Le papa au Macron : il s’appelle aussi Jean-Michel – Bizarre

Macron et son père

Le Macron vient de lancer son papa dans la campagne électorale. Il s’appelle Jean-Michel. Comme le mythique Trogneux.

Le 23 juin dernier, le Macron adressait une lettre ouverte aux Français via la presse quotidienne régionale. Thème principal (et récurrent) : le pourquoi de la dissolution de l’Assemblée nationale.

Il vient de récidiver, le 3 juillet dernier, en adressant un nouveau message aux Français, cette fois-ci par l’intermédiaire de son papounet, un certain Jean-Michel, et toujours via la presse régionale.

Pour lui faire dire qu’il a peur que le Rassemblement national arrive au pouvoir,

Bizarre cette manie qui lui prend, tout d’un coup, de passer par deux fois en dix jours par la presse régionale pour se faire entendre.

Mais passons. Il y a donc deux Jean-Michel dans la vie du Macron. L’un est le papa, l’autre pourrait être son épouse, ladite Brigitte.

Le papa aurait-il pris seul cette initiative de se faire interviewer par les quotidiens de la presse régionale de l’Est de la France (« L’Est républicain », « Le Dauphiné libéré », « Les Dernières Nouvelles d’Alsace », « L’Alsace », « Le Progrès », etc.) détenus par le groupe EBRA ?

Peu probable. Le Macron a toujours une idée derrière la tête. C’est pour cela que sa tête paraît s’allonger vers l’arrière, comme pour se mettre à l’abri dans une tranchée de retraite, alors que le nez semble s’étirer franchement vers l’avant, comme pour un sprint avant la ligne d’arrivée dans une étape du Tour de France.

L’interview du papa Jean-Michel a été sans aucun doute rédigée, lue, relue et corrigée par les services des scribouillards-liseurs-correcteurs de l’Élysée.

Au moment où il est complètement isolé et abandonné aussi bien en France qu’à l’étranger (où il ne peut compter que le nazillon Zelensky comme ami), le Macron a peut-être voulu montrer qu’il a encore de la famille.

Un chef de l’État qui a un papounet, c’est tellement mignon. Même Charles de Gaulle n’avait plus ses parents quand il était président. Ni les présidents qui ont suivi.

Le Macron pourrait donc avoir droit à quelques larmettes dans les chaumières. Et quelques voix aussi pour l’Attal…

Le papounet et la Brigitte (normalement la belle-fille, sauf déconvenue de dernière minute), ont pratiquement le même âge. 74 pour le papa, 71 pour la Brigitte.

Peut-être que la Brigitte a-t-il (a-t-elle) pris le prénom du papa Macron pour faire plaisir à son époux.

Adorable Brigitte.

Messin’Issa

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