D’un point de vue strictement juridique, il semblerait qu’à sa première arrivée dans le pays, Abou Jahjah ait obtenu le statut de réfugié politique.
La naturalisation lui aurait été attribuée ensuite, par mariage.
Il semble qu’au sein de la magistrature belge, des voix s’élèvent afin que soient enfin appliquées des mesures de déchéance de naturalisation – déchéance prévue par les textes, mais n’ayant pas encore fait l’objet d’application.
Une telle demande aurait été formulée par le procureur d’Anvers contre le responsable de sharia4belgium.
Mais l’avis de magistrats est une chose … et les mesures dépendant directement ou non, des politiciens au pouvoir en est une autre.
Or, la Belgique votera au printemps prochain (élections législatives et européennes), et le PS belge s’agite beaucoup pour éviter tout ce qui pourrait « fâcher » les immigrés musulmans déjà naturalisés… et donc électeurs.
Petit exemple de lèche-baboucheries façon PS, les dernières prises de positions en date d’élus socialistes refusant de supprimer les aides sociales, aides médicales et autres… aux djihadistes belges (ou naturalisés belges) revenant d’un séjour fort peu touristique en Syrie.
Comme contribuable belge, je n’apprécie nullement d’être obligé de payer (via mes impôts) des allocations à des types faisant le coup de feu au nom d’allah et de momo.
Le ras-le-bol de la population de souche s’accroît de jour en jour, tandis qu’une course de vitesse semble être engagée entre les partis au pouvoir (largement noyautés par les islamistes) et de nouveaux partis -en pleine croissance- qui refusent l’islamisation rampante de la société.
Abou Jahjah est un piètre stratège, car il a mal choisi le moment de son retour tonitruant, … son « cas » va tout naturellement faire l’objet d’un enjeu électoral.
Même en méprisant profondément les souchiens et autres faces de craie d’européens, nombre de « croyants » accueillis dans le pays, auraient grand tort de sous-estimer le phénomène de rejet qu’ils ont contribués à créer.
Tout est impermanent, y compris en politique (tout change tout, tout le temps) … donc, l’islamisation voulue à tout prix par certains n’est pas nécessairement acquise d’avance, ni obligatoirement destinée à perdurer.
Certains, y compris parmi les croyants les plus « enragés » seraient bien inspirés de s’en souvenir.
Mandalay
NDLR Les commentaires postés les 20, 21 et 22 septembre ne seront validés que le 23. Avec toutes nos excuses.
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Quelques mots pour préciser le texte publié.
Dans ce texte, je mentionne les mots « déchéance de naturalisation ».
Aux termes d’accords internationaux, déchoir quelqu’un de sa nationalité n’est pas possible,
Par contre, le déchoir de sa naturalisation peut l’être, si cette naturalisation a entraîné une situation de double nationalité.
C’est le cas notamment avec les immigrés originaires du Maroc (immigration la plus importante en Belgique), car le droit marocain n’autorise pas à un(e) marocain(e) à renoncer à sa nationalité d’origine.
Il en va de même pour le(s) enfant(s) né(s) hors Maroc, même après une naturalisation -dans un autre pays- des parents.
Donc déchoir de sa naturalisation belge -un immigré d’origine marocaine- ne le rend pas apatride, puisque sa nationalité marocaine initiale lui reste acquise.
Malgré l’absence de toute ombre d’un éventuel atome de venin dans mes propos, je m’aperçois qu’une fin de phrase ne manque pas de sel si elle devait s’appliquer à ….
Il se présente sous son nouveau patronyme, celui qu’il a été autorisé à utiliser suite à sa récente naturalisation
VOILA A QUOI SERT LA NATURALISATION Monsieur le ministre 145000 en plus cette année, et le pitbull vide les prisons .
Strasbourg Escroquerie L’étudiant avait contracté des crédits sous deux identités
Un homme de 27 ans a été reconnu coupable d’escroquerie mardi devant le tribunal correctionnel de Strasbourg.
Le jeune homme avait souscrit en août 2007 un prêt étudiant – qui a la caractéristique d’être garanti par l’État – de 3 300 euros auprès d’une agence de la Banque Populaire.
Deux ans plus tard, il souscrit un crédit complémentaire d’un montant de 14 200 euros. Dans la foulée, l’étudiant en école de commerce se rend dans une autre agence de la même banque. Mais cette fois, il se présente sous son nouveau patronyme, celui qu’il a été autorisé à utiliser suite à sa récente naturalisation. Pensant avoir affaire à une autre personne, la Banque Populaire lui consent un nouveau prêt étudiant d’une valeur de 14 000 euros.
« Vous étiez en défaut de paiement pour les deux premiers crédits », souligne la présidente Dominique Lehn. A la barre, le prévenu en costume cravate ne tarde pas à agacer le tribunal par sa posture un tantinet sur jouée. Il accuse les conseillers bancaires de « malhonnêteté » à son égard. « La banque ne pouvait faire aucun lien entre les deux identités », indique l’avocate de la partie civile, en précisant que le jeune homme, alors étudiant à Chambéry, a usé de la même « stratégie » vis-à-vis de la Banque Populaire des Alpes.
Le substitut du procureur Marie de Naurois estime que l’utilisation des deux identités constitue bien des « manœuvres frauduleuses destinées à tromper la banque ». Elle réclame quatre mois d’emprisonnement avec sursis contre celui qui est désormais chef de sa propre entreprise.
Le prévenu, qui se défendait seul à l’audience, a finalement écopé de six mois de prison avec sursis. Et devra verser 3 000 euros de dommages et intérêts à la Banque Populaire.