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Le 18 juin 2018, cet ado palot et chevelu se souviendra toute sa vie du sermon de Monseigneur Emmanuel Macron, coprince d’Andorre et président de la République, à son « Ça va Manu ? »
« Non, non, non, non, non… Tu es là dans une cérémonie officielle, tu te comportes comme il faut. Tu peux faire l’imbécile mais aujourd’hui c’est la Marseillaise et le Chant des partisans.
Tu m’appelles Monsieur le président ou Monsieur. D’accord ?
Le jour où tu veux faire la révolution, tu apprends d’abord à avoir un diplôme et à te nourrir toi-même, d’accord ? Et à ce moment-là, tu iras donner des leçons aux autres »
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On sentait bien dans son dos la nervosité des gardes du corps prêts à plier en deux l’insolent, dont, peut-être, Makao (celui qui jouait à la console avec Jawad, indignant « la fachosphère » mais pas 20 Minutes…)
Idem avec le général Le Jolis de Villiers de Saintignon osant contester la place du chef à celui qui n’avait jamais effectué de service militaire. Sans doute que « Manu » aurait préféré au galonné du bocage son lieutenant-colonel de gendarmerie personnel : Alexandre Benalla.
C’est qu’Emmanuel Macron, lui-même Blanc et privilégié, ne supporte pas les Blancs et leur exorbitant privilège. Il faut donc combattre partout cette tare congénitale synonyme d’inégalité, de discriminations, de racisme conscient ou inconscient et favoriser à tout prix la diversité. Au gouvernement, dans la fonction publique, les médias, les séries TV, le cinéma, la publicité : PARTOUT, par la loi ou les subventions, de gré ou de force.
Une politique que Marlène Schiappa, lors de son débat avec Eric Zemmour, nomme « pour l’égalité » alors qu’elle s’avère fondamentalement discriminatoire et inégalitaire.
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En ce sens, Emmanuel Macron est noir.
En effet, ayant tellement assimilé le concept de négritude (cher à Aimé Césaire) et la souffrance des anciens esclaves, il fait véritablement corps avec eux. Il embrasse tant leur juste cause qu’il fait sien, semble-t-il, le combat d’un Ibrahim Frantz Fanon, écrivain martiniquais confronté au racisme, au colonialisme et à l’islamophobie des Français en Algérie.
Il se trouve qu’en décembre 2018, un humoriste noir du nom de Donel Jack’sman se voit, lors d’un spectacle, traité trois fois de sale Noir, ce qui relève – évidemment – de l’insulte la plus primaire.
Scandale, polémique, surchauffe des réseaux sociaux et médiatiques, la micro-affaire devient affaire d’État dont s’empare, forcément, le président Macron. Et qui dure encore et encore.
En revanche, de nombreuses victimes d’attentats, de violences, de menaces ou d’injures peuvent toujours attendre la visite d’un président de gauche. Et si tu t’appelles Patrick Jardin ou Caroline-Christa et pas Donel Jack’sman; si t’es #Mila et pas #Théo, tu peux toujours… aller te faire voir ailleurs.
Mais si t’es noir, musulman ou homosexuel et que tu souffres… alors, appelle ton pote Manu !
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« J’ai discuté avec Macron comme avec un pote ! »
Public : Vous pouvez tout dire en tant qu’humoriste ?
Donel Jack’sman : Certains partis politiques ne se gênent pas, donc, moi aussi ! Je suis un fervent partisan de la liberté d’expression. Il y a certaines personnes qui me choquent, je trouve leurs propos ignobles, mais je ne militerai jamais pour qu’elles n’aient pas le droit de s’exprimer [Il a porté plainte contre celui qui l’avait traité de sale Noir – NDA]
P : Vous avez toujours été intéressé par les questions sociétales et politiques ?
DJ : Oui, ça provient de mon parcours personnel Je suis fils d’immigré, j’ai grandi à Villiers-le-Bel dans le 95, je suis un pur produit de la banlieue.
J’ai connu la discrimination, le racisme à l’embauche et au logement. Le pire, c’est que je me suis presque habitué, comme si c’était une fatalité : les Renois, les Arabes, les banlieusards, on est la dernière roue du carrosse et on devra toujours faire plus que les autres pour arriver au même stade. Il faut que ça change.
