Halal, c’est ça, la “pureté” ?

Halal

Halal dans le Coran ? Halal , d’une racine signifiant « ce qui est délié, libéré », se définit par opposition à haram. Halal s’applique donc, par contraste, à ce qui n’est pas interdit, ce qui est permis mais aussi ce qui n’est pas sanctifié, donc libre d’accès, sans tabou ( !).

On ne trouve pas dans le Coran, « LE halal » comme un nom précédé d’un article, ce qui l’imposerait comme un concept juridique incontournable. Ce sont les juristes de l’islam qui ont « forcé lexicalement et grammaticalement le texte pour y surimposer la notion de «halal= licite/haram=illicite », tout comme de « halal=pur/haram=impur »[1]. Dictionnaires et traducteurs les ont suivis. Le Coran, pourtant, mettait en garde ceux qui légifèreraient à la place d’Allah : « Ne dites pas, conformément aux mensonges proférés par vos langues: «Ceci est permis et ceci est interdit», pour fabuler sur Dieu… »(16,116).

Accommodements du passé

Ce qui est permis ( halal) devait s’étendre à tout ce qui n’est pas tabou dans le Coran. Il suffisait d’éviter l’inceste (4, 23), la bête trouvée morte (5, 3), le sang (5,3 ; 2,173); le porc (2,173 ; 6, 145); les sacrifices polythéistes (2, 173 ; 5, 3), les boissons enivrantes (5,90), l’usure (2,275), la divination (5,90), l’adultère (24,3) le meurtre « sans justification »(6,151).

Les premiers musulmans immigrés en Occident suivaient le principe « nécessité fait loi ». « Du porc, ils en avaient peut-être mangé mais in-intentionnellement. Quant aux autres viandes, si cela était arrivé, ce n’était pas vraiment une faute puisque l’islam n’interdisait pas la viande des Gens du Livre. »[2] Ils connaissaient cette sourate :« Aujourd’hui les bonnes choses vous sont permises. La nourriture de ceux auxquels le Livre a été donnée vous est permise et votre nourriture leur est permise. » (S. 5, 5). En cas de doute, ces musulmans bénissaient la viande dans leur assiette, elle devenait ainsi pour eux « licite » à la  consommation. D’ailleurs, se considérant comme « en voyage », ils n’étaient même pas tenus de suivre le Ramadan (2:185).

Le haram pouvait devenir halal, pour des raisons de santé publique, d’économie ou de politique.

  • En 1923, en Turquie, à la veille d’un processus de sécularisation du pouvoir, un médecin, Ismaïl Hakki, fervent musulman et ardent nationaliste, ouvre le débat sur le porc halal et l’abattage rituel islamique, proposait « La purification des viandes selon la religion de l’islam»[3] à la lumière de la science… et du Coran ! En 1925, l’ex-vétérinaire en chef de l’hôpital d’Istanbul va dans le même sens. En 1927, le ministre des Affaires étrangères déclare, péremptoire : « Le porc est un bon aliment. L’un des meilleurs. La religion peut l’interdire mais cette idée mourra avec l’ancienne génération. »[4] A partir de la Deuxième guerre mondiale, le pouvoir ira jusqu’à promouvoir la chasse aux sangliers et l’élevage porcin dans quelques fermes d’état pour pallier la crise économique et alimentaire.
  • En 1983, en Iran, alors que le chiisme (imitant le judaïsme) proscrivait la consommation de poisson sans écailles, réputé haram, l’ayatollah Khomeyni en personne a explicitement déclaré par une fatwa que l’esturgeon était désormais halal, au grand soulagement des producteurs de caviar, une des premières richesses de l’Iran. Il est vrai qu’assisté de quelques oulémas, il avait su repérer, en examinant les esturgeons qu’on avait apportés sur son bureau, des appendices près de la queue et des nageoires qui semblaient être… des écailles atrophiées.[5]
  • Dans les années 1980, en France, le Cheikh Abbas, recteur de la mosquée de Paris, déclarait : « La viande, qu’elle soit halal ou non, achetée dans une boucherie musulmane ou dans un supermarché, qu’importe ! Les fidèles doivent s’adapter aux réalités françaises. Notre religion est un mode de vie souple. »[6]

Le halal contre l’assimilation

Après 1980, en France, le halal devient une revendication , tout d’abord par le refus du porc dans les lieux de convivialité que sont les cantines du Service public, notamment à l’école, à l’armée, dans les prisons. Les menus dits « de substitution » se généralisent. Ceux qui mangent halal se regroupent alors par tablées, séparés des autres convives.

