coup d’œil. Et, côté Français, public que les musées cherchent à attirer au-delà des cadres supérieurs ou des enseignants, plus personne n’est sûr de rien.
La version espagnole de tous les panneaux du musée Carnavalet comporte systématiquement des chiffres romains car «en Espagne, ne pas les utiliser est considéré comme une faute d’orthographe»
Alors comment s’y prendre pour ne pas apparaître comme trop savant, voire rébarbatif? Profitant des quatre années de travaux, la direction a chargé le service des publics de revoir tous les textes, un chantier au long cours qui a visiblement coûté beaucoup de sueur aux équipes – il n’y a rien de plus compliqué que la simplification. Ce dernier a abouti à un raccourcissement et une simplification des écrits, ainsi qu’à un système de cartels à trois niveaux. Ceux présentant une salle (1000 à 1500 signes maximum) et ceux destinés aux enfants (500 signes) font appel aux chiffres arabes pour les siècles et aux romains pour les rois.
Henri 4 ou Louis 14
À côté de ces panneaux, s’ajoutent des lutrins dits «d’accessibilité universelle». Placés à hauteur d’enfant, composés de phrases courtes (300 signes en tout), de dessins tactiles ou d’inscriptions en braille, ils s’adressent à tous ceux que l’écrit rebute. Et c’est là que l’on voit défiler Henri 4 ou Louis 14. «Nous ne sommes pas contre les chiffres romains, mais ils peuvent être un obstacle à la compréhension», souligne Noémie Giard, qui poursuit en guise d’argument massue: «Combien de fois avons-nous vu des parents lire les explications en principe dédiées aux enfants?»
« Les élèves baignent dans la culture gréco-romaine qui est ludique, mythique mais aussi prestigieuse »
Robert Delord, enseignant et vice-président de l’association Arrête ton char
Ironie de l’affaire: la version espagnole de tous les panneaux du musée comporte systématiquement des chiffres romains – pour les rois comme les siècles – car «en Espagne, ne pas les utiliser est considéré comme une faute d’orthographe». La responsable des publics affirme avoir hésité à franchir le pas, sentant bien que la disparition, même partielle, de la numérotation antique, allait créer des remous. Las, c’était sans compter l’avènement de la méthode Falc (facile à lire et à comprendre), acronyme issu d’une charte éditée par l’Unapei (la fédération qui regroupe les associations de défense des personnes handicapées), méthodologie européenne datant de 2009, et qui est en train de gagner ses lettres de noblesse dans les musées. Conçue au départ pour les personnes dyslexiques ou souffrant de handicaps, elle préconise l’usage d’un vocabulaire simple, ainsi que l’absence de références implicites.
C’est d’ailleurs au nom de cette charte que les musées de Rouen ont eux aussi suggéré l’abandon des chiffres romains pour la prochaine exposition du Musée des beaux-arts de Rouen autour du Salammbô de Flaubert – demande à laquelle le directeur, Sylvain Amic, n’a pas accédé car, dit-il, «le musée est sans doute un des lieux où on peut continuer à les faire vivre et à les expliquer». Et puis, pouvait-il capituler alors qu’il est grand amateur du XV de France?
Le musée Carnavalet a choisi de bannir les chiffres romains d’une partie de ses cartels pour les rois comme les siècles.
Évidemment, le retrait des chiffres romains consterne historiens et latinistes, qui triment comme des beaux diables pour porter haut la culture antique et l’apprentissage des langues anciennes. «C’est l’histoire de la poule et de l’œuf: moins on les verra, moins on les maîtrisera», constate François Martin, enseignant et président de la Coordination d’enseignants en langues anciennes (Cnarela). Le plus triste, selon lui, «c’est que les enfants adorent apprendre les chiffres romains en primaire, car ils prennent cela comme un jeu».
Leur lecture, au moins jusqu’à trente, reste facile, et seules les dates donnent du fil à retordre aux élèves, comme à tout le monde d’ailleurs. Mais ces fameuses inscriptions à rallonge, mémoire d’un monde venant de loin, sont pourtant absentes des musées et ne se voient que sur les murs des monuments ou aux frontons des églises.
Plus largement, les latinistes déplorent la disparition d’un symbole renvoyant à une période adorée des jeunes. «Les élèves baignent dans la culture gréco-romaine qui est ludique, mythique mais aussi prestigieuse», explique Robert Delord, enseignant et vice-président de l’association Arrête ton char.
Outre Astérix et Obélix, ou la collection Les Petits Mythos, très prisée des 10-12 ans, jeux vidéo, films ou séries se chargent d’entretenir la flamme du chiffre romain. Dommage que Sylvester Stallone, à qui l’on doit Rocky II, III ou IV, ne soit pas un Parisien – il aurait peut-être réussi à porter cette inflexible numérotation jusque dans les lutrins de Carnavalet!
