La beauté, l’élégance, l’amour : Anouk Aimée, une femme emblématique de notre France aimée
Anouk et sa fille Manuela
Avec ma fille, Galaad, et ma petite fille, Mila, nous avons l’immense tristesse de vous annoncer le départ de ma maman Anouk Aimée.
J’étais tout auprès d’elle lorsqu’elle s’est éteinte ce matin, chez elle, à Paris.
Manuela Papatakis, 18 juin 2024
Témoin de notre chère France d’avant, Anouk Aimée vivait hors du temps, elle n’avait pas de téléphone portable.
Discrète, aimant le silence (à l’opposé des vociférations des harpies de la France Islamique), elle vivait à Montmartre avec ses chats, sortait peu, recevait encore moins.
A l’heure du choix entre une France libre et une France islamique, voici une évocation de cette belle femme libre en photos…
« Chabadabada », la musique du film « Un homme et une femme »
Anouk Aimée à la plage (années 50)
c‘est Prévert qui avait trouvé son patronyme.
Anouk Aimée dans « Lola » de Jacques Demy (1960)
Anouk Aimée et Marcello Mastroianni dans “La Dolce Vita” de Federico Fellini qui l’a révélée (1960)
Anouk Aimée en 1960
Anouk Aimée dans Un homme et une femme en 1966
Anouk Aimée à Londres en 1967
Michele Placido et Anouk Aimée dans Le Saut dans le vide de Marco Bellocchio en 1980
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ils cachent leurs femmes avec raison elles sont en général laides et grosses
grande tristesse : le temps passe trop vite et nous enlève nos préférées ! cette femme si belle, subtile, discrète et de grande classe avait un charme unique, une aura et un charisme exceptionnels : ses magnifiques yeux noirs envoutants, emplis d’intelligence, sont là pour toujours – on l’aime éternellement et on la remercie pour ces instants de cinéma qu’elle a transcendés de sa présence envoutante : que de différences avec certaines niaises d’aujourd’hui !!