A partir de cette période, l’abattage halal progresse. En France, il était précédé de l’étourdissement des animaux (depuis 1964). Dès les années 80, les abattoirs, par économie, misent sur le halal pour aller plus vite et comme « marché de dégagement » : les avants sont vendus aux musulmans, les morceaux arrière aux autres consommateurs. La dérogation accordée jadis ponctuellement par les préfets aux sacrificateurs juifs, devient, à propos du halal, à partir de 1993, un chantier législatif français et européen encore inachevé et instable. Les mosquées de Paris, Lyon, Evry se voient attribuer le contrôle des certifications halal. Autorités aussitôt contestées du côté musulman.

Exiger le halal pour établir partout le contrôle de l’islam  Chez les musulmans les plus offensifs, il s’agit de ramener la diaspora des immigrés au sein de la « communauté » (oumma), puis d’ imposer l’islam dans le pays d’accueil. En France, la loi de 1905 qui garantit « la liberté de culte » se trouve ainsi âprement interprétée[7] dans le sens du droit à halaliser la nourriture, le vêtement, les mœurs, dans une logique totalisatrice. Pour promouvoir un tel projet à l’échelle mondiale, des forums internationaux halal sont organisés (Paris 2004, Kuala Lumpur 2006… La Haye 2024). Des congrès aussi, où certains planifient « la conquête du monde par le halal ».[8]

https://tse1.explicit.bing.net/th?id=OIP.7CJDA9yijysEYDhzeWwThgHaEN&pid=Api&P=0&h=180

La viande halal, l’opacité, les risques

La certification de la viande halal ne repose pas sur une véritable norme car aucune n’a pu être clairement établie. En France comme ailleurs les musulmans sont loin de s’accorder sur la question. De plus, l’alliance entre industriels producteurs de viande halal et autorités religieuses chargées de délivrer la certification recouvre des intérêts différents, ce qui aboutit à de curieux compromis. L’abattage des volailles, par exemple, se fait mécaniquement. Pour qu’un semblant de rituel soit respecté, certains ont imaginé d’accompagner cet abattage mécanique d’un voix enregistrée qui diffuse l’invocation du nom d’Allah « Bismillah  Allahou Akbar », en lieu et place d’un sacrificateur agréé. Autre exemple : la Nouvelle-Zélande qui interdit l’abattage rituel sur son territoire obtient pourtant sans problème une certification halal pour pouvoir exporter sa production vers les pays du Golfe.

Les consommateurs sont floués : si le consommateur musulman peut nourrir quelques soupçons sur l’halalité de la viande certifiée, le consommateur non-musulman est laissé dans une ignorance plus grave : faute d’un étiquetage[9], il consomme de la viande halal sans le savoir et il paie la taxe halal pour un mode d’abattage auquel il est majoritairement opposé. Or, déjà en 2005, 80% des abattages d’ovins se faisaient en mode halal[10]. Au moins 60% de la viande serait aujourd’hui abattue en France sans étourdissement. Contournant l’immobilisme de l’Etat français, de simples citoyens[11] viennent de forger une application (sur Androïd) pour permettre de connaître la provenance, halal ou non, d’une viande emballée :

L’abattage halal engendre d’énormes flux financiers sans véritable traçabilité. Des investigations réalisées au Canada et aux U.S.A., ont montré qu’une partie de ce flux aboutit, après les mosquées, via des sociétés de charité islamique, au financement de groupes terroristes[12]. Le problème avait été soulevé, en France, dès 1994, mais n’a reçu qu’un assurance verbale de la Mosquée de Paris en guise de solution[13].