Cette action participe d’un abaissement général de tout ce qui fait la culture classique française et européenne.
Ce n’est pas en brisant toutes les traditions que l’on redonne confiance dans l’identité nationale et dans son avenir. Au contraire.
On ne fait que susciter la perte des repères, le dégoût de soi, la crainte du futur.
Il n’existe pas de savoir sans effort.
Ce n’est pas parce que l’on simplifie une langue, une écriture, une chronologie historique, que l’on rend les enfants mieux alphabétisés ou plus cultivés.
Au contraire !
On ne favorise que l’imprécision, la superficialité, l’ignorance.
La meilleure preuve en est que les écritures les plus difficiles du monde se trouvent en Chine, Corée, Taïwan et Japon. L’apprentissage lecture et écriture s’étale sur dix ans.
Pourtant, ce sont les pays du monde ayant les plus forts taux d’alphabétisation et de diplômés supérieurs.
Dans le délire d’autodestruction qui s’est emparé du monde occidental, va-t-on aussi « simplifier le solfège » en retirant les notes ré et sol, et « déraciser » les partitions en supprimant la distinction notes noires et blanches ?
Au bout de ce chemin, c’est Mozart qu’on assassine.
François Asselineau
Jeu pour lire les chiffres Romains
Capture d’écran
Jeu à imprimer pour apprendre les chiffres romains
En jouant à ce jeu de société à imprimer, les enfants entrent dans l’univers des légions romaines de l’antiquité. C’est un jeu de bataille romaine avec des légionnaires qui utilisent leurs armes comme le pilum (lance) et le scutum (bouclier). Ce jeu habitue les enfants à lire les chiffres romains. C’est une manière d’apprendre les chiffres romains en jouant. Dès la première partie, les enfants apprennent à lire les chiffres romains jusqu’à 10.
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Arrêtons de couper les cheveux en IV !
Cessons de nous raccrocher à des archaïsmes !
Ne craignons pas l’unification tournée vers l’avenir !
Si l’on veut vraiment être irréprochablement scientifique, il faut un seul système de numération, celle qui est liée au progrès : la notation scientifique !
Ainsi, Louis 1,8.10¹ devint roi de France en 1,814.10³.
Bonjour,
Excellent !! :=)
On pourrait choisir aussi la base 2 : utile pour ceux qui n’ont que deux neurones …
La bêtise progresse, progresse comme une marée montante
Après la distribution généralisée du baccalauréat à tous les illettrés,
bientôt la distribution généralisée des : licence, masters, doctorats ?
de préférence aux « sociaux-racisés » qui auront composé leurs œuvres en écriture inclusive ?
La merde : la grosse merde collante et puante a de l’avenir en France.
« Ah, ah, ah, ah
Eh la fauchonne conne d’you mouloud
Lavabo trottoir mouloudji
Merde in France (cacapoum, cacapoum)
Eh la fauchonne conne d’you (cacapoum, cacapoum)
He’s a book euh he’s a na, he’s a tripe book euh na
Merde in France (cacapoum, cacapoum) » Jacques Dutronc
Mais oui nivellement par le bas ,il ne faut pas qu’ils se fatiguent à apprendre les chiffres romains voyons ,trop fatiguant pour certains ça ferait surchauffer leur petite cervelle grosse comme un petit pois .lamentable .
Toujours le nivellement par le bas ! et le bas, ça va jusqu’où ?
Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? ce sont les musées qu’il faut abandonner, puisque les visiteurs n’y comprennent rien…
j’ aime bien le roi Louis xiv
Je me souviens d’une courte remarque d’un Pr. Paris dont je ne sais que le nom, rencontré dans un couloir de la Sorbonne à la sortie d’une réunion savante dont je n’étais qu’un modeste auditeur. La voici, en substance : « Quel dommage que l’Église ait abandonné le latin ! Autrefois, les simples curés le comprenaient, et il était familier à beaucoup de fidèles… »
Mais pour aller vers les gens ordinaires, ne devrait-on pas imposer à tout intervenant public d’éviter les sigles, ou tout au moins d’en donner aussitôt la signification en clair ? Q.E.D. Quod erat demostrandum, que je ne traduis pas pour une agrégée de lettres classiques, mais pour le Français moyen : C.Q.F.D. Ce qu’il fallait démontrer.
C’est bien triste mais de toutes façons nos CPF
ne sauront pas plus lire nos chiffres antiques que nos chiffres actuels sauf au allocs.
J’en déduis donc que dans l’aile Égypte antique
il va falloir traduire les hiéroglyphes pour nos
« Vulgarus crétinus » d’importation.
PS:j’espère que c’est une blague.
