Al Andalous, l’invention d’un mythe: La réalité historique de l’Espagne des trois cultures Broché – Grand livre, 25 octobre 2017
Al-Andalous ou l’invention d’un mythe !
« Qui partage ton métier est rarement ton allié ».
Qu’a-t-on reproché à ce livre ? De briser un mythe et d’oser rappeler que les morisques (musulmans « marranes », convertis au christianisme en 1492, sans grande conviction, souvent des Berbères amenés par les Almohades qui avaient entrepris une campagne de remplacement fort similaire à celle qui se dessine aujourd’hui en Europe) formaient un groupe opposé à la société chrétienne redevenue dominante : ils aidaient les pirates nord-africains à ravager les côtes de l’Espagne, emmenant hommes, femmes et enfants en captivité et les réduisant en esclavage. Il n’y a donc rien de scandaleux à ce que les reyes catolicos les aient refoulés au XVII° siècle, parce qu’ils représentaient un danger potentiel et que pour la plupart, ils s’avéraient inassimilables. L’idée du repeuplement de l’Espagne par des chrétiens et des Espagnols du Nord n’a rien de révoltant dans un territoire occupé et soumis pendant de longs siècles à une domination totalitaire, religieuse, économique et politique et largement sous-peuplé après 1492. Rien de révoltant non plus à souligner qu’il faut « appliquer la même rigueur, la même tolérance ou, mieux encore adopter la même distance à l’égard des crimes des chrétiens et des musulmans (p. 605) Au-delà du mythe d’Al-Andalous et de sa genèse idéologique, on trouve dans cet ouvrage une analyse historiographique sans concession et quelques digressions intéressantes: sur le flamenco qui ne vient pas des Arabes; sur la culture populaire espagnole; sur l’opposition entre savants « maurophiles » et « chauvinistes ».
Dans un ensemble cohérent, l’auteur ouvre ces chapitres comme autant de fenêtres insolites sur divers aspects de la culture espagnole et de ce qu’ils apportent de singulier à l’identité de l’Espagne. Identité dont l’auteur récuse le caractère « essentiel », non, il n’y pas d’essence de l’Espagne, mais il y a un peuple qui se reconnaît dans une histoire, des traits partagés, des manières d’être communes pétries par le temps, comme aussi dans des caractéristiques ethniques et non les Espagnols ne descendent pas des Arabes… La reconquête n’a pas seulement été une affaire de territoire mais aussi de repeuplement et de tentatives d’intégration des « minorités ». Mais pour s’intégrer, il faut que les deux parties prenantes le souhaitent. Tiens, déjà… L’auteur lui-même conclut sur « l’originalité de ce livre » qui vise à « répondre au besoin de ne plus œuvrer dans les catacombes, loin du regard des grands médias, afin de faire connaître des réalités historiques et des faits très concrets de notre passé qui ont des échos dans notre présent. (…). En 1932, on déposséda l’écrivain égyptien Taha Hussein de sa chaire de littérature arabe et on l’expulsa de l’université du Caire parce qu’il avait mis en doute l’authenticité de la poésie antéislamique, invention des rhapsodes des II° et III° siècle après l’Hégire. Ses idées disparurent.
Il serait regrettable que celles de Serafin Fanjul disparaissent aussi parce qu’une poignée d’idéologues sans envergure emboîtent le pas au collectif de chercheurs mal avisés comme ceux qui, sous la houlette d’ Alain de Libera, avait non seulement cherché à discréditer le livre de Sylvain Gouguenheim, Aristote au Mont saint Michel, mais plus grave, avait a ttaqué sa personne. Fanjul, qui a lu ce livre français, en salue la qualité et dénonce la pauvreté et la déloyauté de cette attaque en règle, d’une rare violence. « L’indépendance peut coûter cher mais les possibles conséquences d’une telle attitude ne nous ont jamais fait reculer ». Voilà donc un homme courageux.
La lecture de cet ouvrage est un bonheur. Elle est aussi une urgence et un devoir.
L’Europe ne doit pas ses savoirs à la civilisation islamique !
Sylvain Gouguenheim : et si l’Europe ne devait pas ses savoirs à l’islam ?
