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Drôle de témoignage de ce CRS qui dit, sans état d’âme »
Et par dessus-tout, ce qui pèse à Stéphane, c’est le “manque de reconnaissance” du gouvernement envers les forces de l’ordre. “C’est grâce à ces quelques milliers d’hommes que la République a tenu bon », estime-t-il.
et
Depuis cet été, les mobilisations ont largement décliné partout en France. Pourtant, le 29 octobre dernier, un sondage montrait que 76 % des Français estimaient que le mouvement des « gilets jaunes » était loin d’être terminé. S’il devait reprendre de l’ampleur, comment réagirait Stéphane ? « On fera ce qu’il faut pour que l’ordre règne. Quel que soit le type de personnes que l’on a en face de nous. »
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Ben mes aïeux ! On n’est pas sauvés !
Que ce CRS soit lucide et analyse rétrospectivement le rapport de force entre Gilets Jaunes et forces de police est bien, et intéressant, on ne le lui reprochera pas, au contraire. On se rend compte que, en décembre dernier, ni Macron ni Castaner n’avaient pris la mesure de ce qui se passait, de ce qui risquait d’arriver. Les Gilets jaunes, pacifiquement, ont sacrément ébranlé le pouvoir (pouvoir qu’ils n’avaient pas l’intention de prendre, en bons Français légalistes et obéissants).
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Par contre, qu’il confonde Macron et la République, ça interpelle, mieux, ça révolte. Et, cerise sur le gâteau, il affirme être prêt à défendre ce gouvernement de pieds-nickelés face aux patriotes !
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Qui est ce Stéphane ? Un robot ? Un Macronien convaincu ?
Qu’un homme fasse son travail et obéisse aux ordres, je n’ai rien à y redire.
Mais qu’un homme appelle République le pouvoir dictatorial macronien et soit, encore et toujours, prêt à le défendre contre le peuple, car les Gilets jaunes de décembre 2018, c’était le peuple. C’est une trahison. Une vraie…
Il vote, Stéphane ? Il a une conscience citoyenne, Stéphane ?
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Certes c’est un article de France Inter… dont on connaît l’impartialité et la neutralité politique…
Et si cet article paraît un an après, alors qu’ici et là, des ronds-points sont à nouveau investis, alors qu’ici ou là actions et manifs sont annoncées… c’est que Macron le veut.
Et l’idée est bien de montrer la dangerosité supposée des Gilets Jaunes, et de faire courir le bruit que « la République » aurait pu vaciller, et Stéphane d’essayer de partager son grand effroi avec le Français moyen.
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J’attends désespérément les rapports de Stéphane ou de ses collègues sur leurs sentiments quand ils sont pris au piège des racailles des cités, à Chanteloup ou à Mantes, par exemple… A aucun moment, là, ils n’ont le sentiment que la République vacille, pour de bon ? Et à aucun moment ils n’ont peur au point de tirer, tirer, tirer… comme ils l’ont fait sur les Gilets jaunes ? Ben voyons Ah! J’oubliais, Castaner-Macron avaient donné l’ordre de tirer sur des pères de famille, ces jeunes étudiants et ouvriers qui défilaient avec leurs pancartes demandant la baisse du prix de l’essence…. mais ils l’ont interdit quand, en face, ce sont de petites lopes issues de l’immigration.
Mais il ne le dira pas, Stéphane. Surtout pas. Il n’est pas interviewé pour cela.
Christine Tasin
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Merci à Durandurand de nous avoir signalé l’article :
« Le 1er décembre, l’Élysée aurait pu tomber » : un CRS raconte le chaos des « gilets jaunes » l’hiver dernier
Samedi 1er décembre 2018. Stéphane, CRS, est mobilisé pour la manifestation parisienne des « gilets jaunes ». « Dès 8 h 30, 9 h du matin, on entendait sur les radios de la police que ça commençait déjà à ‘grenader’ et à partir à l’affrontement, chose qui est incroyable dans une manifestation. Là, on s’est dit : ‘la journée va être très longue’. » Ce premier samedi de décembre marque la première flambée de violences du mouvement des « gilets jaunes », notamment autour de l’Arc de Triomphe. À la fin de la journée, on dénombrera 270 interpellations, et plus de 200 blessés, tant côté manifestants que côté forces de l’ordre.
