A Davos, Javier Milei a réalisé un quasi coup d’Etat : vive la liberté, Putain !

Le Président argentin a prononcé un discours fleuve qui a étonné, dérangé mais qui n’a pas laissé indifférent. Un discours fleuve, non, plutôt un discours coup de poing.

Retournement de situation insolite, où le Président d’un pays en développement donne des leçons à la “crème” des donneurs de leçons occidentaux.

Sa première phrase : l’Occident est en danger !

Sa dernière : vive la liberté, Putain !

Et, au milieu une diatribe impitoyable contre la gauche, contre une certaine vision du monde qui conduit  au  socialisme qui conduit inexorablement à la pauvreté.

Et il cible les responsables : ceux qui sont là, à Davos, qui sont pourtant censés défendre les valeurs de l’Occident et qui sont aveuglés par cette vision du monde.

Et de dénoncer les leaders prêts à tout pour appartenir à la caste et notamment pour abandonner le modèle de liberté, pourtant fondamental, au profit du collectivisme. Or le collectivisime échoue toujours.

Et de prendre l’exemple de l’Argentine, devenue la première puissance mondiale en 35 ans, en 1860, dont les citoyens se sont appauvris au cours des 100 dernières années pour tomber à la 140ème place…

Les collectivistes veulent plus de régulation, ils créent une spirale qui entraîne tous les citoyens à devenir plus pauvres, dépendant d’un bureaucrate assis dans un bureau luxueux.

Or, plus de régulation, c’est plus de pauvreté, moins de liberté et un niveau de vie plus bas. Voilà le modèle que l’Occident emprunte de plus en plus…

Aujourd’hui, les États n’ont pas besoin de contrôler directement les moyens de production pour contrôler chaque aspect de la vie des individus, avec des outils tels que l’émission monétaire, l’endettement, les subventions, le contrôle des taux d’intérêt, le contrôle des prix, les régulations face aux supposés défauts de marché , ils peuvent contrôler les destins de millions d’êtres humains.

”Le nouveau contrôle des populations passe en effet par des manipulations économiques et monétaires – décidées dans le dos des citoyens – dont je vous parle souvent dans mes lettres pour vous éclairer.

Imaginez l’effet boeuf de ces paroles sur les participants de Davos, qui signent presque à l’unanimité pour le collectivisme le gauchisme, le socialisme et le wokisme.

Nous essaierons de revenir sur d’autres aspects de son discours quand nos ennuis informatiques se seront dissipés.

Il paraît qu’il n’a pas été très applaudi…

A suivre, espérons qu’on aura des réactions et des articles de presse sur le phénomène !

Même si on se méfie, à RR, des hyper libéraux qui sont aussi ceux qui, au nom du profit, nous emmènent dans le trou, comme c’est le cas d’un Bill Gates, un petit coup de pied dans la fourmilière wokiste, ça ne fait pas de mal.

 

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9 Commentaires

  1. Les agriculteurs, actuellement en rogne, se plaignent des normes écrasantes et souvent contradictoires de la marâtre qui siège à Bruxelles.
    FREXIT vite !

  2. Sera pas pote avec Macron qui doit déjà le détester !

    Ses os sont en danger ! Les requins pourraient le saigner. Une maladie mortelle, par les temps qui courent pourrait le frapper.

  3. Comme pour Poutine et son coup d’aspirateur radical dans la Russie agonisante des années 90, l’heure de l’Histoire est à des leaders à l’ancienne : c’est à coups de pieds et en outrepassant les lois qui ont mené à l’oppression – surtout les lois prétendument morales, les plus sclérosantes (lois théologiques bibliques autrefois, Droits de l’Homme à la tête du client aujourd’hui) – qu’on se libère. Rien de ce qu ide l’encre sur du papier n’est sacré. C’est une trace dans le meilleur des cas, et une divinité artificielle ensuite, facilement détournable.
    Vive la liberté !

  4. Bonjour,

    C’est plutôt ta conclusion que je retiens, Christine.

    Je vomis les Libertairiens.

    Je me souviens du site d’un Libertarien français qui avait pour en-tête :

    “Les frontières on s’en fout ! ”

    Le même slogan que les Gauchistes les plus dégénérés !!

    La France s’est construite autour d’un Etat protecteur.

    C’est le modéle capétien.

    Depuis 50 ans, il est démantelé par les “élites”, c’est ça qu’il faut restaurer.

    Par exemple, restaurer l’excellence de l’école publique et non mettre en place le chèque scolaire ou l’ extension du hors-contrat.

    Tout cela a très bien fonctionné, par le passé , ne l’oublions pas …

    Je vais regarder la vidéo.

  5. Méfions-nous des libéraux. Au nom du libéralisme, des peuples entiers ont été sacrifiés. Je ne pense pas qu’il puisse tenir longtemps. Mais bon, une claque dans la gueule des autres ordures, ça ne se refuse pas.

  6. Je ne suis pas certain que l’ultra libéralisme soit la clé du bonheur pour le peuple non-plus. Dans un cas comme dans l’autre, beaucoup se servent au passage ne lui laissant que les miettes.

  7. Quand les lions se chamaillent, les gazelles ont la paix! ( proverbe Bamboula)😅

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