Il nous reste à nous constituer en communauté pour ensuite réclamer le statut de peuple autochtone

Je ne vois pas d’autre solution que la constitution des autochtones français ou européens d’abord en communauté pour ensuite réclamer le statut de peuple autochtone dont la culture doit être préservée sur le modèle des Tsiganes, Juifs et d’autres.

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Cette idée n’est pas de moi mais issue du blog autochtonisme. L’auteur de ce blog a déjà travaillé sur le dossier préparatoire à présenter à l’ONU. Je sais bien que cela peut paraître illusoire, mais il faut se raccrocher à toutes les branches qui existent. Mais déjà, il faut peut-être – et l’élection américaine y est propice – que tous les peuples autochtones européens ou d’origine prennent conscience de la menace qui pèse sur leur culture de religion chrétienne et de culture gréco-romaine et fassent du lobbying comme les autres minorités. Ils doivent également prendre conscience que le métissage pas encore obligatoire mais implicitement fortement recommandé (discours de Sarko à l’école polytechnique en 2017) ou débat récent Chevénement/Zemmour) est l’arme de destruction fatale des mondialistes contre les nations en s’attaquant à la notion de lignée, sur laquelle repose le sentiment d’appartenance à une nation historique et lien charnel qui relie avec les générations précédentes qui ont transmis la civilisation et l’identité.

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Les mondialistes ont vu dans les peuples occidentaux le maillon faible de l’humanité planétaire.
Je pense que les Blancs, n’ayons pas peur du terme – incluant les métis qui se sentent plus d’affinités avec la culture européenne que celle africaine, ou bien les Asiatiques dont la fidélité à leur culture et histoire ne constitue en rien une menace à condition qu’ils restent minoritaires – doivent prendre conscience de leur droit à rester fidèles à leur lignée historique, gage de leur identité et constituer une identité collective sous le terme d’adhésion à une histoire, à une civilisation et l’identité qui s’en suit.
Or, je constate souvent que les patriotes n’osent pas aller sur ce terrain par crainte de passer pour racistes. Les mondialistes qui causent sur les plateaux télé le savent pertinemment et en jouent à gogo et avec succès. Tout un chacun qui soutient la cause patriote se sent obligé au préalable de se dédouaner de tout racisme. Pourquoi ne pas assumer que le métissage qui nous est imposé de façon encore insidieuse, « pédagogique » sous forme d’antiracisme « vertueux », est une arme de destruction massive de notre civilisation et est promu dans ce dessein par « les élites » ? Au lieu de ça, personne n’ose le penser, même en son for intérieur par crainte d’être un racistse.

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Mais accepter le métissage pour ne pas être raciste n’est-ce pas criminel pour la mémoire de toutes les générations qui nous ont précédés, qui ont souffert, versé leur sang, leur sueur ? On me dira qu’ils sont morts et bien morts et qu’il y a peu de chance qu’ils souffrent en constatant notre ingratitude et pire notre oubli désinvolte. Pourtant l’être humain n’est-il pas un être de mémoire, parce qu’il habite le temps selon la formule d’Heideger ?

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Doit-on sacrifier notre fidélité à nos ancêtres, à la terre qu’ils nous ont léguée parce que nous aurions un devoir avant tout à l’égard des autres humains vivants de la planète ? Est-ce respecter la nature humaine, ne pas faire fi de l’anthropologie humaine que de balayer cette fidélité, cette loyauté au nom de la « nécessité » et de « l’humanisme » que les mondialistes et leurs suppôts prétendent imposer à coups d’intimidation morale et pire d’excommunication ?

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Aider nos frères humains en répartissant la richesse de façon équitable, tel est le prétendu credo des « élites » gavées d’argent public sorti de la poche des peuples qu’elles prétendent sermonner et qu’elles décrètent suspects de racisme. En réalité, une intimidation qui n’est qu’une manipulation des peuples historiques sans cesse culpabilisés au point qu’ils en viennent à détester leur propre civilisation et du même coup à mépriser leurs ancêtres innocents dont la plupart ne connaissait qu’une vie de labeur pour juste survivre. Il faut sortir de cette croyance qui nous a été inculqué par des décennies de manipulations de gauche, de poseurs universitaires soucieux plus de leur carrière que de la vérité et de la justice.