Devant l’Élysée, « on a 3 000 « gilets jaunes » qui passent devant nous, et on n’est que trois »
Stéphane, lui, se trouve en retrait des Champs-Élysées : il est posté devant des barrières sur 150 mètres de long, à 100 mètres de l’Élysée. « J’ai vu dans les yeux de mes collègues la crainte qu’on ne puisse pas tenir notre position. Si on avait été attaqué là où j’étais, on aurait pas pu tenir : l’Élysée tombait. À posteriori, ça fait vraiment peur », explique ce grand gaillard d’1,90 mètre. Car ce jour-là, tous les effectifs sont répartis dans la capitale : en cas de besoin, pas de renfort possible. « Si on avait été vraiment ‘enfoncés’ au niveau de l’Élysée, personne ne pouvait nous secourir. »
“Quand vous avez 3 000 “gilets jaunes” qui passent devant votre barrière, vous vous dites : là, s’ils réalisent qu’on est que trois et que l’Élysée est à 100 mètres, on va peut-être téléphoner à la famille pour leur dire qu’on les aime et qu’on ne sera pas là ce soir.”
Une semaine plus tard, le 8 décembre, le CRS change de poste : il se retrouve cette fois en haut des Champs-Élysées. « Et là, ça a été la guerre. Je me suis dit : ‘je vais sans doute y passer’« , se remémore-t-il. Les manifestants lancent des projectiles « avec tout ce qui leur tombe sur la main ». Une bombe agricole explose à un mètre de Stéphane : « Si elle avait explosé au niveau de ma tête, je serais mort. Ça se joue à un mètre parfois, la vie ou la mort. »
Stéphane, 45 ans, a participé aux trois quarts des mobilisations des « gilets jaunes » depuis le 17 novembre 2018 © Radio France / Thibault Lefèvre
8 décembre : « à ce moment-là, on ne se pose pas la question de la légalité ou de la déontologie »
Pourtant rompu à l’exercice des manifestations en vingt ans de CRS, Stéphane est effaré devant la rage des manifestants. Il dit voir face à lui « des gens qui voulaient en découdre, ils avaient de la bave qui leur coulait de la bouche, c’était des animaux ».
« Il y avait vraiment de la haine, les gens voulaient tuer du flic, tout brûler, tout casser. Je me suis dit ce jour-là : ‘il va y avoir des morts’. Côté policiers, côté manifestants, ou les deux. »
Pas de mort au final, mais au moins 120 blessés parmi les manifestants. Stéphane reconnaît l’emploi de « moyens disproportionnés » par la police : « Au lieu de balancer trois tirs de LBD, on en tire 20, 30, 40. À ce moment-là, on ne se pose pas la question de la légalité, du code pénal ou de la déontologie. Moi, je vous parle de survie. […] Il y avait au minimum 3 000 personnes devant nous sur les Champs, et nous on était 80 ! »
« Le niveau de violence chez les manifestants était tel que pour y répondre, il a fallu avoir encore plus de violence. C’est ce qui a occasionné tous les blessés qu’il y a pu avoir avec les LBD et les grenades. »
Les policiers et gendarmes paniquent, face à une situation qui dégénère et leur échappe.
« On se disait : qu’est-ce qu’on fait ? On quitte notre position et on s’enfuit en courant, on tient jusqu’à la mort, on sort notre pétard, on fait quoi ? Si on se fait « enfoncer », on fait quoi ? Et on n’avait pas de réponse. »
Pas de réponse des supérieurs. Là est le problème. Stéphane assure qu’il ne veut pas « se dédouaner » sur le dos de sa hiérarchie, mais selon lui, les faits sont là : au début de la crise, la direction n’a pas été à la hauteur.
