N’en déplaise aux pleureuses, Netanyahou n’est pas le problème, il est la solution

Marre d’entendre ces gémissements et complaintes que profèrent nos bonnes âmes qui ne connaissent d’Israël que ce qu’en rapportent les journaux pas toujours objectifs ou que leur apportent les quelques voyages d’agréments qu’ils accomplissent pour la bonne cause et sur lesquels se fonde leur opinion péremptoire et tranchée dans le vif.
C’est, fort de leurs certitudes qu’ils assènent au bon peuple leur opinion de manière sentencieuse. C’est ainsi qu’ils affirment « Benjamin Netanyahou est le problème ! »

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Non, Benjamin Netanyahou n’est pas responsable de la situation que connaît Israël en ce moment et ce, depuis des décennies. À les entendre, si Benjamin Netanyahou disparaissait du paysage politique, ce serait le grand bonheur en terre d’Israël et tout ce beau monde pourrait faire la ronde joyeuse de la paix. Que de foutaises dans ces affirmations trompeuses et lâchement confortables pour leurs beaux esprits moralistes. L’origine du problème ce sont les accords d’Oslo qui ont donné une réalité juridique à un peuple qui n’existait pas.

Sans remonter aux antiquités pour narrer l’histoire d’Israël, je me bornerai à affirmer que Benjamin Netanyahou, et contrairement à bien d’autres gouvernements, est celui qui a été le mieux élu depuis longtemps, si ce n’est depuis la création de l’État d’Israël moderne.
Il a été élu démocratiquement et non par un coup d’État comme ce fut le cas du gouvernement Naftaly Bennett et Yair Lapid qui se sont alliés aux Arabes, qui nient l’existence d’Israël, et à l’extrême gauche pour former leur gouvernement.

Benjamin Netanyahou a été élu démocratiquement par une majorité de droite et sans aucune compromission comme le firent les gouvernements précédents. Aujourd’hui ce gouvernement, sauf coup d’État de la gauche ou des juges, peut siéger en toute légitimité jusqu’en octobre 2026 et, à ce que Dieu ne plaise, tel est mon souhait.

 

Monsieur Benjamin Netanyahou mène la politique pour laquelle il a été élu et si quelqu’un est responsable de cette politique, c’est le peuple qui l’a élu et à ma connaissance, le peuple d’Israël sait pour qui et pourquoi il vote, n’en déplaise aux esprits chagrins qui caressent d’autres ambitions.
C’est le peuple qui a fait le choix de ses chefs de gouvernement.

 

Dans la tourmente de ces dernières semaines et les souffrances des familles d’otages qui méritent tout notre respect et celles des familles des soldats tombés au champ d’honneur pour protéger le pays et tenter de libérer ces mêmes otages, il doit tenir le cap difficile et servir le pays comme le pays le lui demande. La majorité des Israéliens veut que cette guerre se termine par une victoire totale d’Israël sur tous ses ennemis, tous les mollahs iraniens et Hezbollah inclus.

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Évidemment, ces bonnes âmes reprocheront à Benjamin Netanyahou son alliance avec la droite religieuse messianique en la personne de Ben Gvir et Smotrich, mais si cette droite a été choisie par le peuple c’est pour permettre à ce gouvernement d’avoir une politique ancrée à droite solidement et revenir sur les errements du passés qui mènent aujourd’hui l’État d’Israël à se battre pour sa survie. Pour donner à ce gouvernement une orientation claire sur la direction politique qui doit être menée.

Ce ne sont pas les manifestations des mouvements gauchistes financés par les ennemis d’Israël qui s’agitent en permanence et tous les samedis soir à Tel Aviv qui changera la réalité politique du pays. Ceux-ci ont essayé de faire tomber le gouvernement lors de la réforme de la haute Cour d’Israël, réforme reportée aux calendes grecques du fait du fait de l’invasion pogromique du 7 octobre dernier, et ce n’est pas maintenant, alors que le peuple est soudé derrière son gouvernement, qu’ils peuvent espérer réussir, le peuple n’est pas dupe. Le peuple veut la disparition du Hamas et l’élimination de ses chefs, et la guerre ne prendra fin qu’après la réalisation de ces objectifs.

Les gouvernements de pays qui se prétendent amis d’Israël n’y changeront rien, même si l’Amérique abandonne Israël, et ce ne sera pas la première fois que les USA abandonne ses alliés, Israël mènera sa politique victorieuse, avec l’aide de Dieu, à son terme n’en déplaise aux pleureuses qui souhaitent un changement de gouvernement, espérant ainsi, obtenir une paix qui ne peut être que honteuse et mortelle pour Israël. Car si une telle paix devait advenir, le Hamas aurait gagné et ce coup serait mortel pour Israël qui ne doit sa survie qu’à sa capacité de vaincre ses ennemis.

Cela jamais ne se produira et Israël se battra jusqu’au bout et ce bout, c’est la victoire, seule solution pour cette guerre qui lui a été imposée par ses ennemis. Cette victoire est existentielle pour Israël et non négociable et c’est la raison pour laquelle il n’y aura aucune concession. J’ignore les raisons pour lesquelles Israël tergiverse pour retarder son intervention à Rafa et au Sud Liban, je suppose que des raisons stratégiques justifient ce moratoire mais ce que je sais, c’est qu’Israël sortira vainqueur de cette nouvelle épreuve.

Que le cœur des pleureuses qui voient dans le gouvernement de Benjamin Netanyahou l’obstacle à la paix s’occupent plutôt de ce qui se passe dans leurs pays respectifs, de la guerre qui se prépare chez eux, combattent leurs islamistes qui martyrisent leur population, et laissent Israël mener ce combat qui le mènera à la victoire totale dans laquelle succomberont le Hezbollah, les Mollahs iraniens et bien sûr, le Hamas.

Guy Sebag

https://ripostelaique.com/nen-deplaise-aux-pleureuses-netanyahou-nest-pas-le-probleme-il-est-la-solution.html

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6 Commentaires

  1. Blinken fait pression sur Netanyahou.
    C’est l’Amérique qui fournit ses armes à Israël, ils ont ce levier pour faire reculer le chef israélien.

  2. Les Palestiniens se complaisent dans la victimisation et la haine pour Israël .Et une importante partie d’entre eux adhérent aux idées du Hamas. Certains d’entre eux ont même participé au massacre. Ça me fait penser au peuple Allemand en 1945, où personne n’avait jamais été pour Adolf.

    • Bonjour,

      Oui, c’est d’ailleurs effrayant de penser au très grand nombre de très grands criminels allemands qui ont échappé à tout châtiment.

      • Certains d’entre eux ont du reste trouvé refuge dans les pays arabes, voire se sont convertis.Rien d’étonnant à cela: sous le règne du moustachu, Teutons et mahométans s’aimaient d’amour tendre.

        • Bonjour,

          Oui, la figure la plus symbolique de cette “convergence des luttes” abominable est la “théoricienne” nazie, Sigrid Hunke, très admirative de l’Islam et très admirée des musulmans jusqu’à aujourd’hui.

          Les communistes ne sont pas en reste, dès 1920 à Bakou.

          Il y a toujours eu une haine des totalitaires pour le Judaïsme et le Christianisme d’ailleurs, définis, en particulier par les Nazis, comme des religions “féminines”.

  3. soutien et admiration à cet homme exceptionnel, empêché et traîné dans la boue par le gauchisme ennemi de l’intérieur aussi néfaste que les ennemis extérieurs d’ISRAEL

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