Pervertir nos enfants par des paroles tendancieuses, les incitant mine de rien à pratiquer la haine et la violence menant directement au crime et au terrorisme, c’est la dernière trouvaille des irresponsables dégénérés qui président à la destinée de nos rejetons.
De nos jours on passe tellement de temps à secouer la tête d’un air incrédule, en apprenant certaines infos, sans commune mesure avec celles qui sont soigneusement triées, rincées, édulcorées… avant de nous être présentées dans les feuilles de choux ou sur les ondes « officielles » et donc inoffensives… que l’on finit parfois par se demander si finalement ce n’est pas nous qui « travaillons du chapeau » comme disait mon grand-père.
Avant de vous livrer celle qui suit, je vous promets que je n’ai rien inventé, et que ma source est fiable puisqu’il s’agit du « Syndicat France Police – Policiers en colère », qui d’après les infos qu’il diffuse me semble beaucoup plus proche du peuple et des Gilets jaunes que leurs collègues CRS chargés par les puissants, inefficaces auprès des vraies racailles, de se défouler sur des manifestants osant réclamer plus d’attention et plus de moyens pour vivre décemment.
Et au moment où n’importe quel membre des rédactions de la réinfosphère se voit désormais poursuivi par la secte des bien-pensants « pour incitation à la haine » au moindre propos osant dévier de la pensée unique… ce syndicat nous informe qu’il porte plainte contre le directeur de l’école Jacques Prévert à Ludres, et l’Éducation nationale en tant que personne morale, pour incitation au terrorisme, provocation d’un mineur à commettre un crime ou un délit et diffamation.
Le motif : dans cette école de la République, de Meurthe-et-Moselle, l’Éducation nationale a décidé d’intégrer dans ses programmes pédagogiques l’apprentissage aux enfants de « l’œuvre » d’un « artiste » très engagé.
Jusqu’ici, rien de répréhensible, sauf lorsque l’on se penche sur le contenu des cours, et de certaines paroles que les enseignants font apprendre à leurs élèves :
Faire pipi sur un policier […],
Prendre en otage ma p’tite sœur […],
Faire sauter la salle de classe à la dynamite […]
En provenance d’une chanson « Pour louper l’école » créée en 2008 par Guillaume Aldebert, artiste de référence dans les écoles.
Ah je vous avais prévenus, ça décoiffe !
Honnêtement, elle est plutôt amusante cette chansonnette, l’air est sympa, les paroles rigolotes… sauf qu’il paraît plus qu’étrange que les Bisounours, sanglotant et entamant une « marche blanche » chaque fois qu’une jeune racaille meurt des suites de ses actions violentes, soient incapables de voir ici une incitation à commettre des folies, à une époque où les plus jeunes sont abreuvés en permanence par la violence des sons, images et informations… diffusés en continu dans certains foyers où l’immense poste de télévision est roi !
Mais les « beaux esprits » ne sont pas choqués, puisque ce serait « du second degré »… sauf que d’une part il ne me semble pas qu’un enfant de 6/7 ans soit capable de saisir la nuance, et que par ailleurs ces mêmes grands esprits fassent preuve d’autant de tolérance envers des propos bien plus innocents, dès lors qu’ils sont prononcés par des citoyens immédiatement étiquetés « extrême droite » parce que ne pensant pas comme eux !
Ce qui n’empêche pas un père de famille, s’exprimant sous couvert d’anonymat puisque fonctionnaire de l’Éducation nationale ainsi que son épouse, de réagir avec sagesse :
« Dans le contexte que nous vivons, apprendre ce texte à des enfants de 7 ans, qui n’ont pas de recul, me semble pour le moins inapproprié »
[…] Quand j’entends les paroles, je pense au gendarme Beltrame qui a sacrifié sa vie pour sauver un otage, à ce couple de policiers assassinés sous les yeux de leurs enfants, à cette policière municipale tuée de sang-froid par un terroriste. »
Ce parent assure que son point de vue « est partagé par d’autres parents ou enseignants qui n’osent pas s’exprimer ».