« On pense toujours qu’on est commandés par des gens compétents, et on se rend compte que non »
Au cours de ces journées de chaos, Stéphane se rend compte qu’il ne peut pas se reposer sur ses chefs. « On pensait avoir une hiérarchie et des têtes pensantes de bon sens, professionnelles, qui prenaient les bonnes décisions« , poursuit le CRS. « _Mais on s’est très vite rendu compte qu’il y avait eu de très très mauvaises décisions de prises au niveau des effectifs de terrain_, et que la tactique prévue n’était pas du tout en phase avec ce qu’il se passait.«
Stéphane note un problème « récurrent » au ministère de l’Intérieur : « On a toujours un train de retard sur les événements. On va modifier notre façon de faire, mais après un événement. Il n’y a pas d’anticipation. » En attendant un sursaut de la Place Beauvau, les forces de l’ordre sont « en sous-effectif, dispersées dans Paris, en manque de moyens, fatiguées, tout le monde crie au secours, il n’y a pas de renforts« , déplore le CRS.
« La qualité d’un commandement, on ne le voit pas en temps de paix : on le voit quand ça chauffe sur le terrain. Eh bien là, le 1er et le 8 décembre, ils ont été mauvais. À la préfecture de police de Paris, au ministère, ils n’ont pas pris l’ampleur de la situation. »
Et par dessus-tout, ce qui pèse à Stéphane, c’est le “manque de reconnaissance” du gouvernement envers les forces de l’ordre. “C’est grâce à ces quelques milliers d’hommes que la République a tenu bon », estime-t-il.
« Si les gens sont encore en poste dans les ministères, que notre Président est encore en poste, c’est grâce à eux. Et personne ne le dit.”
Après ces flambées de violences à Paris, la situation a évolué ; le décideurs ont changé de tactiques. Mais si la doctrine a changé, elle tombe désormais dans l’excès inverse : « Aujourd’hui,là où il faudrait 10 policiers, ils en mettent 30. Quand il faut 10 barrières ils en mettent 25, et quand il faut une compagnie de CRS ils en mettent trois. Ils se sont rendus compte qu’ils avaient fait des boulettes. On ne se retrouvera plus dans des situations comme en décembre, mais parfois c’est trop« , juge Stéphane. Autour du palais présidentiel par exemple, « même les collaborateurs de l’Élysée se plaignent parce qu’il y a trop de contrôles« .
Des ronds-points aux affrontements : « Ça a été très mal géré politiquement, il n’y a eu que du déni et de la fermeté »
Il faut savoir que Stéphane n’a pas toujours été dans l’affrontement avec les manifestants. « Jusqu’à fin novembre 2018, dans le fond, j’étais à moitié ‘gilet jaune’. Je trouvais anormal la hausse des taxes sur le gasoil, les réformes du gouvernement Macron… » Le « flic » se souvient des premiers samedis de mobilisation, où il côtoie les manifestants et discute avec eux, dans la sérénité. Il rencontre même une manifestante avec qui il vivra une brève histoire, et qui reste aujourd’hui une ‘amie fusionnelle‘. Sur les rond-points, « il n’y avait pas du tout de tensions, juste des revendications très fortes. Malheureusement, ça a été très mal géré politiquement. Il n’y a eu que du déni et de la fermeté.«
Résultat : la récupération du mouvement par des groupes violents… mais pas que. Stéphane a aussi vu beaucoup de manifestants « ordinaires » avoir des comportements qui l’ont terrifié. « Les black-blocs hyper-violents, les hooligans sur de gros matchs de foot, on les connaît et on sait comment les prendre. Mais là, c’était des gens de la population. _Des gens de la classe populaire, des ouvriers, des sans emploi, qui se transformaient en bêtes sauvages_.«
« Et pour que des gens ‘lambda’ se transforment comme ça, c’est qu’il y a un réel souci en France. Et pas depuis l’année dernière : c’est une cocotte-minute qui a explosé en décembre, mais qui couvait depuis des années. »
Depuis cet été, les mobilisations ont largement décliné partout en France. Pourtant, le 29 octobre dernier, un sondage montrait que 76 % des Français estimaient que le mouvement des « gilets jaunes » était loin d’être terminé. S’il devait reprendre de l’ampleur, comment réagirait Stéphane ? « On fera ce qu’il faut pour que l’ordre règne. Quel que soit le type de personnes que l’on a en face de nous.«
Note de Dominique N
Oui, les médias aux ordres essaient encore de décrédibiliser les GJ. La ficelle est grosse. Il faudra qu’on m’explique comment des GJ non armés auraient pu prendre l’Elysée…J’avoue avoir un peu de mal à comprendre.
