Si les écolos avaient existé à l’ère Protérozoïque, ils auraient empêché l’apparition des premiers animaux

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« Depuis sa formation, il y a 4,567 milliards d’années, la Terre a connu de nombreux bouleversements qui ont façonné son histoire. » Une fois lue cette première phrase du site du Muséum National D’Histoire Naturelle de Paris, on se dit que les écolos sont un peu perdus, avec leurs, un jour, « Oh, c’est la sécheresse ! » et, le mois suivant, « Oh, y a trop d’eau ! » Comme c’est le cas ces jours-ci avec la tempête Kirk… Réflexions contradictoires mais qui immanquablement sont suivies de la même raison donnée voire répétée à foison : « Ah ! Il faut sauver la planète ! Et c’est l’homme qui en est la cause ! »

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Alors que NOTRE TERRE, depuis plus de 4 milliards d’années, excusez du peu, ne cesse de se modifier ! Et ce n’est pas avec plus ou moins de CO2 -s’il n’y en avait plus, nous ne pourrions  vivre !!! que nous, minuscules puces sur le dos de cette planète,pourrions modifier le climat !

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La Terre entame une crise… Une crise peut-être de gamine coléreuse ! Qui sait combien de temps durera sa « vie » ? Avec ses 4,5 milliards d’années, notre ridicule « 9 octobre 2024 », ne représente pour elle qu’une fraction -à son échelon astronomique- oui, qu’une fraction d’une de ses secondes à elle -et encore !- : peut-être n’est-elle, par comparaison à notre vie humaine ridiculement courte, qu’une gamine de 4 ans et demi ! Et que de temps à autre, tous les ans -ses « années » à elle !-, à 1,5 milliard d’années (1 an et demi pour nous), à 2,5 millards d’années (2 ans et demi) et à 3,5 milliards d’années (3 ans t demi), elle nous fait des crises ! Comme elle l’avait fait avant même que nous ne soyons, là, sur son dos, à la titiller parfois en lui infligeant quelques maux… Par exemple, des piqûres avec nos forages ou quelques brûlures avec nos incendies de forêts ou, plus grave, des blessures -certainement douloureuses- avec nos bombes lors de nos disputes de gamins devenus adultes ! Avec même, heureusement rarement, des bombes atomiques dont trop de civils, au Japon, ont pâti.

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Peut-être que notre Terre encore gamine de 4 ans et demi, après une adolescence future -entre 10 et 18 ans (soit entre 10 et 18 milliards d’années !)-, adolescence qui, peut-être sera quelque peu turbulente, va se calmer et entrer dans une vie d’adulte paisible, une vie de bureaucrate sans à-coup dès ses 20 ans (20 milliards d’années) jusqu’à sa retraite à… là, pour l’âge de la retraite, peut-être que ce jeudi notre Premier Ministre en parlera ?

Les premiers « êtres » sont apparus à l’ère appelée Protérozoïque (c’est-à-dire « avant l’animal », période remontant entre 2,5 milliards et 539 millions d’années).

Si, à l’époque, il y avait eu des écolos, ces premiers « êtres » n’auraient peut-être jamais pu apparaître car ces écolos auraient tout fait pour empêcher le « cataclysme » qui s’est produit sous la forme d’un « brusque refroidissement » de la Terre, cataclysme qui a entraîné l’apparition, outre de végétaux mais aussi des premiers… animaux dont certains sont nos… ancêtres !

Comme le précise la Muséum :
« …les algues se diversifient sur les fonds marins et les animaux pluricellulaires apparaissent, tels que les méduses et de petits animaux munis de coquilles. »

Et au Paléozoïque (entre il y a 539 et 252 millions d’années), « les animaux abondent et se diversifient rapidement. L’apparition d’organismes pourvus de squelettes minéralisés, internes (par exemple chez les vertébrés)… » 
Tiens, tiens, « vertébrés » ! Cela me rappelle que… ! Oui, qui fait partie de l’une des cinq classes de vertébrés ? Gagné ! Les mammifères, c’est-à-dire nous, les humains !

 

 

 

Au Permien -d’il y a 304 à 252 millions d’années-, encore une catastrophe écologique que nos copains de « Sauvons la Terre » auraient combattue ! Il y a 304 à 252 millions d’années : une aridité de la planète profitable à la vie végétale et à celle des vertébrés !
« A la suite d’une aridification du climat, la flore change considérablement. Les plantes à graines deviennent dominantes. Les nouvelles chaînes de montagnes subissent une forte érosion. Les amniotes (vertébrés à quatre pattes pondant des œufs) se diversifient sur la terre ferme. Dans les océans, le sommet de la chaîne alimentaire est dominé par des groupes proches des requins actuels. »

Ainsi, au Mésozoïque (de 252 à 66 millions d’années), c’est la « grande diversification de la biodiversité » malgré, avant et après, « deux extinctions massives »! C’est là qu’a lieu « l’émergence des dinosaures, des reptiles volants et des reptiles marins, ainsi que des mammifères et des plantes à fleurs. »

Ah, dommage que ce soit une météorite qui ait entraîné l’extermination des dinosaures sinon, même le Muséum de Paris, aurait expliqué que leur exterminateur -comme pour les… mammouths !- aurait été l’homme -bien évidemment « blanc de plus de cinquante ans » !-

Et ce n’est qu’à cette époque-là -au Crétacé (145 à 66 millions d’années)- qu’apparaissent il n’y a « que » 100 millions d’années, les insectes pollinisateurs dont l’abeille ! Cette abeille que tout écolo nous bassine avec son argument quelque peu fallacieux :
« Si les abeilles disparaissent, il n’y aura plus de plantes ! »
Alors que les végétaux sont « nés » au Silurien, il y a 444 à 419 millions d’années, soit quelque 300 millions d’années donc BIEN AVANT L’APPARITION DES ABEILLES !!!

