Zelensky veut faire sa loi à Hollywood, maintenant !

À force de voir les grands de ce monde lui dérouler le tapis rouge, et le traiter en égal, le court sur pattes souffreteux se prend pour le maître de l’univers. Macronescu peut bien se tenir. Le clown rase-mottes, faux président non élu d’une dictature bananière faisandée, risque de lui piquer le job envié de Macagoula n’goulou m’boula, ce qui signifie « chef de toutes les tribus » en langue des Pygmées du Centrafrique.

Le virtuose du piano à queue est complètement maso. Il ne sait plus quoi faire pour accroître le nombre des gens qui le détestent et le méprisent.

Voilà qu’il s’en prend maintenant à Woody Allen… Et prétend non seulement le faire interdire de séjour en Russie mais aussi le chasser de Hollywood ! Cet homuncule ne doute de rien depuis que les papouilles de Fripounette l’ont revigoré.

Producteur, acteur, réalisateur, l’Américain de 89 ans, à la retraite plus ou moins forcée, a marqué de sa patte une bonne cinquantaine de films. Sans parler des bouquins qu’il a écrits ou qu’on lui a consacré. Qu’on l’apprécie ou pas, c’est une figure du cinéma mondial. Même si ses sketchs qualifiés par les intellos de drôles et brillants, empreints d’une philosophie de la vie roborative, me laissaient de marbre.

Sans doute trouvais-je son humour de vieux potache un peu déphasé. Ses allusions aux névroses des coincés de l’époque trop datées. Et avec le recul, terriblement décalées. Les comédies de mœurs portées par les idées à la mode saupoudrées d’une pincée de psychanalyse n’ont jamais été ma tasse de thé.

À l’ère punk, c’était bien vu de paraître acariâtre, dépressif, cynique, lunaire, alcoolique… Tous les clichés des universitaires parasites qu’il portait sur sa tête de binoclard ahuri, mis sur orbite dans le ciel des délires révolutionnaires. Qu’ils n’auraient jamais le cran de pousser jusqu’au bout. Parce que c’est trop confortable de vitupérer contre un système dont on profite au maximum.

Mais il est vrai que je suis un primaire. Seuls m’intéressent les westerns à la Clint Eastwood, et les films de baston avec Charles Bronson, dont Jason Statham fait un héritier honorable. Avec une place à part pour Jason Momoa qui fait chavirer le cœur des vahinés, comme tous les sauvages athlétiques des îles tropicales.

Bref, Woody Allen ne m’a jamais vraiment captivé. Sans que je parvienne à le détester. Il m’indifférait tout simplement. À mes yeux, son humour juif revendiqué ne suffisait pas à garantir un quelconque talent. Trop dispersé. Trop ambigu. Trop allusif pour mon goût. Je déteste réfléchir au cinéma. Un bon film, c’est une bonne histoire, avec un héros qui vole au secours des belles en détresse et fracasse la tête des méchants. On ne sait plus faire ça en France, depuis que le cinéma subventionné s’est soviétisé dans la moraline tiers-mondiste.

Néanmoins, j’ai levé un sourcil quand j’ai découvert la bassesse de tous les beaux esprits qui incendiaient Woody après l’avoir encensé, pour son mariage avec Soon-Yi, une délicieuse petite Asiatique, fille adoptive de son ex Mia Farrow. Les donneurs de leçons des médias qui ne voient rien de troublant chez les Trognon-Macreux hurlaient alors au scandale à cause des liens de parenté indirecte et de la différence d’âge.

Le nain corrompu de Kiev, révélant une fois de plus son ascendance turco-mongole et son idéologie nazillonne, voulait blacklister Woody Allen en Russie, et mettait Poutine en demeure de lui obéir ! Comme Macron, l’excès de sucre en poudre lui a ravagé le cerveau.

Zygomyr, comme Fripounette, est un raté qui aurait voulu être un artiste. D’autant plus intolérant qu’il repose sur des sables mouvants. Malgré leurs efforts pour jouer des rôles de présidents, ils ne sont pas crédibles. Leurs frêles épaules portent mal la défroque. La cravate ou le col serré autour de leurs cous fripés de dindons hermaphrodites anticipent le gibet auquel ils sont promis. Et leur tronche en biais ferait peur aux vieilles dames dans les ascenseurs. Ils le savent. Et ça les rend méchants, agressifs, vindicatifs et hargneux.

C’est le propre de tous les histrions ramenés à leur vraie dimension de camelots de fête foraine. Bonimenteurs en vente forcée pour placer des potions anti-russe ou des vaccins covidesques, ça ne fait pas le bonheur de ces charlatans qui ont rêvé d’être James Dean ou Gérard Philipe. Même s’ils se goinfrent de pognon, ça ne soigne pas leurs complexes. Quand ils se voient tels qu’ils sont. Un minus et un paltoquet, frêles créatures comparés au regretté Hulk Hogan.