CRS Stéphane, le jour ou tes enfants seront embastillés sans motif tu comprendras peut-être qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas bien tans ton monde bien ordonné. En attendant, vas-y doucement avec le LBD40 car quand le vent tournera ta hiérarchie te laissera tomber sans aucune hésitation.
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« « Il y avait vraiment de la haine, les gens voulaient tuer du flic, tout brûler, tout casser. Je me suis dit ce jour-là : ‘il va y avoir des morts’. Côté policiers, côté manifestants, ou les deux. » »
Il a dû confondre les GJ avec les vraies racailles. En tout cas, beaucoup d’imagination de sa part.
Sauf que les GJ n’étaient pas armés et devant de la vraie racaille ce genre de flics font dans leur pantalon… Mais ne tirent pas. Cherchez l’erreur.
Ni bave ni haine dans les yeux des GJ. Je n’ai rien vu de tel . J’y étais le 8 12 2018. En revanche, j’ai vu des grenades tombées en cascade, une jeune fille éborgnée, des gendarmes nous charger et s’arrêter à 3 m de nous au milieu d’une foule avec la peur au ventre hystérique et nassée de toute part. Ce CRS a vu trop de film. Pipeau de première ..La foule était maintenue à distance et le retour à la Gare st Lazare parfaitement canalisée et je n’ai pas vu de panique dans les yeux des CRS. Ils maitrisaient parfaitement la situation.. Des vitrines cassées , des véhicules incendiés et une colère froide des manifestants , Oui .. Les VAB étaient là cantonnés derrière les fourgons et nous ont chargés à la suite de ces mêmes fourgons suivi par un escadron de Gendarmerie . AUCUNE panique mais des charges parfaitement orchestrées.Ce fut une journée mémorable. Ca pleuvait de tous les côtés. Aucun regret d’y avoir participé. Macron méritait une leçon. Ce jour là , peut être la t’il échappé belle, qui sait ? .
Étonnante réflexion de ce CRS qui pense avoir sauvé la République, alors qu’il a juste sauvé les fesses de macron et de sa clique de profiteurs,
on leur a bien bourré le crâne avant chaque manif, on leur a fait croire qu’ils défendaient la République, et que sans macron, c’était<<<<< c'était quoi au juste ??? fallait le lui demander,
je parierais qu'on leur a dit qu'ils perdraient leur emploi<<<
incroyable ce qu'on peut faire faire aux gens en les manipulant correctement
L’Elysée aurait pu tomber si il n’y avait pas eu le » pacte de Chambord » et Willy Schraen le traitre …
J’en veux à Macron pour avoir mis dos à dos les casseurs et les gilets jaunes.
Je ressors à volonté cet exemple :
Vous voulez assister à un concert. Des perturbateurs arrivent et vous privent de ce concert. Le concert est annulé.
Et donc vous êtes privés de concert mais en prime on vous accuse d’être complice des perturbateurs. C’est la double peine. On vous prive de droit de parole. On vous conspue. On vous dit que c’est votre faute : « vous aviez qu’à pas aimer les concerts, comme ça y’aurait eu personne dans les salles donc vous alimentez la haine… »
Y’en a marre.