Certes, si l’abeille disparaissait, certains végétaux disparaitraient également mais de nombreux resteraient afin de nourrir nos descendants…

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Quant à l’espèce humaine, elle n’apparaît que dans la période géologique actuelle -le Quaternaire (d’il y a 2,6 millions d’années à ce mois d’octobre 2024 !)-.
Cette espèce humaine coupable des maux les plus destructeurs que connait la Terre…
-personnellement, je pense que l’Homme était certainement coupable même avant d’apparaître sur Terre !-
D’ailleurs, même l’article du Muséum le signale en conclusion ! Un article portant les signatures de cinq spécialistes y ayant participé à savoir Damien Germain, Anaïs Boura et Guillaume Billet, paléontologues au CR2P-UMR7207, Gaël Clément, directeur du département Origines & Evolution, et Guillaume Lecointre, professeur du MNHN, chercheur à l’ISYEB-UMR7205…

Oui, cet article de cinq spécialistes n’hésite pas à dénoncer leurs ancêtres mais aussi eux-mêmes puisqu’ils mettent en cause « le genre humain », donc eux aussi !
« Plusieurs épisodes de glaciation et/ou l’émergence du genre humain amènent à l’extinction de la majorité des espèces de grands mammifères (appelés « mégafaune »), tels que les mammouths ou les paresseux géants. Plus récemment, en un temps bien plus court que lors des autres périodes géologiques, les activités humaines impactent tous les écosystèmes et provoquent une augmentation globale de la température. »

L’homme étant le pire des ennemis de la Terre -sous entendu évidemment « l’homme blanc occidental », nous, hommes blancs -mais surtout pas les femmes blanches-, nous devrions organiser un suicide général à l’échelon planétaire. Ainsi tous les hommes -non blancs- pourraient enfin vivre en paix… Et la planète ne serait plus jamais « détruite » !!! Ouf. Je regarde mon agenda pour voir quand nous pourrions nous tous -écolos blancs compris !- NOUS SUICIDER TOUS ! Pour, bien évidemment, « Sauver la planète » !
Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

(1) Site du Muséum National D’Histoire Naturelle de Paris au Jardin des Plantes :
https://www.mnhn.fr/fr/histoire-de-la-terre
Questions sur la Terre : 
Quel âge a la Terre ? Pourquoi la Terre est-elle ronde ? Combien existe-t-il d’espèces ? Révisez vos classiques et faites un tour de la planète en quelques grandes questions :

https://www.mnhn.fr/fr/la-planete-terre-en-questions

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12 Commentaires

  1. Et n’oublions pas qu’à l’époque bénie de l’Âge d’Or climatique de l’Eocène(de 60 à 40 millions d’années avant notre ère), le taux de CO2 de l’atmosphère était de 6 à 8 fois supérieur à aujourd’hui… Ce qui, grâce à l’énorme biomasse végétale de cette époque, permettait un taux d’oxygène libre de 25 à 28 pour cents, bien supérieur aux 21 pour cents actuels, et qui explique la tendance au gigantisme des plantes et animaux de cette époque. Autrement dit, un réchauffement climatique massif de notre Planète n’aurait strictement RIEN de « catastrophique »! Bien au contraire, notre Biosphère ne s’en porterait que mieux, à tout point de vue!…

  2. Bravo d’avoir remis en place nos escrolos si désireux de nous culpabiliser avec leur mantra « sauver la planète »… Merci surtout de l’avoir fait avec des arguments parfaitement clairs et un ton alerte qui met de bonne humeur. Peut-être bien que la bonne humeur, c’est bon pour la planète, qui sait ?

  3. tous ces cinglés gauchistes, car le gauchisme : c’est la perversion de l’esprit, pensent mettre les vrais problèmes de société (immigration, délinquance, terrorisme, antisémitisme) sous le tapis en abreuvant les naifs de leurs problèmes environnementaux liés au genre humain qui n’existent que dans leur tête de malades et d’accrocs au cannabis dont ils veulent la légalisation (eh ! c’est pas bon pour la planète, les dingos !) – qu’ils se suicident vite on pourra enfin respirer un air plus sain !

  4.  » Si les écolos avaient existé à l’ère Protérozoïque, ils auraient empêché l’apparition des premiers animaux  »
    C’est le de l’article , à mon sens vous les ménagez beaucoup les faux écolo , mais également ceux qui lèvent leur fondement 5 fois par jours ainsi que leurs affidés les lfistes , car ce qui est une certitude pour tout ces gens leur cerveau est resté à l’état de protozoaire .

  5. Un seul rescapé a survécu au cataclysme depuis l’ éradication des sauropodes du crétacé, un seul : le Bayrousaure ! Il en reste un des derniers exemplaires dans la région paloise… il est commissaire ran…plan…plan et n’ a jamais rien produit, ni reproduit depuis sa nomination fort lucrative qui a engendré une profonde narcose, mais attention l’ animal risque de devenir dangereux et nocif à la fin de sa léthargie . In cauda venenum !

  6. Avec les écolos intégristes, point de progrès. Ils auraient été présents lors de la préhistoire, ils auraient tué ceux qui utilisaient le feu, qui fabriquaient des outils de silex et pratiquaient la chasse et la pêche pour se nourrir. Les écologistes intégristes, des gens insupportables, opposés au progrès, mais qui sont bien contents de prendre des douches pour se laver le cul.

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