Les tétons « qui se devinent » contre « la culture du viol »

Photo : Rihanna, Kendall Jenner et Bella Hadid en mode « no bra »

.

On se demande parfois si Le Figaro ne vire pas à gauche en reprenant la sémantique  et la rhétorique néoféministes…

En titrant, il y a peu, « la nouvelle défenseure des droits », le quotidien libéral adoptait-il, lui aussi, l’écriture inclusive ?

Puis, jeudi, dans Le Figaro Madame, est parue une étude de l’Ifop sur la lutte des « tétons qui se devinent » contre « la culture du viol », concept sociologique à la mode chez les néoféministes pour dénoncer la perversité du patriarcat surtout occidental, blanc et hétérosexuel.

Ainsi, vous apprendrez que « si les tétons se devinent, l’agresseur d’une femme a une circonstance atténuante pour 20 % des Français »… Autant dire que 20% des Français justifient le viol d’une femme « à tétons apparents ».

On apprendra aussi que 42% des musulmans disculperaient l’auteur d’une agression d’une femme sans soutien-gorge.

Évidemment, comme tous les concepts sociologiques à la mode (genre, intersectionnalité, privilège blanc etc.), celui-ci vient des campus dégénérés nord-américains ainsi que le terme « No Bra » (abandon du soutien-gorge).

A quoi peut donc servir un sondage aussi puéril et alambiqué ?

Justement : à justifier ce concept de culture du viol soi-disant « ancrée dans la société française » et faire croire que la femme occidentale a toujours ployé sous les « injonctions à la pudeur » du mâle européen.

Pourtant, la statuaire antique montre des déesses en No Bra (mais aussi les zizis des dieux, sans slip ni boxer) et on peut admirer, sur les tableaux de la Renaissance, des courtisanes aux décolletés vertigineux.

La Vénus d’Arles topless et la Diane chasseresse en No Bra vont-elles précipiter les visiteurs mâles alpha du Louvre dans la « culture du viol » ?

De même, la peinture libertine du XVIIIe siècle ou réaliste du XIXe siècle (sur des thèmes mythologique ou historique) ont-t-elles provoqué une épidémie de viols ?

Dans les années 20, on dansait le Charleston dans des robes osées dévoilant poitrine et jambes nues et les années 60-70 virent la libération du corps féminin : fesses et tétons s’exhibèrent donc sur toutes les plages d’Europe. Angela Merkel pouvaient encore s’adonner au naturisme sans risquer l’agression sexuelle par des racailles racisées de la RATP (religion d’amour, de tolérance et de paix).

.

Or, que s’est-il passé pour que les seins nus disparaissent progressivement des plages et des médias (ha la pub Telefunken ou OBAO ! ha la cocogirl chez Colaro ! ha la playmate de France-Soir !) et que les tenues légères soient chassées des cités et des banlieues ?

Une immigration musulmane incontrôlée et l’importation de la pudibonderie protestante américaine peut-être ?

Finalement la gauche pourrit de ses incohérences : après avoir défendu le prolétariat contre le lumpenprolétariat (il faut écouter Marchais dans les années 70-80), elle choisit désormais l’esclave-migrant africain au détriment de l’ouvrier français, devenu une espèce de ringard rétif au métissage et au vivre-ensemble. Après avoir combattu le racisme, la voilà adoptant le racialisme et la lutte des races. Puis, après avoir détesté le capitalisme et la finance, la voici promouvant sans honte une mondialisation sans limite. Enfin, après avoir participé à la naissance du féminisme et lutté pour l’émancipation des femmes, elle choisit aujourd’hui de faire venir des milliers d’abrutis consanguins, fanatisés, pervers et misogynes et de défendre leurs enniqabées.

Et loin de s’en prendre à l’industrie pornographique ou de dénoncer les scandales de Roterham ou de Telford, le néoféminisme préfère abattre l’homme blanc, en combattant la gauloiserie ou bien la galanterie,  l’amour courtois ou bien le libertinage de Français traditionnellement amoureux et respectueux des jolies courbes, de la femme et de la féminité.

Ici, paradoxalement, Le Figaro Madame suit l’injonction islamiste à la pudeur car pour illustrer son article sur les tétons, elle montre… un groupe de jeunes de dos.

Si les tétons se devinent, l’agresseur d’une femme a une circonstance atténuante pour 20 % des Français

 

L’Ifop a publié une enquête sur le «No Bra», soit l’abandon du port de soutien-gorge, mercredi 22 juillet.

Le sondage révèle que pour 20 % des Français, des tétons apparents sous un haut devraient être, pour l’agresseur, une «circonstance atténuante en cas d’agression sexuelle».

Les injonctions à la «pudeur», pesant notamment sur les poitrines féminines, ont encore de beaux jours devant elles…

Les auteurs de l’enquête, menée sur 3018 personnes, soulignent qu’elle révèle l’ancrage de la «culture du viol» dans notre société.

