Nigeria : des musulmans criant « Allah Akbar » assassinent neuf chrétiens lors d’un raid djihadiste au petit matin

►Nigeria : des musulmans criant « Allah Akbar » assassinent neuf chrétiens lors d’un raid djihadiste au petit matin…

International Christian Concern

Des chrétiens massacrés aux cris de Allah Akbar, dans  un silence mondial complice.

Dimanche 7 septembre, vers 5 h 30, des hommes armés ont pris d’assaut Wakeh, une communauté agricole du quartier d’Agunu, dans le comté de Kachia, au sud de Kaduna, au Nigéria. L’attaque matinale a fait au moins neuf morts et huit blessés parmi les chrétiens.

Les survivants expliquent que les assaillants, qu’ils ont identifiés comme des militants peuls armés, sont arrivés à moto et à pied, ouvrant le feu et incendiant des maisons.

« Ils sont venus de la forêt près de Danin Maro en criant « Allah Akbar » »,  raconte Douglas Fogo, un survivant interrogé par International Christian Concern (ICC) dans la ville de Kachia.

« Certains sont arrivés à moto, d’autres à pied, de différentes directions. Ils ont tiré sans discernement, incendiant des maisons et forçant femmes et enfants à fuir dans la brousse. Cela a duré plus de deux heures. Nous n’avons pu que fuir. »

Après plus de deux heures de violence, les tirs ont cessé, révélant les corps de sept villageois sur les terres agricoles et les sentiers avoisinants. Deux autres ont succombé à leurs blessures plus tard.

🔹La liste des morts : 

🔹Et puisque ce ne sont pas les défenseurs du criminel George Floyd (« Black lives matter ») ni les apologistes de l’islam (cf sur RR : Plenel ou les LFI) qui parleront des gens bien, rendons un petit hommage aux chrétiens du Nigeria qui se font massacrer chaque jour au nom d’Allah : 

« Nous venons d’assister à la deuxième messe à la paroisse catholique St Paul’s Mbaga, la nouvelle station extérieure du révérend père Edwin Oguda, le dernier fils de ma mère.

Nous sommes revenus pour remercier les habitants d’Alego Usonga d’avoir pris soin de nos proches, qui font désormais partie de leur communauté.

Shalom ». X

🔹Leur devise : « pèlerins de l’espoir » – quel courage, dans un pays où les musulmans ont juré d’éliminer tous les chrétiens !

►Iran : la république islamique réprime les enfants qui dansent dans un parc d’attractions…

Iranwire

Cette répression reflète l’hostilité de longue date de la République islamique envers les manifestations publiques de joie, en particulier celles impliquant des femmes et des enfants.

Dans un pays où la joie elle-même est devenue un acte de défiance, même le rire d’un enfant dans un parc d’attractions peut déclencher une chasse à l’homme gouvernementale.

Ce qui a commencé comme un divertissement innocent lors d’une célébration religieuse s’est transformé en un nouveau champ de bataille entre les autorités iraniennes déterminées à écraser le bonheur public et les citoyens désespérés de moments de normalité au milieu de difficultés économiques écrasantes et du spectre de la guerre.

Le crime qui a mobilisé les procureurs et les autorités municipales de la province du Fars ? Une jeune femme et plusieurs enfants dansaient sur de la musique de Bollywood la semaine dernière au parc d’attractions Bagh-e-Jannat à Shiraz, entourés de mères enthousiastes.

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En 48 heures, cette vidéo de 38 secondes a déclenché la vague  habituelle d’indignation au sein de l’État. Les partisans du gouvernement ont inondé les réseaux sociaux de dénonciations de « vulgarité » et de « profanation ».

Les procureurs révolutionnaires ont promis des sanctions. Les autorités municipales se sont empressées de désigner les coupables. La machine répressive s’est mise en branle pour ce qui, partout ailleurs, aurait été considéré comme l’innocence de l’enfance.

« Les manifestations de corruption ont toujours été traitées, et cette affaire le sera aussi », a déclaré Kamran Mirhaji, le procureur provincial, à l’agence de presse Tasnim, traitant les enfants qui rient comme des menaces pour la République islamique.

Depuis la révolution islamique de 1979, les autorités ont systématiquement réprimé la danse, la musique et d’autres formes de divertissement jugées incompatibles avec leur interprétation de la loi islamique.

La municipalité de Shiraz s’est rapidement distanciée de l’événement, accusant l’opérateur privé gérant le parc d’attractions.

Ali Dianati, porte-parole de la municipalité, a qualifié le spectacle d’« illégal » et a déclaré que les organisateurs n’avaient pas obtenu les permis appropriés.

« L’organisation de ce programme n’était absolument pas autorisée », a déclaré Dianati, ajoutant que la direction de la ville était « profondément affectée par le fait que les sentiments des résidents aient été blessés ».

L’agence de presse Mehr a imputé à un « manque de surveillance » de la part du conseil municipal ce qui a permis ce qu’elle a qualifié de comportement « contraire aux normes ».

L’incident de Shiraz est le dernier d’une série de mesures de répression contre la danse et les célébrations publiques en Iran.

►Souvenons-nous…

15 septembre 2015 : Raqqa, Syrie.

Des hommes accusés d’homosexualité sont jetés d’un toit par Daesh : 10 morts.

Le régime syrien de Bachar al-Assad, qui était en guerre avec les groupes djihadistes comme Daesh, avait condamné publiquement les violences extrêmes perpétrées par ces groupes, soulignant leur brutalité et leur rejet des droits humains. Bachar al-Assad a récemment été remplacé par les islamistes, avec à leur tête le terroriste Ahmed Al-Charaa (=Joulani) qui poursuit les crimes envers les minorités du pays, et qui a été reçu avec tous les honneurs par le président français  Macron le 7 mai 2025.

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