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15 Commentaires

  1. Tout à fait d’accord.
    Vouloir être soi-même ne signifie pas détester les autres. Être soi-même c’est reconnaître l’ histoire de son pays, et de son peuple au sein de son pays, qu’on soit breton, basque, picard, juif, gitan, ou autre, ou simplement français.
    Savoir d’où l’on vient, et assumer les parts de grandeur et les parts de honte traversées par nos ancêtres, sortir de la haine de soi et du nihilisme entrenus par les mondialistes suicidairesqui veulent nous effacer.

  2. je pencherais plutôt du côté du point de vue de Gérard Emile, demander quelque chose à l’ONU, qui devient de plus en plus le siège de ce gouvernement mondial qui se met en place, cela équivaut à leur accorder le pouvoir et à reconnaître que nous n’en avons plus. Ce pouvoir , nous devons le reconquérir, en contrant les manœuvres de l’ONU. A l’ONU siège une flopée de pays musulmans qui ont pris la main sur les décisions, nous ne devons plus accepter de les subir. L’invasion, c’est l’ONU qui l’a décidée, et l’UE obéit, il y a un plan que nous ne connaissons pas , qui se met en action en silence et qui se déroule sous nos yeux, contre notre volonté.
    Chaque président, une fois élu, y adhère mais sans nous en informer. 9.14

  3. Détruire le lien qui nous relie aux ancêtres, c’est ce qu’a voulu VaticanII en supprimant les messes en latin. Il a fait table rase du passé, des centaines d’années de prières prononcées par des milliers d’ancêtres, de chants qui avaient résonné sous des voûtes séculaires et qui avaient imprégné les lieux. Tout va dans le même sens, le diable a pris possession de la planète.

  4. Absolument pas d’accord pour ce qui concerne le fait de demander à devenir des autochtones et demander le droit de vivre (ou je n’ai rien compris !). Nous sommes français, vivant sous le régime de la République (aujourd’hui plutôt monarchie constitutionnelle avec des pantins au Parlement), dans un pays qui est le notre fruit d’une civilisation de plus de 1500 ans; FRANCAIS, nous sommes FRANCAIS !!! Que ceux qui veulent venir chez nous demandent l’autorisation et accueillons en fonction de nos capacités mais pourquoi aller demander à reconnaître ce que nous sommes pour être protégés ? Pensez-vous que la civilisation envahissante nous fera des cadeaux ? NON, ils nous élimineront par décapitation et brandiront victorieusement nos têtes. Foutons dehors cette bande de margoulins qui possède le pouvoir, retrouvons notre souveraineté et dégageons de cette Europe au service du grand capitalisme dont le dessein est justement le » lissage » des peuples pour les asservir à leur pouvoir. D’un côté, capitalisme de l’autre côté OCS+BRICS+alliés de ces puissances et au milieu l’UE, cette mascarade d’union qui n’est en réalité qu’un instrument au service actuellement du premier c’est à dire du capitalisme.

  5. Piste intéressante. Mais comment peut-on se positionner si en nous deux continents cohabitent ? Est-ce se sentir l’âme patriote français suffit ? Et quelle est la position de l’auteur du du blog autochtonisme à ce sujet ?

  6. Tout à fait, ce n’est pas aux peuples civilisés de payer l’inconscience des peuples sous développés qui refusent de quitter la médiocrité tribaliste. Ce n’est pas à nous de supporter le poids d’une surpopulation africano-musulmane incapable de créer, de produire ou de s’intégrer. Laissons faire la nature et la théorie de Darwin, les plus forts survivent, les plus faibles disparaissent.

  7. Je pense qu’il vaudrait mieux demander une place dans les cirques, dans les cages vidées de leurs animaux de façon à être mis à l’abri des sauvages colonisateurs.

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