L’historien Sylvain Gouguenheim récuse l’idée que la science des Grecs ait été transmise à l’Occident par le monde musulman. Étonnante rectification des préjugés de l’heure, ce travail de Sylvain Gouguenheim va susciter débats et polémiques. Son thème : la filiation culturelle monde occidental-monde musulman.
Sur ce sujet, les enjeux idéologiques et politiques pèsent lourd. Or cet universitaire des plus sérieux, professeur d’histoire médiévale à l’Ecole normale supérieure de Lyon, met à mal une série de convictions devenues dominantes. Ces dernières décennies, en suivant notamment Alain de Libera ou Mohammed Arkoun, Edward Saïd ou le Conseil de l’Europe, on aurait fait fausse route sur la part de l’islam dans l’histoire de la culture européenne.
Que croyons-nous donc ? En résumé, ceci : le savoir grec antique – philosophie, médecine, mathématique, astronomie -, après avoir tout à fait disparu d’Europe, a trouvé refuge dans le monde musulman, qui l’a traduit en arabe, l’a accueilli et prolongé, avant de le transmettre finalement à l’Occident, permettant ainsi sa renaissance, puis l’expansion soudaine de la culture européenne. Selon Sylvain Gouguenheim, cette vulgate n’est qu’un tissu d’erreurs, de vérités déformées, de données partielles ou partiales. Il désire en corriger, point par point, les aspects inexacts ou excessifs.
“AGES SOMBRES”
Y a-t-il vraiment eu rupture totale entre l’héritage grec antique et l’Europe chrétienne du haut Moyen Age ? Après l’effondrement définitif de l’Empire romain, les rares manuscrits d’Aristote ou de Galien subsistant dans des monastères n’avaient-ils réellement plus aucun lecteur capable de les déchiffrer ? Non, réplique Sylvain Gouguenheim. Même devenus ténus et rares, les liens avec Byzance ne furent jamais rompus : des manuscrits grecs circulaient, avec des hommes en mesure de les lire. Durant les prétendus “âges sombres”, ces connaisseurs du grec n’ont jamais fait défaut, répartis dans quelques foyers qu’on a tort d’ignorer, notamment en Sicile et à Rome. On ne souligne pas que de 685 à 752 règne une succession de papes… d’origine grecque et syriaque ! On ignore, ou on oublie qu’en 758-763, Pépin le Bref se fait envoyer par le pape Paul Ier des textes grecs, notamment la Rhétorique d’Aristote.
Cet intérêt médiéval pour les sources grecques trouvait sa source dans la culture chrétienne elle-même. Les Evangiles furent rédigés en grec, comme les épîtres de Paul. Nombre de Pères de l’Eglise, formés à la philosophie, citent Platon et bien d’autres auteurs païens, dont ils ont sauvé des pans entiers. L’Europe est donc demeurée constamment consciente de sa filiation à l’égard de la Grèce antique, et se montra continûment désireuse d’en retrouver les textes. Ce qui explique, des Carolingiens jusqu’au XIIIe siècle, la succession des “renaissances” liées à des découvertes partielles.
La culture grecque antique fut-elle pleinement accueillie par l’islam ? Sylvain Gouguenheim souligne les fortes limites que la réalité historique impose à cette conviction devenue courante. Car ce ne furent pas les musulmans qui firent l’essentiel du travail de traduction des textes grecs en arabe. On l’oublie superbement : même ces grands admirateurs des Grecs que furent Al-Fârâbî, Avicenne et Averroès ne lisaient pas un mot des textes originaux, mais seulement les traductions en arabe faites par les Araméens… chrétiens !
Parmi ces chrétiens dits syriaques, qui maîtrisaient le grec et l’arabe, Hunayn ibn Ishaq (809-873), surnommé “prince des traducteurs”, forgea l’essentiel du vocabulaire médical et scientifique arabe en transposant plus de deux cents ouvrages – notamment Galien, Hippocrate, Platon. Arabophone, il n’était en rien musulman, comme d’ailleurs pratiquement tous les premiers traducteurs du grec en arabe. Parce que nous confondons trop souvent “Arabe” et “musulman”, une vision déformée de l’histoire nous fait gommer le rôle décisif des Arabes chrétiens dans le passage des oeuvres de l’Antiquité grecque d’abord en syriaque, puis dans la langue du Coran.