Le risque d’être « harcelée, voir agressée »

L’idée que le «No Bra» puisse en partie disculper l’auteur d’une agression sexuelle serait surtout répandue dans les catégories les plus populaires […], les moins diplômées […], et les plus «imprégnées par la morale religieuse» (42 % des musulmans, 28 % des catholiques pratiquants, 21 % des catholiques non pratiquants et 13 % des personnes sans religion, précise l’étude).

48 % des personnes interrogées estiment par ailleurs qu’«une femme qui ne porte pas de soutien-gorge prend le risque d’être « harcelée, voire agressée »».

Le sondage apprend ainsi que 57 % des jeunes femmes de moins de 25 ans redouteraient «d’être l’objet d’agression physique ou sexuelle» en adoptant le «No Bra» […] Plus de la moitié des femmes de moins de 25 ans ont également rapporté avoir été victimes de diverses formes de harcèlement (regards concupiscents, remarques ou insultes) en raison de leur poitrine. Un quart (25 %) des jeunes femmes ont même déclaré avoir subi des attouchements sur leurs seins, et ce, sans leur consentement.

Madame Figaro

.

L’art dans la civilisation occidentale : une « culture du viol » ?

Mosaïques de la villa romaine du Casale (Sicile) – IIIe s. En Grèce, les femmes lacédémoniennes (Sparte) participaient aux Jeux Olympiques (les « montreuses de cuisse »)
La Vénus d’Urbain – Titien – 1538
L’Odalisque blonde par François Boucher (1751)
Fortunée Hamelin et Juliette Récamier, au temps des Merveilleuses

 

Waterhouse, Godward, Leighton : les maîtres anglais du drapé transparent
Paul Jamin et Jean-Léon Gérôme, peinture érotique ou allégorie de « la culture du viol » ?
Martine Carol, Brigitte Bardot, Danny Carrel : de belles actrices des années 50-60 moins timorées que les castratrices islamo-gauchistes d’aujourd’hui

.

La cible des néoféministes : le mâle français pas méchant et sympa qu’il faut abattre au profit du métrosexuel soumis ou « de bateaux entiers de beaux gosses » noirs, musclés, luisants et… musulmans (Welcome refugees !)

.

Dans les municipalités socialistes (Aubry à Lille) ou écologistes (Piolle à Grenoble), on se bat désormais pour la liberté de la femme musulmane… à disposer de plages horaires non-mixtes et de se baigner en burkini.

Source : BBC Afrique

 1,061 total views,  4 views today

image_pdf

21 Commentaires

  1. Tout ça, c’est causer
    pour rien dire !
    l’islamerde avec son lot de,
    T’as le droit, t’as pas le droit.
    Ceux qui ont des problèmes avec
    le sexe, ce sont les muzz.
    en France on est pas des tarés !
    Ps: mis à part ça, des tétons qui pointent, c’est bien joli quand même !

  2. Le soutien-gorge a juste 100 ans. Les premières qui l’ont porté, en virant le corset, passaient pour des p… la tendance s’inverse.

  3. Le bikini était donc déjà inventé au 3ème siècle avant Jésus Christ.

    • @Jean-François Morf

      Ici, c’est une mosaïque romaine du IIIe s. après J.-C..

    • Bien avant, et même le monokini, très pratiqué en Egypte il y a plus de 4000 ans.

  4. 20% des « Français » – chiffre en passant déjà remarquablement bas – mais 42% de muzzs… comptés dans les « Français »!

    Sachant qu’il y a au bas mot 10% de muzzs, ceux-ci expliquent (au sens statistique, constituent si vous préférez) de 4,5 à 7% des 20%.

    Il reste donc dans les 14% chez les Français de souche, soit trois fois moins que les muzzs.

    Le chiffre de 42% est par ailleurs totalement sous-estimé : mon expérience personnelle montre que pour 90% des musulmans, une femme qui montre un bout de son corps en-dehors de ses pieds et mains (et encore), voire ses cheveux quand ce n’est pas son visage, « est une pute ». [Désolé, je cite dans le texte le terme unique qu’ils emploient] . Alors si elle montre ses seins…

    Et pour ceux-là une « pute » est bonne à violer.

    Cependant,; il me faut tout suite corriger : selon les théories gauchistes, les musulmans sont de pauvres racisés, c’est à cause de ça qu’ils sont de telles idées, et donc c’est pas leur faute, donc la culture du viol c’est pas eux, même s’ils la pratiquent intensivement dans les faits, dans le monde des « idées » ils sont totalement innocents : ce sont les sales mâles Blancs les seuls et uniques fautifs.

    ___

    Par ailleurs, je pense qu’il faut être sacrément névrosées pour reprocher aux hommes d’être émus à la vue d’une jolie poitrine de femme et d’éprouver un légitime sentiment d’attendrissement et d’admiration, d’attraction aussi, pour lequel Dame Nature les a en outre programmés, n’en déplaisent aux « théoriciens » fumeux du « genre »..

    • @Adalbert le grand

      C’est vrai qu’écrire un article sur les « tétons », il fallait oser ! Mais bon, c’est Le Figaro qui a commencé avec ce sondage stupide et des milliers de lecteurs gobant ce concept « culture du viol ».

