Les procureurs généraux des USA disent non au Traité de l’OMS

EXCLUSIF : les procureurs généraux des États poussent Biden à ne pas céder de vastes pouvoirs en cas de pandémie à l’OMS

Un groupe de procureurs généraux d’État exhorte le président Joe Biden à ne pas céder plusieurs vastes pouvoirs en cas de pandémie à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a appris pour la première fois le Daily Caller.

Sous la direction du procureur général du Montana, Austin Knudsen, 22 procureurs généraux des États ont écrit une lettre à Biden, obtenue exclusivement par le Daily Caller, exprimant leur inquiétude quant aux projets potentiels visant à donner à l’OMS une série de pouvoirs en réponse à la pandémie de COVID-19 . Les gouvernements du monde entier ont discuté des amendements qui donneraient à l’OMS plus de latitude pour aider à « prévenir, préparer et répondre aux pandémies ». (EN RELATION : Bret Weinstein prévient Tucker que l’OMS prend des mesures « troublantes » pour contrôler les réponses aux urgences sanitaires)

Les AG des États ont exprimé leur scepticisme quant à l’octroi de plus de pouvoir à l’OMS dans la gestion d’une crise sanitaire mondiale , affirmant que les amendements vont trop loin, indique la lettre.

Voir la lettre en anglais originale ici

« Premièrement, les deux instruments proposés transformeraient l’OMS d’une organisation caritative consultative en gouverneur mondial de la santé publique. L’OMS n’a actuellement pas l’autorité nécessaire pour appliquer ses recommandations », indique la lettre.

« Deuxièmement, le gouvernement fédéral ne peut pas déléguer les décisions en matière de santé publique à un organisme international. La Constitution américaine ne confère pas au gouvernement fédéral la responsabilité de la politique de santé publique. Il réserve ces pouvoirs aux États. Même si le gouvernement fédéral disposait d’un tel pouvoir, l’article II, section 2, nécessite l’approbation du Sénat américain », poursuit la lettre.

La lettre ajoute également que les AG des États s’inquiètent des amendements ouvrant la voie à une « infrastructure de surveillance mondiale ». Les amendements actuellement proposés demandent aux signataires de « coopérer, conformément à la législation nationale, pour prévenir propagande et  désinformation », écrivent les AG.

Une coalition de sénateurs républicains avait déjà adressé une pétition au président pour lui demander de refuser de conférer de tels pouvoirs à l’ OMS . Les législateurs discuteront des amendements lors de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS), qui aura lieu du 27 mai au 1er juin, a rapporté Fox News. Les membres pourraient retarder le vote sur les amendements afin d’avoir plus de temps pour discuter des réglementations, bien que l’administration Biden ait précédemment soutenu le calendrier de mai, a rapporté KFF .

Concernant les amendements, le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, estime que la proposition pourrait contribuer à créer une « réponse mondiale plus équitable » aux futures pandémies, selon KFF. Certains des éléments pris en compte dans les amendements incluent la manière dont différents éléments, notamment les communications, le financement et la surveillance, seraient traités en cas de pandémie mondiale, a rapporté KFF.

« La pandémie de COVID-19 a mis en lumière les failles fondamentales de l’OMS et d’autres institutions de santé publique. Ces entités ont trahi la confiance du public et ont incontestablement besoin d’être réformées. Cependant, les mesures proposées ne feraient qu’exacerber les problèmes sous-jacents de l’OMS et permettre davantage de violations des libertés civiles lors de futures « urgences ». En conséquence, nous résisterons à toute tentative visant à permettre à l’OMS de définir directement ou indirectement des politiques publiques pour nos citoyens », conclut la lettre.

Traduction google

https://dailycaller.com/2024/05/08/state-ags-who-covid-pandemic-biden/?utm_source=substack&utm_medium=email

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5 Commentaires

  1. Les USA et la Grande Bretagne disent Non au traité de l’OMS. Et MACRON ?… va-t-il nous embarquer sous commandement de l’OMS ?… ce qui prouverait son incapacité à gérer un pays, le Nôtre !

  2. Il est clair qu’il y a un très grave problème quand les peuples, y compris des personnes en bonne santé, servent de cobayes à un produit expérimental, sur lequel il n’existe aucune connaissance des effets secondaires à court, moyen et long terme pas plus, cerise sur le gâteau, aucune garantie de la part des laboratoires qui refusent carrément de s’engager à ce sujet ! Et autre cerise sur le gâteau, que tout autre traitement soit interdit pour favoriser cette action. Invraisemblable que médecins, politiques et médias aient pu laisser s’accomplir de tels abus de pouvoir aux conséquences incalculables sur la santé future de tous grâce à une propagande aussi menaçante que mensongère.

  3. Rien de rien. Point barre, l’OMS doit rester, au mieux, une organisation caritative consultative et encore ! À prendre avec beaucoup de pincettes et bien davantage de recul compte étant tenu l’expérience sur ses “recommadations” à propos de la “pandèmie covid-19”, recommantions malhonnêtes avec toutes des conséquences désastreuses à tous niveaux que l’on connaît.