Matignon-Fumée blanche : Habemus Premierum ministrum

Michel Barnier avec le Macron

Il y a plus de 21 ans, au-dessus du Vatican s’élevait une fumée blanche signe qu’un nouveau pape venait d’être choisi à la tête de l’église à la suite de la « renonciation » de Benoit XVI, le 28 février 2013.

Et, le peuple anxieux, qui attendait sur la place Saint-Pierre, entendit cette merveilleuse annonce : « Habemus papam » provenant du balcon central de la basilique. L’heureux élu se fait appeler François. Il vient de l’Argentine. Le pays du dieu Maradona.

Et les fidèles catholiques de par le monde de scander euphoriquement : Vive François.

C’est ce qui vient de se passer à Paris ce jeudi de l’an de grâce de l’année en cours (façon de parler…).

Une fumée blanche s’est élevée, vers 13h de Paris, au-dessus du palais de l’Elysée, signe qu’un nouveau Premier ministre venait d’être choisi. Et les Français, anxieux, les oreilles aux aguets, apprirent cette nouvelle annoncée par communiqué sur Internet et répercutée par les médias officiels : « Habemus Premierum ministrum ».

Il s’appelle Michel Barnier.

La vie en France s’est arrêtée. Les jeux paralympiques suspendus. Le temps de diffuser le communiqué de l’Elysée.

Et les Français, pas très enthousiastes, de scander : « Merdum », « Rien à foutrum »…

À suivre…

Messin’Issa

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3 Commentaires

  1. J’ai toujours trouvé que M. Barnier ressemblait à l’acteur Bernard Menez qui, entre autres rôles, incarnait un personnage de roi dans une pièce de théâtre signée Wolinski-Confortès il y a longtemps.