Une fois effectué ce transfert – difficile, car grec et arabe sont des langues aux génies très dissemblables -, on aurait tort de croire que l’accueil fait aux Grecs fut unanime, enthousiaste, capable de bouleverser culture et société islamiques. Sylvain Gouguenheim montre combien la réception de la pensée grecque fut au contraire sélective, limitée, sans impact majeur, en fin de compte, sur les réalités de l’islam, qui sont demeurées indissociablement religieuses, juridiques et politiques. Même en disposant des oeuvres philosophiques des Grecs, même en forgeant le terme de “falsafa” pour désigner une forme d’esprit philosophique apparenté, l’islam ne s’est pas véritablement hellénisé. La raison n’y fut jamais explicitement placée au-dessus de la révélation, ni la politique dissociée de la révélation, ni l’investigation scientifique radicalement indépendante.
Il conviendrait même, si l’on suit ce livre, de réviser plus encore nos jugements. Au lieu de croire le savoir philosophique européen tout entier dépendant des intermédiaires arabes, on devrait se rappeler le rôle capital des traducteurs du Mont-Saint-Michel. Ils ont fait passer presque tout Aristote directement du grec au latin, plusieurs décennies avant qu’à Tolède on ne traduise les mêmes oeuvres en partant de leur version arabe. Au lieu de rêver que le monde islamique du Moyen Age, ouvert et généreux, vint offrir à l’Europe languissante et sombre les moyens de son expansion, il faudrait encore se souvenir que l’Occident n’a pas reçu ces savoirs en cadeau. Il est allé les chercher, parce qu’ils complétaient les textes qu’il détenait déjà. Et lui seul en a fait l’usage scientifique et politique que l’on connaît.
Somme toute, contrairement à ce qu’on répète crescendo depuis les années 1960, la culture européenne, dans son histoire et son développement, ne devrait pas grand-chose à l’islam. En tout cas, rien d’essentiel. Précis, argumenté, ce livre qui remet l’histoire à l’heure est aussi fort courageux.
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ARISTOTE AU MONT SAINT-MICHEL. LES RACINES GRECQUES DE L’EUROPE CHRÉTIENNE de Sylvain Gouguenheim. Seuil, “L’Univers historique”, 282 p., 21 €.
Source : lemonde.fr
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La fable de la transmission arabe du savoir antique
Extraits d’un article de Jacques Heers, Nouvelle Revue d’ H istoire n°1 :
« A en croire nos manuels, ceux d’hier et plus encore ceux d’aujourd’hui, l’héritage de la Grèce et de Rome fut complètement ignoré de notre monde occidental, de la chute de l’empire romain jusqu’à la Renaissance : 1.000 ans d’obscurantisme !
Et d’affirmer, du même coup, que les auteurs de l’Antiquité ne furent connus que par l’intermédiaire des Arabes, seuls capables d’exploiter et de transmettre cette culture que nos clercs méprisaient.
Nos livres parlent volontiers des savants et traducteurs de Tolède qui, au temps des califes de Cordoue, auraient étudié et fait connaître les auteurs anciens. Ils oublient de rappeler que cette ville épiscopale, comme plusieurs autres et nombre de monastères, était déjà, bien avant l’occupation musulmane, un grand foyer de vie intellectuelle pénétrée de culture antique.
On veut nous faire croire aux pires sottises et l’on nous montre des moines, copistes ignares, occupés à ne retranscrire que des textes sacrés. Pourtant, aucun témoin, aux temps obscurs du Moyen Age, n’a jamais vu une bibliothèque livrée aux flammes et nombreux sont ceux qui, au contraire, parlent de monastères rassemblant d’importants fonds de textes anciens.
