Oudea-Castera, comme Ndiaye, scolarise ses enfants dans le privé et nous crache à la gueule !

Les 3 garçons d’Amelie Oudea-Castera, nouvelle ministre de l’éducation, sont scolarisés au lycée catholique Stanislas à Paris, le plus élitiste de France.

La dinde s’explique et elle croit se justifier !

Il est certain qu’avec les macronistes Blanquer et Ndiaye, l’école publique est devenue excellente, sûre et sans profs absents ! Ça ne la dérange pas de se vanter de vivre dans les beaux quartiers et d’avoir les moyens d’échapper à ce que ces ordures ont fait de l’école de la République !

 

Elle n’a pas l’intention de se laisser faire. Nommée ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports ce jeudi 11 janvier, Amélie Oudéa-Castéra a expliqué pourquoi ses enfants ne sont pas inscrits à l’école publique. Ses trois garçons sont en effet inscrits au collège-lycée Stanislas, dans le 6e arrondissement de Paris. Un choix tout à fait justifié pour la mère de famille, en déplacement ce vendredi dans au collège d’Andrésy dans les Yvelines, aux côtés du premier ministre Gabriel Attal.

Calmement, Amélie Oudéa-Castéra a répondu à la question d’un journaliste présent sur place. «Notre aîné, Vincent, a commencé comme sa maman à l’école publique, celle de Littré. Et puis la frustration de ses parents, mon mari et moi, qui avons vu un paquet d’heures qui n’étaient pas sérieusement remplacées», explique la ministre. Avant d’ajouter : «À un moment on en a eu marre comme des parents de milliers de familles qui ont fait un choix d’aller chercher une solution différente.»

Des enfants «formés avec de l’exigence»

Outre cet argument, la ministre indique également avoir choisi cet établissement avec le père de ses enfants pour des raisons géographiques. «On habitait rue Stanislas, scolariser nos enfants à Stanislas était un choix de proximité. Et depuis de manière continue nous nous assurons que nos enfants sont non seulement bien formés avec de l’exigence dans la maîtrise des savoirs fondamentaux qu’ils sont heureux, épanouis, des amis qui sont bien, qui sont en sécurité et en confiance», poursuit-elle. Et de conclure : «Avant de stigmatiser les choix des parents d’élèves, il est important de rappeler que l’école, c’est celle de la République.»

Amélie Oudéa-Castéra n’est pas la seule ministre de l’Éducation nationale sous Emmanuel Macron à avoir inscrit ses enfants dans le privé sous contrat. Jean-Michel Blanquer avait également choisi le lycée Stanislas pour ses enfants. Pap Ndiaye, lui, avait préféré l’École alsacienne, prestigieux établissement du 6e arrondissement, où a aussi été scolarisé Gabriel Attal, ancien ministre de l’Éducation, désormais premier ministre.

https://etudiant.lefigaro.fr/article/college/la-ministre-de-l-education-explique-pourquoi-ses-enfants-sont-scolarises-dans-le-prive-20240112/

2 mots en réponse :

Oui, la salope !

Parce que répondre « au nom de la République » (imposteur !)quand elle avoue clairement que l’école républicaine, justement, ne fait plus son boulot, que seuls ceux qui ont les moyens d’habiter les beaux quartiers et de payer les écoles privées ont une chance d’avoir des enfants bien formés, heureux, épanouis, avec des amis qui sont bien, qui sont en sécurité et en confiance… c’est à la fois de l’arrogance et de l’imbecilité. Et elle sert un gouvernement responsable de la situation calamiteuse de l’école à cause de l’immigration massive, d’une justice laxiste et de politiques acceptant le djihad.

Question à 100 balles : comment va-t-elle faire passer l’idée macronienne de mixité sociale, de fermeture d’écoles de « quartiers » pour encore mieux mélanger le bon grain et l’ivraie ou plutôt les torchons et les serviettes ?

Je vous disais hier que c’était une dinde. Ça se confirme. Elle ne se rend même pas compte que ses « explications »/justifications justifient le procès qui lui est fait !!! En plus du reste elle n’est même pas intelligente…Et ça c’est Ministre de l’Education nationale. Pour le coup on comprend bien qu’elle a été mise là pour la finir. Elle la hait. Et au lieu de changer les choses (ce que Macron n’autoriserait pas, forcément), elle va tuer le peu de bon qui reste, en affirmant que c’est normal et que c’est la seule solution.

Qu’avons-nous fait pour mériter cette engeance ?

 

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69 Comments

  1. Notre ministre de l’éduction a franchi la ligne rouge, car aller dans une école de gamins de 7 – 8 ans comme c’était le cas aujourd’hui avec Attal, pour dire aux garçons s’il laissent de la place aux filles dans la cour de l’école, et aux filles si elles prennent leur place à l’égard des garçons… ceci, venant d’une autorité de l’Etat, dire aux garçons de ne plus être des garçons, et aux filles de ne plus être des filles, tout le monde sait que les filles sont matures à 16 ans, et les garçons qu’à 22 ans… Dans le logiciel de cette ministre, il faut recréer une école pour filles et une école pour garçons, laissant chacun être ce qu’il est quand on a 8 ans… Je suis outré de cette pensée castratrice du ministre de l’éducation nationale qui doit démissionner…