Cette tendance simplificatrice est parfaitement conforme à celle inventée par Orwell sous le nom de novlangue, dans son terrible roman « 1984 ».
Le but est de simplifier la langue à l’extrême afin de ne plus être capable d’exprimer des sentiments, ce qui concourrait à la résistance à l’oppression.
Les profs en avaient marre d’entendre Momo ânnoner « Louis Croix Vé Bâton » pour « Louis XVI » (Voir le sketch des inconnus).
Adaptons notre intelligence à celle des cons….
Il y a des décennies, Yvan Audouard, écrivain et chroniqueur au Canard enchaîné du temps où le palmipède avait encore de l’honneur et de l’impertinence, déclarait qu’on n’avait jamais mis autant de moyens, d’énergie et d’intelligence au service de la connerie qu’à son époque. Le pauvre, s’il était encore là, il n’en reviendrait pas !
Oui Hoplite, à ce niveau de bêtise crasse (et qui de plus, se généralise en nous étant imposée ) peut-être vaut-il mieux en sourire qu’en pleurer.
A ce sublime Louis Croix-vé-bâton on peut accoler cette réponse d’un autre élève (du même « type » que celui que vous évoquez), qui, à la demande son professeur d’histoire qui avait demandé à quel souverain avait été décerné le qualificatif de Roi Soleil, avait répondu : « monsieur Quatorze ».
Finalement, de dégoûts en dégouts, je me résigne à mourir bientôt en regardant avec amusement notre monde occidental aller également vers sa propre mort, bien méritée. Notre Crépuscule des Dieux.
Dans dix générations ils seront revenus a la marche a IV pattes et aux grognements Seule une élite saura lire écrire et compter
Trop fainéants pour apprendre à lire.
Et encore ça concerne ceux qui fréquentent les musées vous imaginez le niveau de la fange qui vit du trafic de shit et drogues diverses . Le phénomène n’est cependant pas nouveau , j’ai connu dans le passé ( 20 ans ) un établissement de location de vacances qui numérotait le cul des bouteilles de gaz avec des chiffres romains afin de prévenir des échanges par des petits malins( vide a la place de pleine pendant votre absence ) , c’était justement a cause du fait que personne ou presque ne savait ce que ça voulait dire .
Apprenez à compter en vermicelles pour vermisseaux.
J’ai appris les chiffre romain au cours moyen en première année. Méééééé maintenant il vaut mieux parler de mahomet que des chiffres romain, pour faire plaisir à la diversité qui ont rien à foutre de notre histoire. Le niveau scolaire baisse de plus en plus et maintenant il creuse.
C’est une défaite oui, mais pas celle des musées, c’est la conséquence directe de l’impéritie de l’EN.
Une honte encore ! notre Culture s’enfuit à pas de géant …
J’aimais bien le Louis croix vé bâton
oui et moi Louis X baton V que l’on s’acharné a dire cradoc ,alors qu’il prenait des bains coquins dans un bassin(grande baignoire)en marbre avec sa Montespan : )
C’est après avec la Maintenon que ça s’est gâté! Il parait qu’elle sentait fort le renfermé! Et ça a du déteindre sur le roi, car elle déclarait qu’il ne sentait pas bon.
Juste pour m’abonner aux posts, ce que j’ai oublié de faire à l’instant.
Excellent article. Et surtout, dramatique article.
Le symbole français qui a fait notre réputation dans le Monde entier était « Liberté, Egalité, Fraternité ». Désormais, il est : « Tout vers le bas, Immigration massive, Faillite économique, Déni permanent »
Le niveau d’enseignement est tel que nous prenons toutes les dernières places dans beaucoup de domaines dans les classements internationaux. Nous savons que le bac est descendu au-niveau de 3ème et que, malgré cela, on reçoit d’office la moitié des élèves qui ne l’auraient même pas avec une notation réelle.
Ton article est dans le même esprit que celui que j’avais écris sur RR le 31 octobre 2020 et intitulé : « Je ne sais pas lire ni écrire ? Macron me donne les infos covid en « français simplifié» !. Certains sites officiels ont maintenant deux versions : la normale et la même écrite essentiellement en dessins compte tenu de la chute d’instruction effroyable et l’invasion massive de chair islamiste qui ne sait, et ne veut pas apprendre à lire et à écrire..
Cosmique la chute de ce pays, l’abaissement permanent toujours et partout. Les derniers, comment ça s’appelle déjà cette autocongratulation débile, ah oui, les césars (pas de C), donc ces derniers césars d’il y a quelques jours, nous ont servi de baromètre de ce nouveau pays qui en a chassé un autre anciennement appelé France.