La souffrance animale lors de l’abattage halal, et les entorses à l’hygiène sont occultées. Au motif que l’islam interdit de manger du cadavre, l’animal doit être égorgé jusqu’aux vertèbres sans anesthésie préalable. Soit jusqu’à ¼ d’heure de souffrance en pleine conscience avant que la mort n’intervienne. Les conséquences sanitaires sont scientifiquement documentées : les remontées stomacales, les toxines dues au stress, l’urine et les excréments souillent la viande, la rendant dangereuse à la consommation, particulièrement pour des steaks hachés non cuits à coeur.[14]

Au moment de l’Aïd al Adha, l’autorisation des abattoirs temporaires, dérogation qui s’ajoute à une pratique déjà dérogatoire (sous le prétexte d’éviter des égorgements sauvages dans les baignoires par les pères de famille imitant Abraham), signe l’abdication des pouvoirs publics en matière de respect des lois et règlements, et même des mesures d’hygiène élémentaires, dès qu’il s’agit de halal.

Le grand marché halal

L’invention d’une norme compatible avec le marché « La certification halal, née dans les années 1980, n’est pas une tradition religieuse mais un fait économique »[15], Les industriels impressionnés par le nombre potentiel de consommateurs musulmans (les « 2 milliards » de musulmans[16]) et par leur enrichissement récent en pays pétroliers et dans la diaspora, sollicitent le label halal pour écouler leur production… tout en oeuvrant pour que les standards internationaux ne soient pas trop coûteux à respecter. Des ouvrages, des agences, véritables guides du halal les forment à ce nouveau marché[17]. 1997 a été l’année de la première norme de halalisation mondiale sous l’impulsion de la Malaisie, pays test où Nestlé, implanté depuis 1912, donne le ton sur l’harmonisation des normes agro-alimentaires, en fonction de ses intérêts,.

L’obsession de la « pureté » chez certains consommateurs Quoique halal n’ait jamais voulu dire « pur » dans le Coran, selon les ouvrages de droit musulman,  halal  désigne ce qui est « pur ». Or le mot semble aujourd’hui répondre à une recherche inquiète de la « pureté ». Profitant d’une confusion entre label halal et label de qualité, voire label bio, le marketing s’est emparé de ce créneau avec un halal à prétention éthique (comme « Green Halal » fondé en 2010). Une frange plutôt jeune de consommateurs -parfois des non-musulmans- sensibilisés récemment à la crainte des contagions et contaminations en tous genres, se tourne vers des produits labellisés halal, qu’ils croient plus respectueux de la Nature et moins dangereux pour leur santé. Comme un encouragement à ce consumérisme halal, « on enseigne dans les mosquées que se conformer au halal permet d’’accumuler sur son « compte religieux » ces précieux « hassanat » qui ouvriront, lors du décompte final, l’accès au paradis »[18].

Inflation du label halal : On trouve en Italie de l’huile d’olive, de l’eau minérale halal ! Internet propose des voyages, de la cosmétique halal. Il existe des lignes de vêtements dits halal. Une « sex-shop » en ligne, basée en Turquie, Helalsexshop.com, offre des articles certifiés halal depuis 2013, « c’est-à-dire conformes à la religion musulmane, sans graisse animale ou alcool ». Dans le même temps, on voit se multiplier les agences matrimoniales « pour un mariage heureux et halal », car le mariage hors communauté est de moins en moins accepté[19]. Cette certification tous azimuts n’est souvent, en fait, qu’une simple formalité monnayée auprès des autorités religieuses, suivant des critères variables et dans un but purement commercial. Voici la certification du Coca-cola par la Mosquée de Paris :

Il est bon de savoir repérer ce label halal sur les emballages, ici sur produit Kellog :

Quant à la finance islamique se prétendant halal , elle parvient à s’inscrire dans des partenariats avec les banques traditionnelles ( la Société générale, BNP Paribas, le Crédit agricole)[20]. et[21] .

 

Conclusion

A partir d’un concept ouvert désignant « ce qui est libre d’accès, non-frappé d’interdit », « halal » est devenu un concept fermé désignant « ce qui doit être recherché à tout prix pour être un bon musulman ». « LE halal » est aujourd’hui la pierre de touche de l’islamiquement correct, un prétexte à la surenchère au sein de la « communauté », un marqueur de l’auto-discrimination musulmane face aux Infidèles, et le vecteur d’un rêve de conquête à l’échelle mondiale.

[1] Alajami.fr/index.php/2018/01/23/5-le-halal-selon-le-coran-et-en-islam

[2] Florence BERGEAUD-BLACKLER, « De la fatwa du Transvaal au marché halal : ouverture et fermeture de l’espace alimentaire musulman (1903-1980)» in Le sens du Halal, CNRS éditions, Paris, 2015, p. 62.