P: Et le changement, ça passe par quoi ?
DJ : … j’avais tendance à penser que tout était perdu si tu n’étais pas vieux, blanc, riche et parisien mais c’est faux ! […] lorsque j’ai été agressé à Nice par un raciste […] j’ai reçu du soutien de toute la France, des gens blindés, pauvres, de Paris ou d’ailleurs, Noirs, Blancs, LGBT…
P : aussi du Président Macron !
DJ : Oui, j’ai reçu un appel téléphonique de Élysée […] Macron m’a dit qu’il me soutenait dans cette épreuve et on a discuté comme deux potes, pendant cinq minutes… (Rires.)
P : Quelles sont vos références en matière d’humour ?
DJ : Sans hésitation Jamel (Debbouze) ! Il a fait énormément pour les minorités…
Extrait de « En tête à tête avec Farah Mekki »
https://sfrpresse.sfr.fr/article/c260f0ba-6d6e-44e7-91bd-50b62159d3bc
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Formé au Cours Florent, licencié en communication, rapidement repéré par des festivaliers et des producteurs, soutenu par la ville de Villiers-le-Bel et Jamel Debbouze, lauréat de multiples prix et récompenses, Donel Jack’sman présentera sur M6 La France a un incroyable talent.
C’est donc un pur produit de la banlieue, de la ségrégation, du racisme et des discriminations luttant contre le privilège blanc de la société française non inclusive…
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Son modèle en humour, c’est Djamel. Donc, son humour c’est de la merde ou deux bouses, si vous préférez !
Je n’ai même pas de mots devant une telle bêtise, cet homme devrait regarder ce que vivent « vraiment » les blancs qui sont chez eux en plus au lieu de croire ce qu’on lui dit (Macron aussi d’ailleurs) au lieu de regarder son nombril.
Apparemment, il n’aime pas le mélange puisqu’il reste en communauté.
Un petit mot pour E. Macron : parfois quand on fait une fixette sélective et systématique sur des personnes qui sont l’opposé physiquement des parents, est un comportement réactionnel qui signe souvent un malaise quelque part…
macron en s’assimilant à un descendant d’esclave noir, se construit contre sa famille de blancs bien élevés,
je m’étonne encore une fois de ne pas connaitre ses parents,
quelqu’un a-t-il une idée de qui sont ses parents ???
quelle sorte de famille a-t-il eu pour, à 15 ans, se mettre à l’abri sous les jupes de sa prof de français , qui avait plus du double de son âge ??
Tout à fait ! D’ailleurs beaucoup de bourgeois de « Gauche » le sont ainsi par réactions familiales voire par culpabilité (on est tellement décrié quand on a de l’argent et des biens en France qu’il n’est pas étonnant que certains se sentent coupable d’en posséder).
Effectivement, on croit « idéologiquement » que la Gauche (vu que c’est le côté du coeur) est plus humaniste et va du côté du peuple, ce qui est faux bien sûr. Cela explique l’attachement de certains à ces partis et la culpabilité ressentie à voter à Droite (impression sans doute de trahir son appartenance sociale pour une grande part).
Pour sa famille, notamment son père, était du milieu médical, enfin une famille qui a plus que ce qu’il faut pour vivre à ce que j’avais lu.
Et le changement, ça passe par quoi ?
Le changement passe en premier par virer tous ces cons qui n’ont rien à foutre chez nous et emmener avec vous tous les salopards de collabos qui veulent islamiser notre pays. La France n’est pas et ne sera jamais un pays musulman.
En d’autres termes et pour faire court :
« En France il ne fait vraiment pas bon être français de souche »
Français de souche, c’est le statut le plus bas de la société française.
Merci à « Sa Majesté » Maconnard 1er et a tous ces bobos-gauchos, qui font la leçon et crachent sur les français qui se débattent dans la merde macronienne, depuis leurs appartements cossus et bien à l’abri de la racaille mahométane qui envahit notre pays
Sale con, c’est pas à connotation raciale ça ! De toutes façons, Hollande nous a expliqué que les races n’existaient pas alors, je ne vois par où est le problème !
Ils nous font vraiment chier !