Et tout aussi effroyable, inconcevable et inacceptable la passivité du peuple français que, nous le savons depuis 50 ans, rien, rien, absolument rien, ne fera bouger, même pas un génocide organisé de 30 000 morts dans son propre pays avec ses propres congénères.
Jamais, jamais de ma vie, je n’aurai cru voir de telles chute et décadence du pays dont j’étais si fier et dont j’ai la plus grande des hontes aujourd’hui (enfin, aujourd’hui, depuis 40 ans maintenant…).
Bonjour @Cachou
Et c’est pire avec le Covid !
Car, désormais, la notation se base sur le contrôle continu qui avantage les lycées-poubelles puisque l’obtention du Bac n’est plus conditionné à un examen national et anonyme basé sur les apprentissages de l’année.
« Comme le bac 2020 s’est déroulé en contrôle continu en raison de la crise sanitaire, les résultats des bacheliers ont été stratosphériques. Avec 760.800 candidats et 723.000 bacheliers, le taux de réussite au bac 2020 a été de 95 % contre 88,1 % en 2019, soit une augmentation de 6,9 points. Pour le bac général, le taux de réussite est monté à 97,6 %, contre 91,1 % en 2019 (+ 6,5 points). Dire qu’ils n’étaient que 60 % à le décrocher en 1960… »
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/classement-des-lycees-2021-le-covid-chamboule-les-chiffres-mais-le-prive-reste-largement-en-tete-20210317
Dans un lycée privé dont le but est, généralement, d’obtenir un bon palmarès, on a tendance à être plus exigeant au cours de l’année et plus sévère dans la notation. Du coup, le bac au contrôle continu risque de tirer vers le bas ces établissements afin de s’aligner sur l’enseignement public.
Par effet boule de neige, on peut s’attendre au même résultat à l’université : les bacheliers médiocres l’envahiront, faisant baisser le niveau général de la licence. Et bien sûr, pour obtenir de bonne notes, il faudra se plier à la doxa gauchiste-indigéniste-néoféministe à écriture inclusive !
Ce que tu dis est parfaitement exact.
On risque de voir des établissements scolaires de hauts niveaux refuser quelques élèves au bac, pour cause de contrôle continu insuffisant, alors que la racaille de Sarcelles va l’avoir. En effet, si des profs mettent des mauvaises notes à la racaille, ils sont menacés d’agressions, voir de décapitations par les parents. Et comme l’administration de l’EN s’aplatie totalement devant l’islam et lâche ses rares profs qui ne rentrent pas dans le moule islamogauchiste, on arrive à cette merveilleuse conclusion dont la France à le secret :
Conclusion :
On va faire, avec la racaille, que des médecins, architectes, avocats et ingénieurs ne sachant ni lire, ni écrire, ni compter.
J’avoue n’avoir jamais pensé à ce système fantastique mis en place par 50 ans d’islamogauchisme.
C’est, que dans ce bon pays, l’adage « En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées » est formidable de vérité et encore d’actualité.
Ou ne serait-ce pas plus insidieux, remplacer les chiffres romains par les chiffres dits arabes? Vu le contexte actuel… Post scriptum, je connais de jeunes élèves qui ne savent pas lire l’heure sur une montre! D’ici à ce qu’ils perdent le nord…
Décidément, on en a apprend tous les jours ! Merci à Jules Ferry de me donner le cafard dès le matin…
De toute façon, je le vois bien autour de moi : l’EN ne pousse pas vers l’excellence mais la médiocrité. Mot d’ordre : « ne pas ennuyer l’apprenant ».
Et puis remplacer l’histoire et la géographie par l’idéologie islamophile du vivre-ensemble et l’écologisme (aucun élève ne connait 5 sommets ou 5 fleuves de France mais sait tout de la pollution dans les pays pauvres)
Et puis, maintenant, le dada de l’EN, c’est le tout-numérique : des tablettes Apple à 500€ (on doit les louer chez nous) pour, par exemple, faire des exercices de géométrie avec les doigts ou… regarder des vidéos YouTube de Norman ou jouer en ligne.
Noémie Giard, rien que le prénom on devine la bonne « bobo » de base.
allez, un petit effort et dans 500 ans les hommes retourneront dans les cavernes ou plutôt les cases ! car les blancos auront certainement disparu de la surface de la terre…
Ralbol : 500 ans ! Vous voulez rire !
Au train où vont les choses, attendez vous à ce qu’il faille beaucoup, beaucoup moins que ça ..
2 milliards de blacks à l’horizon 2050…
Ça va déménager, la France en prendra bien un p’tit 100 millions, ah non, trop peu, allez, un p’tit effort, mettons 200 millions. Ça a déjà commencé … et ça continue tous les jours, et nos gauchos viennent les chercher. La nef des fous…
Bien avant , la charia après l’oligarchie plus vite que vous ne pourriez le penser !