Témoin d’un viol collectif, le jeune hindou  est  enlevé par des islamistes, décapité, les doigts coupés

…et  son cadavre est  jeté dans une forêt de Faridabad.

Rien à voir avec l’islam, vraiment ?

Coran 8:12  «  Je jetterai la terreur dans les cœurs de ceux qui ont mécru. Vous pouvez les frapper au-dessus du cou et vous pouvez même les frapper sur chaque doigt. »

Illustration : une statue de Jésus-Christ décapitée et une main retirée dans une église américaine en 2021

Organiser

X

►Inde : l’homme hindou qui a sauvé une fille mineure de violeurs musulmans est retrouvé mort, le corps décapité et mutilé

Deepak Kumar, témoin oculaire crucial dans une affaire de tentative de viol collectif d’une jeune fille mineure par un groupe de musulmans, a été brutalement assassiné par les accusés.

Le corps mutilé et décapité de Deepak Kumar a été retrouvé le mercredi 8 janvier dans une zone forestière isolée près du secteur 62 de la région de la capitale nationale de l’Inde.

Selon certaines informations, Deepak avait attiré l’attention de ces musulmans après avoir sauvé une jeune fille de 14 ans qu’ils étaient en train de violer collectivement. Ils auraient pris la mineure pour cible lors d’une attaque préméditée, l’attirant par de fausses promesses. Deepak a sauvé l’adolescente et a été un témoin clé qui a conduit à l’arrestation de trois des principaux accusés.

Deepak a été porté disparu le lundi 16 décembre. Sa famille a déclaré qu’il avait été enlevé et a rapidement alerté les autorités. Elles ont accusé un groupe d’hommes musulmans, dont Mohammad Fakaruddin, Md. Idrish, Md. Anwar, Md. Azahruddin, Md . Azaad, Md. Sohail, Md. Saabir, Md. Aamir, Md. Saahil et Md. Akeesh d’avoir orchestré l’enlèvement. La famille a également révélé que les personnes citées comme accusées dans l’affaire précédente menaçaient continuellement Deepak et le poussaient à renoncer à témoigner devant le tribunal. Ils  auraient été furieux de voir Deepak dénoncer courageusement leurs crimes, cherchaient à le faire taire par des mesures violentes.

La famille de Deepak vit dans le secteur 62 de Noida et le recherche inlassablement depuis sa disparition. Son frère Dileep a confirmé que Deepak avait été vu pour la dernière fois le jour de sa disparition. Yashpal Singh, porte-parole de la police, a confirmé qu’un avis de disparition avait été déposé et que la police s’efforçait de retrouver Deepak depuis le dépôt de l’avis.

Les recherches, qui ont duré des semaines, ont pris fin lorsque la famille a été informée de la découverte du corps de la victime. Le corps décomposé avait été abandonné dans des buissons à proximité et a été identifié par la suite par sa famille. Il présentait des signes de mutilation grave et il lui manquait plusieurs doigts et orteils, ce qui a encore aggravé l’angoisse de la famille endeuillée de Deepak. Le corps a été envoyé pour un examen post-mortem à l’hôpital civil de Badhshah Khan, et des enquêtes sont en cours pour découvrir les circonstances de sa mort.

Une copie de la plainte déposée par Dileep a fait surface en ligne. Dans sa déclaration, Dileep a nommé des personnes, dont Fakruddin, Idris, Anwar, Azad et Sohail, entre autres, qui étaient en conflit permanent avec son frère décédé.

Le meurtre de Deepak Kumar a déclenché des manifestations massives, les habitants exigeant l’arrestation immédiate et la poursuite de toutes les personnes impliquées dans ce meurtre, l’accélération du procès pour viol collectif afin que justice soit rendue à la jeune fille, la protection des témoins dans les affaires sensibles afin d’éviter que des incidents similaires ne se produisent à l’avenir, ainsi que des lois plus strictes et une application plus rigoureuse de la loi contre le harcèlement sexuel.

Les viols collectifs font partie du djihad.

Les idéologies qui déshumanisent les hommes et les femmes non musulmans perpétuent une culture d’impunité parmi les auteurs de ces actes dans le monde entier.

La « religion de la paix » en Afrique…

►Nigeria : au moins quarante agriculteurs perdent la vie dans un massacre islamiste brutal .

Ces derniers mois, les attaques, les enlèvements et les vols commis contre des agriculteurs par des militants islamistes sont devenus monnaie courante. Boko Haram et l’ISWAP (État islamique en Afrique de l’Ouest) ont multiplié les attaques dans l’État de Borno depuis le début de l’année. Les  agriculteurs paient  des taxes aux  terroristes.  Africanews Gardian DW     Reuters

►RDC : trois agriculteurs sont enlevés de leurs champs et massacrés par des islamistes de l’ADF

Trois agriculteurs ont été tués dimanche 12 janvier par des rebelles islamistes des Forces démocratiques alliées (ADF) dans la région de Beni, en République démocratique du Congo (RDC). Les assaillants ont pris les agriculteurs par surprise, les tuant de sang-froid ; ils ont également kidnappé des habitants, rasé plusieurs maisons avant de se retirer de la localité. Human angle

►Bénin : vingt-huit soldats sont tués dans une attaque transfrontalière menée par des djihadistes

Un groupe jihadiste lié à Al-Qaïda a revendiqué vendredi la responsabilité d’une attaque dans le nord du Bénin, près des frontières avec le Burkina Faso et le Niger, qui a fait au moins 28 morts cette semaine.
Les attaques dans le nord du Bénin se sont multipliées ces dernières années, les autorités accusant l’Etat islamique et des groupes Al-Qaïda basés dans les pays voisins, notamment le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM). « Nos frères les moudjahidines ont pu prendre d’assaut un poste de l’armée béninoise à Oouda dans la province de Karimama », a indiqué le JNIM dans un communiqué. TOI

Ces photos montrent le butin des djihadistes :  des armes et des munitions saisies par le groupe lors de l’attaque : 

X

►Niger : des membres du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM) tuent cinq personnes

Des membres du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM)  ont tué cinq personnes lors d’un raid sur Tafouka, une ville de la région de Tahoua au Niger.Withinnigeria

 6,595 total views,  6,593 views today