      Hé ho Madame Figaro, on est pas des bêtes ! Et puis Madame Figaro, ça ne lui arrive jamais de mater des fesses masculines ? Hypocrite !

  5. De toute façon tous les viols c est des « chances » qui les font , ce n est pas les blancs même si c est caché par la presse de gauche

  6. Sur cette théorie des circonstances atténuantes prônées par les muz en matière d’incitation au viol, est-ce que je peux l’élargir ?
    Si un ou une muz déambule en tenue visiblement muz avec des attributs muz visibles, est-ce qu’un résistant énervé qui commet une incivilité genre une balle dan la tronche, aura des circonstances atténuantes pouvant aller jusqu’aux félicitations du jury ?
    C’est pour savoir.

  7. Pour ce que je me rappelle des années 50 puis 60 la société était encore très conventionnelle, très embourgeoisée et un tantinet pesante.L a moindre jambe découverte créait l’émoi.
    Mais tout cela restait très esthétique bien que provocateur pour l’époque.
    Martine carole , Brigitte bardot , Michelle Mercier ou Mylène Demongeot osaient le nu!
    L’ambiance des cités dans les années 70 était plutôt sympa et apaisée et la population assez diverse socialement et ethniquement parlant .
    On draguait et on se rassemblait en bandes de filles et garçons ,. Je ne dis pas que l’on ne s’ennuyait pas ou que tout était rose, mais c’était vivable!!

  8. En résumé on régresse complètement !
    J’ai la soixantaine largement dépassée et je ne m’offusque pas de ces tenue légères.
    La seule remarque que je pourrais faire c’est que celles ci sont maintenant l’apanage des classes sociales les plus élevées !
    Dans les quartiers populaires , c’est beaucoup plus difficile, surtout en France , des femmes habillées de la sortes pourraient vite être assimilées à des prostituées. Surtout avec les gros beaufs issus de l’immigration!
    Dans les années 70 et jusque dans les années 90, donc lorsque j’avais entre 20 et 25 ans, nous allions sur les plages où les femmes pratiquaient majoritairement les seins nus et dans certains clubs de vacances les femmes oubliaient même parfois de mettre des soutient gorge le midi dans le restaurant , si bien que nous pouvions très bien nous retrouver à manger en face d’une sirène, ce qui ne provoquait pas chez moi et la plupart des hommes présents la furieuse envie de se jeter sur ces impudentes mais par contre pouvait passablement attiser l’ire de votre propre compagne!!
    Non! si les femmes se sentaient si libre à l’époque c’est qu’elles savaient qu’elles ne craignaient rien des mâles très majoritairement blancs de l’époque , . Et les mâles blancs ne se conduisaient pas comme des bêtes en rut, et les mêmes qui ont largement plus de la cinquantaine aujourd’hui,( n’est ce pas madame Herrnotte? ) n’ont pas changé. A l’époque, l’offre était à la hauteur de la demande !
    Aujourd’hui le recule des mentalités et de la liberté des mœurs est à la hauteur des entrées d’immigrés sur le territoire.

    • @bm77

      D’accord avec vous dans l’ensemble. Pour certains (dont je suis), mai 68 signe le début de la fin mais représente quand même la fin d’un carcan moral, familial et social.

      Quoique certaines actrices des années 50-60 cassaient déjà les codes (Brigitte Bardot dans Et Dieu créa la femme ou « l’annamite » Dany Carrel dans Pot Bouille ou La petite vertu…)

      Je n’ai pas connu mai 68 mais l’époque me semblait beaucoup plus joyeuse et « libérée » qu’aujourd’hui.

      Finalement, par rapport aux « bandes de djeuns » des cités, les babas-cool me paraissaient beaucoup plus sympathiques.

      En parlant de Depardieu et Dewaere, le film « Les Valseuses » est toujours déconseillé aux moins de 16 ans. Bon, ce n’est pas mon préféré, je le regarde surtout pour admirer Miou-miou 🙂

  9. Je pense que les 20% de « français  » qui excuserai le viol sont des salopards de  » français  » de papier cul , encore un sondage biaisé!

  10. 20 % excusent le viol :
    à comparer avec la population « française  » issue d’un autre continent !

  11. C’est bien la preuve qu’ils réagissent comme des animaux, incapables de se contrôler.
    Un blanc, jaune, hétéro,  » normal  » dans sa tête se contentera d’admirer…….
    Un bonobo exotique…….Ce n’est pas certain

  12. en Algérie, a l’ école primaire les petits misilmons les ont souvent chantés

    vous avez du connaitre la chanson enfantine

    « li tétons biti navireu, li tétons biti navireuuu »

  13. Euuuuhh ! @François des Groux ;

    Ce sont réellement les « tétons grandeur nature » de la miss e gauche que l’on voit sur la première photo ? ☺

    • @MsdO

      Je n’en sais rien. Cet article pose un regard heu… artistique sur la question 😁

      En fait, comme dirait l’autre, I can’t breathe avec leur carcan idéologique (islamiste ou gaucho-féministe), il me fallait un peu de légèreté.

    • Pas de risque qu’elles se fassent violer car ces dames ont des gardes du corp.

Les commentaires sont fermés.