Ministre, médiateur, inspection, ont été saisis. Souhaitons que la plainte du Syndicat de policiers donnera du poids à leur propre action…
Pourtant, ni le ministre de l’Éducation nationale, ni celui de l’Intérieur n’ont réagi pour l’instant ; Blanquer sans doute en train de réviser ses tables de multiplication, et Castaner cherchant dans quelle boîe de nuit il ira draguer ce soir…
Mais ils feraient bien de se manifester au plus tôt, surtout en ce qui concerne Jean-Michel Blanquer, contre qui le syndicat envisage d’étendre sa plainte, pour complicité, s’il ne fait pas immédiatement cesser ces infractions.
« Laisser l’école de la République se transformer en école de la haine témoigne du niveau de déliquescence de nos institutions et du degré de responsabilité ou d’irresponsabilité de nos politiciens », conclue le syndicat, d’autant plus écœuré que précisément ces policiers déplorent qu’un des leurs, retranché chez lui à Bailleval (Oise) vient de se donner la mort, malgré tous les efforts du GIGN pour lui sauver la vie.
Ajoutant à leur écœurement, ils constatent qu’en dépit de 21 suicides de policiers depuis le 1er janvier, les médias, toujours promptes à s’indigner pour une broutille, dès lors qu’elle affecte des puissants ou leurs protégés, ne trouvent rien de mieux ici pour minimiser ce chiffre que prétendre que les motivations de cette dernière victime seraient uniquement d’ordre personnel !
L’art de parler pour ne rien dire, ou pour bien noyer le poisson… des fois que les citoyens commenceraient à se poser des questions au sujet de ces suicides… juste au moment où certains policiers, obéissant aveuglément à des ordres indignes de leur hiérarchie, se font copieusement détester… entraînant malheureusement dans le ressentiment général l’ensemble de leurs collègues.
Fourbes à un point encore jamais égalé à ce niveau, ceux qui ont impérativement besoin de ces hommes entraînés et efficaces pour leur protection personnelle (et celle de ceux qui leur sont chers), sont les mêmes qui les envoient au casse-pipe (comme leurs collègues soldats) pour leur sauver la mise, et encaisser la responsabilité des dégâts… dont ils sont pourtant les uniques responsables, et depuis si longtemps !
Je partage totalement le malaise et la révolte de ces policiers intègres, à l’extrême opposé de ceux qui actuellement blessent gravement leurs concitoyens sans état d’âme, en obéissant servilement aux ordures qui nous gouvernent.
Pour autant, porter plainte ne sera sans doute plus suffisant, messieurs les policiers respectables, en cette période de désagrégation des valeurs morales ; choisir avec soin votre camp va devenir de plus en plus votre unique priorité.
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
https://france-police.org/author/francepolice/
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A mon époque on nous enseignait ,amour pour notre patrie , le respect pour ordre républicain et ses représentants. Maintenant on enseigne la haine , et la dépravation , désormais on a ce qu’on mérite , nous sommes tous coupables d’avoir élus depuis plus de 20 ans les dégénérés traitres qui ont conduit notre pays à la perte de toutes nos valeurs , et à la guerre civile inévitable , seuls les guerriers survivront ,les traitres ,collabos et faibles seront les premiers à succomber.
Espérons que le Syndicat France Police incluera cet « artiste » dans sa plainte pour incitation à la haine et à la violence. Et diffamation.
Comment de pareilles idées aussi irresponsables peuvent-elles naître d’un adulte dans le contexte de violence que nous subissons et destinées à des enfants ? Les associations de parents devraient aussi se pencher sur ce cas et saisir la justice.
il suffit de voir le niveau orthographique des GJ sur FB pour donner une note aux programmes scolaires régis par la gauche
c’est un massacre, un dégueulis, plus aucune notion de grammaire, on écrit comme on prononce,
Et bien oui… Mais si les gens continuent à voter toujours pour les mêmes…
Toucher à l’eau de Javel est extrêmement dangereux pour les enfants, refuser l’instruction en fait des ignorants crasses avec l’avenir qui va avec. Et ainsi de suite, la chanson est criminelle.
Le problème étant que ce sont ces mêmes policiers qui, après avoir obéi servilement aux ordres venus des des tas, vont veauter comme leurs victimes pour les mêmes tordus.
Le changement ne se fera que lorsqu’ils refuseront.
Les temps changent, nous on avait la morale, maintenant ils apprennent à pisser sur un policier. Il y a quelque chose de pourri, qui sent mauvais dans cette éducation nationale de la ripoublique.