Espagne 1936 : quand la Gauche, terrifiée, subissait la barbarie musulmane …

.

De nos jours la Gauche, sous la figure de l’immigré, pare le musulman de toutes les vertus.

Enfouissant  les très nombreux  crimes de droit commun, le terrorisme musulman sous les tonnes du  « pas d’amalgame ».

On vient de voir un député PCF accompagnant  le  rappel du crime de Guernica par des « salam aleikum » de bienvenue aux musulmans

https://resistancerepublicaine.com/2020/03/01/80-ans-apres-katyn-qualifier-un-vieux-stalinien-de-salaud-est-il-un-delit/.

.

Les rapports de la Gauche communiste avec l’islam ont été complexes : grande complicité des Bolchéviks avec les musulmans par des appels à la guerre sainte commune, dans l’URSS de 1920.

Mais, en Espagne, quand Franco a mis la barbarie musulmane à son service, avec ses dizaines de milliers de  Marocains (Maures) , le ton de la Gauche a été sans ambiguïté.

Cet article universitaire, avec tout le ton politiquement correct d’usage, s’en fait l’écho :

[•••]

Dans les récits « pro-républicains » notamment, certaines mutilations ne concernent que les femmes et sont évoquées en ce sens : les ventres ouverts et les seins coupés. Châtiments sexués, ils sont souvent imputés aux Maures présentés comme les « troupes de choc » employées par l’armée adverse.

[L]os mercenarios cometieron toda clase de atropellos con las mujeres, especialmente con las de los carabineros. […] Unas muchachas de Irún, testigos de todos aquellos horrores, me aseguraron que las llevaban por delante en los combates, por ver si sus compañeros no hacían fuego, tirándolas luego al río Bidasoa, después de maltratarlas arrancándoles las ropas. […] Estas mismas muchachas me aseguraron que su sadismo llegó a tal extremo, que en Rentería cortaron las mamas a algunas mujeres e hicieron otros escarnios de menor cuantía, como cortarles el cabello al cero49.

24Cette construction de la figure du Maure « sauvage et criminel » doit être replacée dans le contexte espagnol. María Rosa de Madariaga rappelle que le Maure évoque, dans la mémoire collective espagnole, le couteau et la mort50.

Ces référents mémoriels fort anciens ont été réactivés par la guerre coloniale du Maroc (1907-1927) et par les événements d’octobre 1934 dans les Asturies51.

Une « brutalisation » des comportements des soldats semble se produire dans la guerre coloniale, exportée en Espagne par le transfert des acteurs de l’armée africaine.

Caractéristiques de cette « culture de la violence », les mutilations ont marqué les esprits et les mémoires.

On les retrouve d’ailleurs dans les témoignages écrits relatant la répression de l’insurrection minière52.

La guerre civile constituerait donc une sorte de paroxysme des violences physiques touchant tout le territoire espagnol.

Images déformées ? Déformantes ? Dans les processus d’écriture, il s’avère ardu pour l’historien de saisir comment « mythe et réalité se dédoublent à l’infini, se renforçant mutuellement dans les circonstances dramatiques d’une guerre vécue […] dans la peur et la haine de l’autre53 ».

NDLR: Qu’il est difficile à un universitaire poli d’admettre la singularité de la barbarie musulmane en terre chrétienne !

25Les mutilations des corps, durant le conflit de 1936-1939, ont constitué un des éléments des deux arsenaux répressifs.

Cependant, il est extrêmement difficile d’accéder au « réel » à partir de ces récits qui mêlent résurgences mémorielles, imaginaires et idéologisation.

Ils nous renseignent surtout sur le climat de guerre, sur la diabolisation de l’ennemi. Là, plus qu’ailleurs, la question du « témoignage » et de son exploitation s’avère particulièrement délicate.

26Dans les récits dits « républicains » transparaît l’exacerbation des rumeurs et des peurs autour de ces violences de guerre.

Les Maures, troupes d’occupation, personnifient le pillage, les mutilations mais aussi les viols.

Dans l’énonciation de ces atrocités, il reste difficile de définir si les peurs populaires précèdent le processus propagandiste ou si la propagande attise les peurs.

Rappelons que ces hommes ont été exploités par l’armée franquiste comme arme psychologique et comme outil de mise en œuvre de la terreur à l’arrière.

NDLR : On va pleurer ! Les musulmans vus comme des éternels mineurs irresponsables  de leurs actes : le discours de la Gauche est constant !

« [L]a colonne Yaguë avait mis 20 jours pour franchir les 400 km qui séparent Algésiras de Badajoz. Il lui fallut un mois pour franchir la même distance de Badajoz à Tolède. […] Et régulièrement il arrivait ceci : sitôt que les Rouges les voyaient arriver, sur toute la ligne c’était un grand cri : « Los Moros ! Vienen los Moros ! Les Maures ! Voici les Maures ! ».

Et ce cri qu’on avait entendu si souvent dans ces mêmes parages, douze siècles plus tôt, étaient immédiatement suivis d’une retraite précipitée54.