[3] Burak ONARAN, « Le débat sur le porc halal en Turquie au début de la période républicaine », in Le sens du halal, op.cit., p32.

[4] Ibid, p. 31.

[5] Christian BROMBERGER, « Et l’esturgeon devint halal en islam chiite duodécimain », in Le sens du halal, op.cit. , .p.26.

[6] M. TELHINE, L’islam et les musulmans en France : une histoire de mosquées, L’Harmattan, 2010.

[7] Hanen REZGUI PIZETTE, La République et le halal , ALQALAM livres, Paris, 2015.

[8] En Décembre 2010, au congrès d’Islamabad, Mustafa Ceric, mufti de Bosnie, un leader de la confrérie des Frères musulmans, a incité les musulmans à «conquérir le monde par le mouvement halal».

[9] Cet étiquetage a été refusé par la Conférence des rabbins européens en 2006.

[10] Selon le rapport du COPERCI pour le Ministère de l’intérieur, de l’agriculture et de la pêche.

[11] Initiative de l’association Vigilance halal.

[12] Alain de PERETTI, Vigilance halal, https://youtu.be/sAO6HCtZ_N0  Affaire Holyland, enquêteur Marc Lebuis.

[13] Accord de principe entre Charles Pasqua et Dalil Boubakeur, in Florence BERGEAUD-BLACKLER, op. cit. , p. 96.

[14] Alain de PERETTi, vétérinaire, fondateur de Vigilance Halal, https://suivezlecoq.fr/wp-content/uploads/2020/10/Synthese-sanitaire-halal.pdf

[15] Florence BERGEAUD-BLACKLER.in Julie CLARINI, « L’invention de la tradition halal », Le Monde.fr,  5 janv. 2017.

[16] Chiffre jamais vérifié.

[17] Florence BERGEAUD-BLACKLER, « Le Halal World pour les marchands », in op. cit. p. 173.

[18] Florence BERGEAUD-BLACKLER, « De la fatwa du Transvaal à l’aube du marché halal », op.cit. , p. 65.

[19] Leyla ARSLAN, « Union halal : sexualité et mariage chez le couple « musulman » dans les quartiers populaires », in Les sens du halal, op.cit. , p. 145.

[20] Idem, p. 194.

[21] Isabelle CHAPELLIERE, « La licéité des produits financiers islamiques en France »,in Les sens du halal, op. cit. p. 249.

 1,067 total views,  1 views today

image_pdf

21 Commentaires

  1. Il y en a marre de faire des analyses des us et coutumes musulmanes !
    Le halal,le ramadan,le burkini,etc… Et tout le vocabulaire du coran ne devrait avoir sa place en France qui est encore (mais pour combien de temps),un pays de tradition chrétienne !

    • Libre à vous de ne pas comprendre une démarche qui consiste à éclairer de la façon la plus exacte possible un phénomène, si déplaisant soit-il, pour fournir au lecteur des arguments solides. Si, pour résoudre un problème, il suffisait de dire “Y’en a marre !”, la vie serait plus facile, je vous l’accorde…

  2. Pour résumer, toute cette littérature c’est de la merde et il faut jeter à la mer tous les adeptes de cette idéologie de merde qui n’a rien à faire chez nous

  3. A l’abattoir la bête doit-être égorgée seulement par un musulman (discrimination), tranchage des artères corrolaires et des autres veines du cou; la tête de la bête orientée vers La Mecque + prière; dans la foulée la bête agonisante est suspendue par une seule patte tête en bas pour être éventrée (la bête n’est toujours pas morte dans 90% des cas). A l’éventration le contenu du 3è estomac se vide contaminant les parties saines en bas de la bête et servant souvent parait-il pour les stecks hachés ( bactérie E.Coli). Constaté à l’abattoire de La Tour du Pin (Isère).