Il est clair que les grands centres d’études grecques ne se situaient nullement en terre d’islam mais à Byzance. (…) Nulle trace dans l’Église, ni en Orient ni en Occident, d’un quelconque fanatisme, alors que les musulmans eux-mêmes rapportent nombre d’exemples de la fureur de leurs théologiens, et de leurs chefs religieux contre les études profanes.(…)
Peut-on oublier que les Byzantins ont, dans les années 550, reconquis et occupé toute l’Italie, les provinces maritimes de l’Espagne et une bonne part de ce qui avait été l’Afrique romaine? Que Ravenne est restée grecque pendant plus de 200 ans, et que les Italiens appelèrent cette région la Romagne, terre des Romains, c’est-à-dire des Byzantins, héritiers de l’empire romain ?
Rendre les Occidentaux tributaires des leçons servies par les Arabes n’est rien d’autre qu’une fable.
Agrégé d’histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des lettres et aux universités d’Aix-en-Provence, d’Alger, de Caen, de Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du Département d’études médiévales de Paris-Sorbonne.« A en croire nos manuels, ceux d’hier et plus encore ceux d’aujourd’hui, l’héritage de la Grèce et de Rome fut complètement ignoré de notre monde occidental, de la chute de l’empire romain jusqu’à la Renaissance : 1.000 ans d’obscurantisme !
Et d’affirmer, du même coup, que les auteurs de l’Antiquité ne furent connus que par l’intermédiaire des Arabes, seuls capables d’exploiter et de transmettre cette culture que nos clercs méprisaient.
Nos livres parlent volontiers des savants et traducteurs de Tolède qui, au temps des califes de Cordoue, auraient étudié et fait connaitre les auteurs anciens. Ils oublient de rappeler que cette ville épiscopale, comme plusieurs autres et nombre de monastères, était déjà, bien avant l’occupation musulmane, un grand foyer de vie intellectuelle pénétrée de culture antique.
On veut nous faire croire aux pires sottises et l’on nous montre des moines, copistes ignares, occupés à ne retranscrire que des textes sacrés. Pourtant, aucun témoin, aux temps obscurs du Moyen Age, n’a jamais vu une bibliothèque livrée aux flammes et nombreux sont ceux qui, au contraire, parlent de monastères rassemblant d’importants fonds de textes anciens.
Il est clair que les grands centres d’études grecques ne se situaient nullement en terre d’islam mais à Byzance. (…) Nulle trace dans l’Église, ni en Orient ni en Occident, d’un quelconque fanatisme, alors que les musulmans eux-mêmes rapportent nombre d’exemples de la fureur de leurs théologiens, et de leurs chefs religieux contre les études profanes.(…)
Peut-on oublier que les Byzantins ont, dans les années 550, reconquis et occupé toute l’Italie, les provinces maritimes de l’Espagne et une bonne part de ce qui avait été l’Afrique romaine? Que Ravenne est restée grecque pendant plus de 200 ans, et que les Italiens appelèrent cette région la Romagne, terre des Romains, c’est-à-dire des Byzantins, héritiers de l’empire romain ?
Rendre les Occidentaux tributaires des leçons servies par les Arabes n’est rien d’autre qu’une fable.
Agrégé d’histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des lettres et aux universités d’Aix-en-Provence, d’Alger, de Caen, de Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du Département d’études médiévales ParisSorbonne. https://www.fdesouche.com/2009/07/17/la-fable-de-la-transmission-arabe-du-savoir-antique-par-jacques-heers/
Pcc :Juvénal de Lyon
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C’est une fable grotesque, je me demande qui peut gober pareille ânerie !
Je n’ai jamais cru à cette fable.
D’ailleurs je suppose que c’est une invention gauchiasse servant à promouvoir les destructeurs islamiques.
Tous les auteurs grecs et latins, ont été conservés précieusement dans les monastères et abbayes qui parsemaient toute l’Europe.
Les moines communiquaient entre eux en latin, c’était la langue de la messe, la même pour tous dans toute l’Europe.
Les moines étaient les LETTRES de cette époque, et c’est grâce à eux que la culture gréco-latine nous est parvenue .
Comment imaginez-vous la traduction en vermicelles ?
Et qui auraient été les traducteurs ?
Les Arabes ont probablement piqué quelques connaissances, mais c’est tout.
Il y avait également des lettrés parmi les seigneurs et les nobles de la cour. Des livres existaient en parchemin ou en vélin, rares et chers.