Christine Tasin j’abonde en ce sens également.
Je suis entièrement d’accord avec Palimola d’une part. D’autre part le CRS qui avance l’anerie que l’Elysee aurait pu tomber ferait bien de réfléchir avant de parler. Il n’y a aucun lieu en France mis à part les sites militaires extrêmement sensibles, aussi bien protégé que cet endroit. Mr le CRS fermez votre bouche au lieu de balancer ce genre d’ineptie.
Bien à vous.
Un CRS n’est pas un militaire, voilà pourquoi il avance de telles âneries.
Je ne pense pas qu’un gradé de la gendarmerie nationale se serait fendu de remarques aussi stupides.
Cette partie de toute façon n’est surement pas finie, après le mouvement historique du 17 novembre 2018 il y a eu la provocation historique du 10 novembre 2019 (la manifestation organisée par les frères musulmans contre la prétendue islamophobie), la provocation de la honte.
La nation est encore un lac endormi, légaliste, honnête , travailleuse, mais elle ne pourra plus continuer à subir aussi longtemps l’insupportable déséquilibre du deux poids et deux mesures.
La révolution française a duré près de 10 ans elle n’a pas commencé dans la chaleur estivale d’un 14 juillet, mais dès le 24 janvier 1789 pour se terminer par le coup d’Etat du 18 brumaire 1799 (9 novembre 1799), et ce que le mouvement des Gilets Jaunes (les vrais pas les récupérateurs gauchistes de la suite) du 17 novembre à ouvert n’est pas près de s’arrêter, il s’ajoute en plus de la situatuon de souffrance sociale liée aux conséquences de la « mondialisation heureuse »(dixit Juppé) , une fronde identitaire, la volonté dans cette nouvelle Fronde d’un pays qui ne veut pas mourir (il y a un nouvel acteur qui n’existait pas à l’époque, l’immigration insensée sur un cycle de 50 ans et l’islam! Une ingéniérie sociale machiavélique comme jamais auparavant qui interroge le destin national juqu’au plus profond de l’identité des êtres).
Et cela prendra bien encore une fois de plus dix ans!
Retenons bien ces dates 17 novembre-10 novembre, deux poids et deux mesures, notamment après le guet-happens émeutier de Chanteloup-les-Vignes, ça suffit.
Article très révélateur à plusieurs égards. On n’a peut-être pas tout vu, si le volcan se réveille à nouveau.
Et la demande de davantage de démocratie, elle est passée où ? Les référendums sur des sujets qui engagent l’avenir, c’est pour quand ?
Oui, les médias aux ordres essaient encore de décrédibiliser les GJ. La ficelle est grosse. Il faudra qu’on m’explique comment des GJ non armés auraient pu prendre l’Elysée…J’avoue avoir un peu de mal à comprendre.
CRS Stéphane, le jour ou tes enfants seront embastillés sans motif tu comprendras peut-être qu’il y a qqchose qui ne fonctionne pas bien tans ton monde bien ordonné. En attendant, vas-y doucement avec le LBD40 car quand le vent tournera ta hiérarchie te laissera tomber sans aucune hésitation.
BRavo Dominique pour cette réponse, je l’ajoute en note sous l’article
ces crs ils pleuront comme des gonzelles
J’aime bien » on fera ce qu’il faut pour que l’ordre règne , quel que soit le type de personnes que l’on a en face de nous » , que ce monsieur nous avoue pourquoi lui et ses camarades sont beaucoup moins déterminés et violents face aux racailles des cités lors des émeutes organisées par cette fange ?
Parce qu’ils se caguent dessus ! Les crs savent très bien que les racailles n ‘ont peur de rien ! Sauf des balles réelles , comme dit Zineb : en tenant compte de ces paramètres , et du QI de poussin que requiert le boulot de crs :
N’attendez pas des miracles , mais plutôt des malheurs en plus !
La France est foutue !