L’immeuble situé dans l’ouest parisien, avenue George V, longtemps occupé par des bureaux, doit être transformé en 23 logements sociaux, 7 logements privés, un centre médical et des commerce.
Le permis de construire doit être déposé en ce mois de septembre, mais le montant annoncé par la municipalité fait hurler l’opposition ainsi que des membres du mouvement #SaccageParis, très actifs sur les réseaux sociaux !
Préempté par la Ville de Paris en 2008 pour la somme de 17 millions d’euros, l’immeuble a été cédé, après une délibération en Conseil de Paris, au bailleur social Paris Habitat à un peu plus de 36 millions d’euros en 2023, montant auquel s’ajoutent deux compléments portant le minimum garanti pour la Ville à 40 millions d’euros.
Le budget global pour Paris Habitat est de 48 millions (pas 65) y compris le rachat de l’immeuble à la ville
PH engrange des recettes (ventes des commerces, logements privés, droits de commercialites,…)
Le coût pour les finances publiques est beaucoup plus faible
Évidemment https://t.co/v2ta0BD4Xy— Jacques Baudrier (@jacquesbaudrier) September 3, 2025
Jean-Baptiste Olivier, vice-président du groupe Changer Paris en charge notamment des questions de logement et d’urbanisme, propose un autre calcul : « Près de 50 millions d’euros pour 23 logements, ça fait bien plus d’1 million par logement. Le coût dans d’autres arrondissements d’un logement social est au moins 5 fois inférieur », déplore-t-il.
Le conseiller de Paris s’interroge également quant à la vie des futurs locataires de l’avenue George-V : « Où iront-ils faire leurs courses dans ce quartier ? Il faut être rationnel… » Aussi membre du conseil d’administration du même bailleur social, Jean-Baptiste Olivier rappelle que « Paris Habitat, c’est la Ville de Paris. À chaque projet, on vote les garanties d’emprunt. S’il y a un problème, c’est la Ville qui assure. »
Sujet de campagne
En outre, l’élu ne remet ici « pas en cause la préemption de l’immeuble à un bon prix en 2008 », mais dénonce « un scandale de gestion » : « Qu’est-ce qu’on a fait pendant dix-sept ans ? » La municipalité explique cette attente par les procédures contentieuses et la contestation du titre de propriété du vendeur lui-même.

Les futurs locataires du 37, avenue George-V ne sont attendus dans les murs qu’entre fin 2027 et début 2028.
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L’âne dingo est une habituée de ces rénovations d’immeubles bourgeois pour y loger des familles nombreuses africaines, au frais du Nicolas parisien; apparemment les parigots sont satisfaits puisqu’ils l’ont réélue.
C’est de pire en pire, la gauchiasse ne comprend rien.
Cela va péter, et ça va faire mal à tous ces bobos socialopes qui gaspillent l’argent public.
Il faudra bien qu’ils remboursent.
l’idéologie gauchiste : la racaille va se vautrer dans les immeubles de luxe, entrtenue par les impots de ceux qui iront crécher là où ils pourront
Rien n’est trop beau pour nos ingénieurs à Grenoble analphabètes.
On est bien dirigé par des politicards mafieux, c’est clair maintenant…
Ce sont des logements pour migrants, et là on ne regarde pas à la dépense. Déjà qu’ils sont logés dans des hôtels et des châteaux.
La Ville de Paris se targue d’avoir fait une bonne affaire en préemptant à 17 millions d’euros puis revendu 36 millions d’euros.
Mais la préemption, privation de la propriété, ne doit se faire qu’après versement d’une « juste et préalable indemnité » ! Ce ne fut pas le cas. Le propriétaire a manifestement été volé. La Ville devrait le rembourser de 36-17 = 19 millions d’euros ! Cela aussi est un scandale, et la démonstration que ces préemptions sont exactement du vol.