Quel dommage cette couleur orange violent qui empêche de lire et agresse les yeux.
Je passe très vite dessus sans regarder.
ça gêne vraiment la lecture, merci de la remplacer par du jaune ou par rien du tout, c’est mieux.
Ne dit-on pas que le mieux est l’ennemi du bien ?.
Macron, a tout vendus? Nos joyaux ? De la patrie Française? Toutes la France iest au courant? Entre autres : ALSTON et la liste, seraient trop longues, pour citer? Tous les joyaux de nôtres patries? Alors, un tapis, de plus ou de moins? Il en, a rien, à cirer 🤮 ( il faut vous réveiller? Peuples Français? La France 🇫🇷 s’écroule, tous les jours, un peut plus? Et vous regardez? Sans bouger? ,c’est dramatique? Et pitoyable? Nous sommes dans, le murs et venons de passer? Devant la Grèce, devant l’Italie 🇮🇹? La dette insoutenable? Que le président Macron? Responsables? De cette situation? Abyssales? Qui détruit nôtres pays? C’est abominable? De laisser, continuer? À la perdition? De nôtres pays
Avant le milieu des années 60, dans le secondaire,la conquête arabe de l’Espagne était considérée comme un envahissement, ainsi que toute attaque du royaume francs par les musulmans et il n’y avait rien à en attendre d’autre que des massacres. C’étaient comme les Huns.
2 livres que j’ai lus à leur sortie. Petite anecdote : je le (celui de Fanjul) commande à la FNAC, le paye et il devait être livré chez moi. SMS de la Fnac me disant qu’il était impossible de se procurer ce livre, donc remboursement ! Illico, je vais sur Amazon et par miracle, 2 jours après je le recevais chez moi.Moralité, je ne mets plus un pied à la FNAC
A la FNAC, chaque fois qu’ils ne disposent pas d’un article, ils vous racontent que ça ne se fait plus, qu’il n’existe nulle part ailleurs.
Ils m’ont fait le coup et maintenant je connais leur politique. C’est une réponse automatisée.
Mais qu’est ce que le cancer islamique a pu apporter à l’Europe?Absolument rien ,rien que les ténèbres .Cette religion immonde n’a apportée que les désastres. Attentas islamiques, insécurité, .violence,..Il n’y a rien de bon dans l ‘islam.
L’islam est un cancer et n’a rien à foutre chez nous. Totalement incompatible avec nos mœurs et notre culture. L’islam dehors et les mosquées……
Le principal responsable et coupable du projet révisionniste « Le coran Européen » est le professeur John TOLAN, de l’Université de Nantes.
Faisons savoir à ce révisionniste collabo que son projet ne passera JAMAIS dans l’opinion publique :
IMPRIMER le présent article et l’ENVOYER à ce traître par La Poste à son adresse postale figurant sur
https://www.iea-nantes.fr/fr/annuaire/john-tolan
au paragraphe « Projet de recherche »
Pour imprimer l’article facilement, cliquer sur l’icone « + » blanc sur fond bleu en toute fin d’article puis sélectionner l’icône PrintFriendly.
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Au bas de la page 4, écrire « Lire la suite sur internet ».
Mettre les deux feuilles dans une enveloppe, écrire l’adresse, timbrer et poster.
Options : envoyer à ce professeur le précédent article cité, imprimé de même (clic sur mon pseudo ci-dessus).
Bonjour,
Merci pour cet article passionnant !
Les seuls « bienfaits » de l’iSSlam sont : le vol, le pillage, le viol, le meurtre, l’humiliation, le génocide (la liste n’étant pas exhaustive, je m’arrête là), bref, ça fait plus de 1400 ans que cette secte de merde fait chier (et le mot est faible) le monde entier, semant tristesse,, mort et désolation partout où ce cancer se développe, et… il serait TEMPS de remedier enfin à éradiquer totalement et définitivement les adeptes de cette chienlit, et leurs soutiens, mais ça…….
+++++
Ah oui, cette fameuse culture musulmane, véhiculée gentiment, amicalement par les gais sabreurs de Mahomet.