  4. @ Agathe Rabier
    Merci ++++ pour ce long article. Comme vous l’écrivez “un leader de la confrérie des Frères musulmans, a incité les musulmans à «conquérir le monde par le mouvement halal».
    Personnellement, le “sens du halal” m’indiffère. La seule chose qui compte, le halal est l’instrument de la conquête de notre civilisation. Que faire en tant que consommateur lambda ? S’informer, ne pas craindre de poser des questions aux commerçants, quitte à se faire rembarrer, lire les étiquettes et s’assurer qu’il n’y a pas l’un des signes (il y en a plusieurs) signifiant que oui, vous payez la taxe halal (posez vous la question de l’utilisation de cet argent ….). Aussi, certaines marques internationales font encore profil bas en France mais n’hésitent pas à se vanter sur leurs sites institutionnels d’avoir l’agrément halal, comme Toblerone par exemple.

  5. On notera que la Libre Pensee (Tu parles !), toujours prompte a vouloir interdire les creches de Noel ou statues de st Michel dans les lieux publics, la boucle totalement quant au fait qu on puisse consommer de la viande hallal dans les restaus administratifs,scolaires,universitaires et autres relevant du public.
    Que l on paye une taxe a l imam pour certification hallal ne genent aucunement ces laicards.
    J aimerai savoir ce qu il se passerait si mon cure imposait le poisson le vendredi avec prelevement d une taxe pour certification.

  6. Halal Halal, ils nous les gonflent, si ils veulent manger halal, qu’ils foutent le camp dans leur pays. La France n’est pas un pays Halal. Marre et plus que marre de ces politiques corrompus et lâches qui se couchent devant tous ces buveurs de pisse. L’islam dehors.

    • Joel Les muzz font cuire la viande longtemps ou bouillir Pas de viande crue ou peu cuite dans leurs recettes Ils ont du apprendre de leurs ancetres qu ils pouvaient tomber malades

      • @Chouan
        Si vous avez lu l’article, vous auriez dû comprendre que le boeuf est abattu de façon DEROGATOIRE. Certaines parties sont consommées par les musulmans, cuites longtemps ou bouillies, donc sans (?) possibilités de s’empoisonner. Quid des autres morceaux de la même bête ? Ils se retrouvent dans les rayons des grandes surfaces et jamais signalés comme halal ….

        • Oui Les muzz ne consomment pas toutes les parties et apres découpages cela va dans les “circuits” normaux Mais les abbattoirs depuis longtemps pratiquent presque tous l abbattage hallal pour….Toutes les bêtes Motif : économique Il faudrait faire 2 chaines d abbattage différentes …Des éleveurs font des kms pour trouver un abbattoir à l ancienne qui tue d un seul coup au “pistolet” par ex et éviter une mort cruelle Alors le consommateur, ignorant, achete viande “hallal” dans GS, boucheries ( sauf certaines ), restaurants, traiteurs, marchés etc Pas le choix! Le hallal est un djihad sournois

  7. Régulièrement je vois sur de nombreux médias des commentaires reprochant aux associations de défenses animales de ne jamais s’en prendre à l’abatage halal et casher . Pour les premiers ( halal ) essayez vous à la maïeutique avec eux , avant de tenter de les faire accoucher de quoi que ce soit vous serez déjà mort . Pour les seconds ( casher ) je ne sais certains parlent de pouvoir caché et d’éminence grises .

    • Les associations qui se bougent : Vigilance halal, OABA, Fondation Brigitte Bardot…

  8. Il a du vous en falloir du courage et de l’abnégation pour faire cet article ,sachant ce sur quoi il porte et ce qui en résulte. Une manière courtoise et polie d’exprimer tout le mépris que ces gens inspirent et que j’ai pour eux .Ces gens sanctifient la cruauté par toutes leurs pratiques et croyances. Ils se prétendent pieux
    alors qu’il n’y a pas plus libidinal qu’eux .Cela transparait dans leur visage aux traits libidineux , leurs lèvres lippues gonflées de sang , leur nature sanguine et leur appétence pour la violence se lis sur leur face .

    • Moi aussi je lis cette appétence pour la violence sur leurs visages. Tous leurs textes “sacrés” suintent la dictature fourbe, la violence sexuelle, le meurtre alors ça transparait sur leurs corps, l’expression de leurs visages, leur regard.

  9. Bonjour Agathe. Je lirai dans la matinée, le p’tit dèj passant en priorité, mais tout d’abord un grand merci pour cet énorme travail de ta part. Du cousu main, du sur mesure. Un survol en diagonale m’a déjà rempli de curiosité. Un vrai plaisir.

Les commentaires sont fermés.