Tremendo pánico cundió en San Roque aquella noche trágica de la llegada de los moros. De aspecto repulsivo, embriagados y azuzados por los fascistas, se lanzaron por las calles, enloquecidos por tanta promesa […] dando aullidos de fieras en celo […] Entraron en todas las casas ; atropellándolo todo violaban a las mocitas… obligaban a ceder a sus lujurias a las casadas jóvenes… Después desaparecían entre risas e insultos, llevándose las ropas, los muebles, las gallinas, los cerdos…55.

Dans ces récits, l’équation Maures = viols domine les évocations des violences contre les femmes du camp républicain.

Le viol, arme de guerre et acte systématique accompagnant jusqu’au symbole la possession d’un territoire56, singularise la menace qui pèse sur ce collectif sexué.

Les viols commis par les troupes africaines se lisent dans certains récits au travers de l’évocation de « l’enfant de l’ennemi57 ».

[E]n Toledo, los moros degollaron a catorce enfermeras al pie de las camas de los heridos y vendían chicas de quince años en pública subasta. Las mujeres de Vitoria han parido una multitud de niños negros, hijos de eritreos, de somalíes y otros patriotas tan castizos como éstos58.

S’ils ne sont pas les seuls responsables des violences sexuelles, la sursignification des Maures dénote leur impact singulier dans les représentations des violences de la guerre civile.

Ce peut être aussi le reflet d’une brutalité particulière propre à ces bandes, excitées par les promesses de butin (femmes, argent…).

L’imagerie autour du maure s’entremêle aux faits violents symptomatiques des phases d’occupation de territoires auxquelles ont largement participé ces hommes.

NDLR :la vérité pointe, ENFIN, son nez : et si … il y avait une violence particulière propre à l’islam face à la Chrétienté, fut-elle  représentée par des Rouges ?

[•••]

https://journals.openedition.org/mcv/1854

 674 total views,  2 views today

image_pdf

5 Commentaires

  1. Que fallait-il faire à Hitler, chef d’Etat élu démocratiquement et adoré de son peuple, quand il avait commencé son djihad pour envahir l’Europe? Il fallait lui faire comme à Soleimani!
    Regardez aussi Youtube: Brigitte Gabriel

  2. Il faut tirer dans le tas et si des bonnes âmes s’en émeuvent il faut les consoler en leur disant que dieu reconnaîtra les siens si il y avait des innocents ce qui personnellement m’étonnerait.

  3. Je ne savais pas que Franco lorsqu’il était parti du Maroc avec ses troupes coloniales avait enrôlé des « maures » comme on disait à l’époque et que ceux ci auraient commis des atrocités et violé des femmes pendant ce périple qui leur a fait remonter toute l’Espagne, . C’est une constante chez eux que ce soit du côté des dictateurs comme de celui des alliés libérateurs du nazisme puisque les troupes de la France libre du Général Juin composés aussi à 54 pour cent « d’indigènes » comme se revendiquent certains ayant tous le particularité d’être musulmans , dont les fameux goumiers Marocains se sont distingués pour avoir aussi violé nombre d’Italiennes dans les régions qu’ils contribuaient à libérer des nazis. Je ne me rappelle pas que Djamel Debouzze marocain d’origine, n’ait jamais évoqué ces faits ,lui qui est toujours en courbette obséquieuses devant son Roi , un Roi qui l’ignorerait royalement si ce Debouzze était resté dans son Maroc de cœur, et qui a inauguré le particularisme de l’humoriste qui se transforme en redresseur de tort des Français, voir l’e film militant indigène, quand pour ce qui est de l’humour, la source se tarie !
    Il a d’ailleurs fait des émules en la personne de Bellatar!

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Crimes_de_1944_en_Ciociarie

  4. La gauche est le parti de l’étranger depuis toujours et partout en occident.

    Il suffit de lire les livres de Roger Holeindre pour en lister tous les actes de haute trahison officiellement actés : Indochine, occupation socialiste Allemande, Algérie etc…

    « Trahisons sur commande, histoire du parti communiste  » est un excellent livre pour se réveiller à la réalité documentée .

    « Halte au révisionnisme des enfants de Goebbels et du KGB » en est un autre incontournable .

    « 1935-2015… 80 ans de mensonges et de calomnies, ça suffit » (un livre merveilleux pour se déflorer à la réalité .

    Nul ne peux s’exonérer de la lecture pour remettre les idées à l’endroit .

  5. Un documentaire à la télévision l’année dernière sur la condition des femmes syriennes de l’actuelle guerre en Syrie se consacrait au dévoilement du fait que les familles exécutent (crime « d’honneur ») leurs filles qui avaient été violées par l’ennemi. Donc rien qu’entre eux les musulmans d’aujourd’hui sont des brutes arriérées sans nom et ce sont eux qui se pressent à la frontière de l’Europe en ce moment. Ce sont des malades mentaux violents hyper endoctrinés d’une culture de la guerre permanente (jamais de pardon ou d’oubli) et hyper arriérés et brutaux dans leur structure sociale. Ces gens ne seront jamais capables de créer un avion appelé Concorde.

Les commentaires sont fermés.