Dans une tirade colérique, le bouffon échappé du cirque de Kiev a fustigé l’apparition en visioconférence de Woody Allen lors de la Semaine du film international de Moscou, considérant que cela représentait une offense aux victimes de la guerre contre la Russie.

Pas besoin de la présence physique de l’Américain. Son image, même pas holographique, suffit pour créer le malaise. Et jeter un sort ? On nage en plein dans le vaudou et la pensée magique. Confirmant ce que disent les Russes : les Ukrainiens sont des gens simples, mal dégrossis, très superstitieux et pas trop futés.

Il n’y a pas que le cinéma qui est visé. L’avorton qui prétend enrégimenter le monde entier et le soumettre à ses caprices de diva décatie déploie toutes ses fourberies, ses chantages et ses gémissements pour faire interdire de compétition les athlètes russes, dans toutes les disciplines. De même qu’il menace des foudres de ses sicaires du SBU quiconque ferait travailler le cinéma russe ou le théâtre russe, écouterait de la musique russe, lirait de la littérature russe ou mangerait de la salade russe. L’embargo va jusqu’aux groupes folkloriques !

Ce type est un dégénéré, vindicatif et mesquin. Inculte et illettré. Mégalomane et paranoïaque. Complexé par sa petite taille et sa tronche en biais. Et dire qu’il se trouve en Occident, et en France en particulier, des crétins formatés par les télés-menteurs pour admirer ce zozo. Et faire un héros de ce zéro.

Woody Allen, malgré son âge et son air de toujours marcher à côté de ses pompes, ne s’est pas laissé écraser les orteils par le nain turco-mongol.

L’Américain invité à s’exprimer en ligne lors de la Semaine Internationale du film de Moscou, par le réalisateur russe Fiodor Bondartchouk, grand admirateur de Poutine, a rendu fou de rage le minus dans son bunker, protégé par ses mercenaires, ses tortionnaires et ses janissaires. Il tempêtait, bavait, éructait, gigotait. Un instant, ses loufiats ont craint une crise d’épilepsie. Même pas. C’était juste une guêpe russe qui l’avait piqué au bas du dos.

Woody Allen a pu parler librement à une salle bondée, depuis un écran géant. Évidemment, c’est une douche froide pour les bellicistes européistes et les Boches revanchards, après le soutien outrancier apporté au Zygomyr par « le métier ». Ces cabotins millionnaires d’ultra gauche qui ont le pouvoir de faire et défaire les carrières. Leur cenSSure et leur ostracisme sont implacables. Ceux qui ne sont pas d’accord ont intérêt à la boucler s’ils veulent continuer à tourner.

Ratant une belle occasion de se taire, le ministre des Affaires étrangères du Zygomyr, promu procureur dans un simulacre de procès de Moscou (!), a hurlé que la participation de Woody Allen constituait une honte et une insulte au sacrifice des Ukrainiens qui ont été tués ou blessés par les vilains Russes. Quelle bande de chochottes ! On est émus par la sensiblerie de ceux qui font exécuter par le SBU d’une balle dans la nuque les opposants à la demi-portion déguisée en Rambo.

Avec la grandiloquence qu’il déploie pour taper ses dupes de quelques milliards chaque fois qu’il les embrouille, le gnome trapu a avancé une pensée profonde rédigée par son gagman habituel : « La culture ne devrait jamais être utilisée pour blanchir des crimes ». Ceux attribués à l’ennemi évidemment. Pas ceux de ses sbires, légitimés pour la bonne cause. Et approuvés par l’abjecte Eurocrature, sa hyène fétide et sa bande de chacals putrides que personne n’a élus.

Quoi qu’il en soit, le réalisateur américain pas impressionné par ces gesticulations minables, a déclaré à l’agence russe Ria Novosti qu’il envisagerait volontiers de tourner en Russie si une proposition lui était faite. En précisant que, si son dernier passage en URSS n’avait pas été très agréable, « tout a changé depuis, et la Russie est devenue merveilleuse ».

Christian Navis

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Ripostelaique.com

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4 Commentaires

  1. Bête, méchant, corrompus, avide de fric et pas qu’un peu, des milliards. Ce criminels qui assassine son peuple et détruit son pays est reçu en grande pompe par notre faux président traîtres et aussi pourri que lui. Et personne pour nous débarrasser de ces deux connards

  2. Je n’ai pas plus d’affinités électives avec le clown Hollywood et celui de Kiev, tout ce qu’ils peuvent prendre dans la gueule me fait plaisir, mais question cirque, je préfère celui innocent de mon enfance : le cirque de Kiri. Aujourd’hui il nous reste les « pipelettes », pour ceux qui connaissent cette série d’animation de Jean Image.