3 Comoriens égorgent et dépècent un mouton en plein parc, la faute à nos dirigeants, depuis 50 ans !!!

L’animal a été méthodiquement dépecé sur des cartons à même le sol dans le parc.
DR

Chassez le naturel, il revient au galop… 

Un Comorien, qu’il habite Marseille ou Foumbouni, demeure un Comorien. 

D’où le crime impardonnable commis par nos politiques, au pouvoir ou pas, qui acceptent tous ceux qui frappent à la porte, même -et surtout – ceux qui ne frappent pas….

Un étranger voulant immigrer devrait, pendant le temps qu’il  était est censé passer à la frontière,  donner des preuves de son évolution, de sa compréhension de nos lois, de nos valeurs, de nos coutumes, de notre langue, de notre histoire…

Il devrait… Hélas, nos dirigeants se gardent bien de l’exiger, se gardent bien d’en parler… D’abord ils veulent nous submerger, nous faire disparaître, ensuite ils ont reçu cette mission dans les années 70, c’est le projet Eurabia, submersion migratoire contre pétrole pas cher… 

Précaution minimale, non ? Mais pas exigible, pas exigée. Alors, tous les partis politiques qui depuis des décennies encouragent l’immigration, l’applaudissent, ou font semblant de l’ignorer sont responsables et coupables. Iil faut dire que, par un tour digne d’un magicien de pacotille, les Européens ont rarement voté pour les partis de gauche mais ces derniers sont infiltrés partout, à la justice, à l’école, dans les universités, dans les myriades d’associations  qui appliquent à la lettre les demandes du Qatar…

On en est arrivés au point où, dans certains quartiers des gens -surtout des femmes- qui vivent chez nous depuis des décennies ne parlent toujours pas français…Et cela ne dérange pas nos politiques… le crétin de contribuable est là pour payer les réparations des dégâts, les indemnités aux victimes, le coût des prisons… et même celui des avocats, offerts par le contribuable aux malfrats..

Coupables ! Responsables ! Et les mêmes de disserter sur les plateaux de sujets insignifiants pour éviter d’aborder l’essentiel. Quand ils ne hurlent pas au racisme pour interdire à leurs interlocuteurs de parler de ce qui  fâche.

Le fait-divers mettant en cause à Marseille 3 Comoriens devrait conduire des milices populaires à tirer du lit nos responsables depuis 50 ans pour les faire juger, condamner, payer… Idée de condamnation :  que nos habitués du XVIème, vivant là où tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté… soient enfermés pendant quelques mois ou années dans des cellules partagées avec ces gens venus d’ailleurs, très frustres, ne connaissant ni nos moeurs ni notre hygiène par exemple.

À Marseille, trois Comoriens ont été interpellés après avoir égorgé et dépecé un mouton en plein parc de l’Espérance, sous les yeux de familles présentes. Une scène choquante qui a conduit à la saisie de la viande et au dépôt d’une plainte par la SPA.

Un dimanche marqué par l’incompréhension et l’effroi

Le dimanche 24 août, selon les informations de La Provence, l’ambiance familiale du parc de l’Espérance, situé dans le quartier du Canet (14ᵉ arrondissement de Marseille), a soudainement basculé dans l’inattendu. Alors que des enfants jouaient et que des familles profitaient du soleil, plusieurs promeneurs ont aperçu un mouton accompagné par trois hommes.

L’étonnement s’est rapidement mué en stupeur lorsque le trio a sorti des couteaux et a procédé à l’égorgement de l’animal, en plein espace public.

Une mise à mort suivie d’un dépeçage

Après avoir égorgé le mouton, les trois hommes se sont installés sur des cartons posés au sol pour le dépecer, sous les yeux incrédules des passants. Armés de simples couteaux de cuisine, ils ont découpé l’animal avec une certaine maîtrise, comme s’ils s’étaient préparés à transformer immédiatement la viande.

Choqués, plusieurs témoins ont alerté la police municipale.

L’intervention des forces de l’ordre

La brigade Nord de la police municipale est rapidement intervenue. Les agents ont mis fin à la scène et interpellé les trois individus, des ressortissants comoriens âgés d’une trentaine d’années. La viande a été immédiatement saisie par les policiers et détruite.

Par ailleurs, la Société Protectrice des Animaux (SPA) a déposé une plainte concernant ces faits.

Une scène qui questionne

L’abattage d’animaux en dehors des abattoirs agréés est strictement interdit par la loi française. Cette scène, d’autant plus choquante qu’elle s’est déroulée en plein espace public et devant des enfants, a provoqué une vive réaction des riverains et relance le débat sur le respect des règles sanitaires et de protection animale. Source

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