OUVRAGE épuisé, il reste 1 exemplaire chez AMAZON 72 Euros !!!
ARISTOTE AU MONT SAINT MICHEL de Sylvain Gouguenheim, Ed. Le Seuil
https://www.amazon.fr/Aristote-mont-Saint-Michel-grecques-chr%C3%A9tienne/dp/2020965410/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=27S90G11Q073L&dib=eyJ2IjoiMSJ9.VbccKEMyd8WoqIy_EZZr0BHwswx5zmwcMWAzcJp65izGjHj071QN20LucGBJIEps.Dwh6UQlgRVWUaXScf2-sAvJvacOboGDvS0ubJmaESQ8&dib_tag=se&keywords=aristote+au+mont+saint+michel&qid=1755843898&s=books&sprefix=aeistote+au+mont+saint+michel%2Cstripbooks%2C208&sr=1-1 Bigre !!!
Il faut chercher sur les bouquinistes en ligne comme Momox, quai des livres etc
Merci Christine pour le conseil.
Personnellement j’ai toujours le bouquin en question. À mon retour sur Lyon, par curiosité je regarderai chez les bouquinistes du Quai de la Pêcherie, ou naguère je logeais. Je suis tjrs sur le quai de Saône ds le prolongement. À suivre 😎
Bonjour,
Les Gauchos ont exigé que le livre ne soit plus réimprimé, exactement comme Plenel avec « La face cachée du Monde » de Péan et Cohen.
Et le pire, c’est que les éditeurs cèdent !!
J’ai entendu Sylvain Gouguenheim, complétement démoralisé, qui expliquait laisser tout tomber dans cette histoire …
Il y a le site « La chasse aux livres » qui indique le vendeur le moins cher pour un titre donné.
Le système n’est pas toujours optimal dans les résultats fournis, mais quand même pas mal du tout…
Hallucinant ! Le pouvoir négatif de cette gauchiasse !!
Maléfique, serait le terme adapté.
La gauche maléfique.
Est-ce que RR pourrait le rééditer ?
Bonjour,
Je ne pense pas que RR en ait les moyens.
« L’Aritlleur », par exemple, , qui a édité Fanjul, et qui édite beaucoup de très bons livres (j’ai dans mes prochaines lectures à faire, « la Gauche antisémite » de Weill-Raynal, édité chez eux) en aurait, sans doute, lui, les moyens.
Mais je ne sais pas dans quelle mesure cela serait possible quand on voit comment Gouguenheim est dégoûté de tout ce cirque gauchiste.
bonjour Antiislam,
Il faudrait qu’il y ait assez de gens intéressés qui passeraient commande anticipée.
Que la gauche s’oppose à sa réédition prouve à quel point le livre est dans le vrai et gêne leur idéologie.
Bon dimanche cher Antiislam.
LES BOBARDS DE JACQUES ATTALI SUR LE SUJET sur la RTS (Suisse)
Vidéo : …à partir de 10 minutes 06 secondes…
https://www.rts.ch/play/tv/12h45/video/interview-de-jacques-attali-ecrivain-au-sujet-de-la-sortie-de-son-roman-la-confrerie-des-eveilles?urn=urn:rts:video:581242
Je pensais que le titre du bouquin d’Attali était La Confrérie des Enfoirés ou Mémoires d’une anguille.
😀 Ces gens là ne pratiquent pas l’auto-dérision, leur tête trop enflée, ils se prennent pour eux-mêmes !
Al-Andalus : à qui profite le mythe ? https://resistancerepublicaine.com/2024/11/14/al-andalus-a-qui-profite-le-mythe/
MERCI AGATHE DE M’AVOIR rappelé l lien de votre érudition historique ci-dessus, sujet proche et nécessaire. Encore MERCI !
Ne pas oublier non plus la forte influence grecque chez les nobles gaulois qui envoyaient leur fils dans les écoles grecques de » Marseille « .
Oui, beaucoup de Gaulois pratiquaient le grec.
Comme leur langue n’était pas écrite, ils utilisaient le grec pour toutes les transactions nécessitant de l’écrit, notamment les échanges commerciaux.
Des tablettes ont été trouvées lors de fouilles archéologiques.