Notre avenir, c’est ça ? Se protéger des dealers et voleurs derrière des grilles, partout ?

Entendons-nous bien, il n’est pas question ici de critiquer tous ceux qui, aux abois, en insécurité, ne vivent plus et trouvent des solutions. Evidemment… 

Mais cela ne peut pas être une solutions pérenne, de longue haleine, LA solution pour tous. D’abord seuls ceux qui ont les moyens de vivre dans des quartiers avec maisons et immeubles à taille humaine pouvant refermer une grille sur le pâté de maison ont une chance de vivre avec un peu moins d’insécurité… et la plèbe alors ? Et la classe moyenne, alors ? 

L’exemple ci-dessous conduit  inexorablement à développer les inégalités sociales et à imaginer un pays à l’Américaine, qui n’est pas du tout conforme au modèle français.  Seuls ceux qui ont les moyens (parce qu’ils ont hérité, parce qu’ils ont gagné beaucoup d’argent -les dealers en font partie, ne vont-ils pas  eux aussi s’implanter dans les quartiers/rues progégés pour leurs enfants- parce qu’ils sont brillants… pourraient vivre dans la sécurité ? Vous me direz que c’est déjà le cas, avec notamment des politiques comme Wargon qui vit dans une villa bien luxueuse qui travaille à nous préparer des logements collectifs sur le modèle de l’URSS… C’est vrai mais ce n’est pas encore généralisé.

https://resistancerepublicaine.com/2021/10/17/non-mme-wargon-je-ne-veux-pas-vivre-en-clapier-avec-la-diversite/

https://resistancerepublicaine.com/2021/10/20/wargon-et-les-khmers-verts-daccord-enfermez-les-francais-et-liberez-les-poulets/

Depuis quelques mois, l’installation de portails à l’entrée de certaines impasses bordelaises permet aux riverains de retrouver un peu de tranquillité. Face aux nuisances liées à la toxicomanie et à l’insécurité, ces dispositifs sont devenus un moyen de reprendre le contrôle sur leur quotidien.

Depuis quelques mois, une tendance se développe dans certains quartiers bordelais : l’installation de portails à l’entrée des impasses. Ces équipements, principalement choisis par les riverains, visent à mettre un terme aux nuisances récurrentes qui empoisonnent leur quotidien.

Eric Deup et sa compagne, installés impasse Sainte-Cadenne il y a cinq ans, avaient espéré trouver un havre de paix dans cette petite ruelle tranquille du sud de Bordeaux. Mais rapidement, la réalité est venue briser leurs illusions. « C’était la prise de drogue devant chez nous tous les jours et à n’importe quelle heure », se souvient Eric. La rue, envahie de seringues et de consommateurs de drogue, était devenue un lieu de consommation de stupéfiants en plein cœur du quartier. 

Les problèmes ne se limitaient pas à la toxicomanie. L’impasse servait aussi de toilettes publiques. « Ça leur servait d’urinoir puisque nous sommes à côté d’une place prisée, les gens venaient pour faire leurs besoins à ciel ouvert », explique Eric. Comme le rapporte Le Figaro, un quotidien difficile qu’a vécu également Stessy Simao, gérante de l’institut Epil And You, situé à proximité. « Les propriétaires étaient obligés de nettoyer au seau de javel tous les matins. Ce n’était plus vivable pour eux », confie-t-elle.

Un changement radical grâce au portail

Face à cette insécurité omniprésente, Eric Deup a décidé d’agir. « J’ai compris que le portail était la seule solution. Même les services de nettoyage ne passaient plus. La police municipale venait quand ils avaient le temps, mais ce n’était pas possible qu’ils reviennent toutes les trente minutes ». Après avoir mené de nombreuses démarches administratives et avoir obtenu l’accord des autorités locales, Eric et ses voisins ont pu installer un portail à l’automne dernier.

Depuis, la transformation est spectaculaire. « Tout a changé. Depuis que le portail est en place, les gens qui venaient se droguer ne viennent plus. On se sent plus en sécurité », raconte-t-il. L’impasse, autrefois envahie par le bruit et les nuisances, est désormais calme. « Les institutrices viennent même prendre leur café dehors, c’est devenu comme une petite rue de campagne », s’enthousiasme Stessy Simao.

D’autres impasses bordelaises, comme l’impasse Mauriac ou l’impasse Moulinier, ont suivi cet exemple. « Les habitants ont repris mon dossier pour obtenir eux aussi un portail », ajoute Eric. Mais toutes les demandes ne sont pas encore acceptées, bien qu’il estime que cette initiative devrait être étendue à d’autres secteurs confrontés aux mêmes problèmes. « Aujourd’hui, on vit enfin normalement », conclut-il avec soulagement.

Frontières

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8 Commentaires

  1. Éternelle question:
    Pour qui votent les Bordelais ?
    Sont ils des bons castors pour faire barrage au F-haine R-haine ?

  2. J’avais vu un film mexicain « la zona ». Les classes moyennes et supérieures vivent dans des villages clôturés de barbelés électrifiés et gardiens armés. Le film est con (ouin ouin pauvre gentil voleur pourchassé par les méchants résidents). Mais si on fait abstraction du message débile du réalisateur bobo, c’est intéressant car ça montre notre futur.

    • Bonjour,

      J’ai une cousine qui est bonne soeur à Tijuana : 3000 assassinats/an, dans cette seule ville, du fait de la criminalité liée à la drogue.

      C’est ce que la clique du parti diversitaire français prépare, en effet, pour la France.

  3. Cela ne fait que deplacer le problème et ne le résout pas! C’est à la cause qu’il faut s’attaquer et non l’effet! L’eau de javel c’est sur les junkies qu’il faut la déverser voir même,leur injecté dans les veines.

  4. Dans les années 60 mes parents laissaient leur Renault 4L dans la rue sans fermer systématiquement les portes à clé. De plus il n’y avait pas d’antivol pour mettre la voiture en marche, le fameux « Neiman ».

    Bien sûr ça n’a pas duré…la voiture suivante fût équipée du nécessaire, les vols et dégradations commençaient dans le quartier comme partout ailleurs.
    Idem pour la porte de l’appartement à la même époque. Nous avions la « liberté » de ne pas avoir peur.

  5. Macron est le seul responsable de cet état de fait. Les grilles et portails ne servent à rien. Dans un village à côté de chez moi les gens du voyage coupent les cadenas et serrures pour ouvrir les barrières qui protègent les terrains de foot, les terrains communaux : buttes de terre, rochers, barrières, rien n’y fait. Ils se branchent sur le réseau électrique, l’eau des bouches à incendie. La police ne leur dit rien, intouchables. Je ferais ça, direct au gnouf! Les drogués, les migrants, intouchables aussi. Il y a deux catégories dans ce pays : les citoyens honnêtes taillables et corvéables à merci et les autres qui sont assurés de l’impunité et de la bienveillance du chef suprême qui se complaît à leur présence.

  6. Bordeaux n’est pas la seule ville concernée par ce problème. Partout, les mêmes causes produisent les mêmes effets. J’ai fait une plantation de « coussins de belle-mère » tout autour de ma villa sur la Côte d’Azur. Une plantation de cactus du meilleur effet…dissuasif ! En plus des grilles de 3 mètres, des caméras, une herse, et autres joyeusetés en guise de bienvenue. C’est plus qu’une citadelle…c’est un véritable bunker ! On en est là.