    • Castera n’a pas la compétence d’être ministre de l’éducation, elle devrait être éduquée en premier. Elle ne peut imposer aux garçons de se restreindre à 8 ans, pour laisser la place aux filles… c’est une idéologie de déconstruction du genre masculin…. Avec ce genre de procédés, Attal aurait du la recadre, donc il est d’accord avec elle… Ces gens sont irresponsables… Imaginez, si un jour Attal ou Castera diront un jour que les Cathos vous devez vous effacer pour laisser la place aux muzz… Ces gens sont à vomir, sur l’idéologie qui est la leur.. avec cela ils cherchent à prendre le contrôle sur le comment il faut vivre ensemble… une dictature spirituelle que je pressens depuis longtemps chez Macron

  2. Elle s’est grillée elle-même, ce n’est pas un scoop non plus… Les gens ayant du fric ne mettent jamais leurs enfants dans les écoles publiques… encore plus depuis que ces écoles sont multi-ethniques, où les profs ne sont plus les maîtres, mais doivent se contrôler, réfléchir avant de parler pour ne pas se mettre en danger pour leur vie, pour leurs familles… la pression islamiste et wok sur l’école publique est considérable… L’école publique n’est plus un refuge permettant aux jeunes d’apprendre les fondamentaux pour réussir dans la vie, mais est devenu un lieu de conditionnement, d’enseignement sectaire archaïque pouvant être répressifs… le prof y est sous surveillance par les élèves et leurs parents ayant débarqué en France en ne connaissant rien d’autre que des règles de vie communautaristes ayant déjà existé au 7 ème siècle…

  3. Nous n’avons pas des revenus de ministres pour placer nos enfants dans des écoles payantes, mais c’est nous qui payons les ministres pour qu’ils puissent eux! le faire !

  4. Pour être franche, elle n’a fait que répondre aux questions du journaliste. Et, ce faisant, elle ne fait que pointer du doigt les problèmes de l’enseignement public, miroir inversé de ce qu’est l’école privée ! Certes, dans un premier commentaire je lui ai fait remarquer les défaillances mais, en toute honnêteté, je n’ai pas l’impression qu' »elle nous crache sur la gueule »… sauf si, mais très certainement, sur les instructions de macron en coulisses, elle ne fera rien pour améliorer le système scolaire dans son ensemble destiné au plus grand nombre. Elle a fini par ajouter que, évidemment, il fait avoir des moyens financiers pour placer ses enfants dans le privé.

  5. Du même milieu que omar sy qui préconise le multiculturalisme à l’école et qui s’expatrie aux USA pour soustraire ses enfants à l’école de merde ! Aux armes, citoyens, formez vos bataillons…

  6. Que tous les parents qui en ont marre de l’école publique déscolarisent leurs enfants en masse, par centaines de milliers. Il en sortira bien quelque chose.

  7. Sauf, Mme Oudea-Castera, tout le monde n’a pas vos moyens et, un des grands maux de l’école de la république publique est qu’elle est devenue un vivier de la racaille où NOS enfants ne sont plus en sécurité. Certes, votre maître à penser et notre saigneur n’est pas responsable de tout depuis que cela dure mais depuis 2017, qu’a-t-il fait pour y remédier ? Rien ! Des cours de sexualité de plus en plus glauques où même les profs en sont exclus, les AESH de même et seules les infirmières ou autres « dpécialistes »en expliquent les mécanismes avec projections sur écran, les transgenreté, la transdentité, bref tout ce qui peut dévoyer la frangillité puérile pour une propagande malsaine et perverse distillée dans l’innocence, voilà ce su’il ptopose par ministres interposés.

  8. Laissons lui quand le temps de l’action, elle vient d’arriver soyons patients et indulgents comme nous le sommes avec notre bien aimé président, certes il est là depuis 7 piges et il n’a rien branlé, mais je rappelle qu’il lui reste 3 ans pour remettre le pays en ordre. On ne sait jamais, avec notre Jean Claude Dusse élyséen sur un malentendu…..

    • Pas d’accord, Alexis, elle travaille depuis longtemps pour l’ordure Macron, on ne peut lui faire confiance, c’est une ennemie

      • Même les adversaires peuvent parfois faire un truc bien … c’est rare mais ça arrive. En tous cas, protéger ses enfants d’un enseignement décadent est plutôt sympathique en soi …

  9. Je me pose la question: est-ce que sa « sortie » sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase, la bourde de trop qui va mettre le feu aux poudres ? Car, j’en suis persuadé, il arrivera un moment où ça va se produire.

  10. Ben elle voit des heures de professeurs pas remplacés, elle devrait réfléchir au pourquoi cette profession et de plus en plus désertée (et je comprends !).

    Quoiqu’il en soit, elle devrait donner l’exemple de ce qu’elle se permet d’imposer aux Français !

    • Bonjour,

      Oui, c’est un cercle infernal, totalement vicieux même.

      Les élèves sont nuls et infernaux, protégés, désormais, par leurs parents.

      Les professeurs désarmés, abandonnés par leur administration : plus de candidats à ce métier ou des ultra-nuls.

      Il suffit de regarder un ou deux jeux télévisés où il y a de jeunes enseignants pour prendre conscience de leur nullité.

      Le CAPES, autrefois exigeant, est devenu d’un niveau lamentable.

      Elèves nuls => Professeurs nuls => Elèves encore plus nuls => Professeurs encore plus nuls=> Elèves ultra-nuls etc etc

      • « Le CAPES, autrefois exigeant, est devenu d’un niveau lamentable »

        Oui j’ai un proche, CAPES Lettres classiques Latin-Grec très exigeant, qui se retrouve avec le même salaire que ceux Lettres modernes ou autre qui n’ont pas ce diplôme, voire n’ont qu’une licence.

        On se moque des diplômes et de la difficulté avec l’énergie intellectuelle qu’il faut pour les obtenir quand ils sont de haut niveau.

        J’ai connu une prof (de Gauche voire ultra gauche syndiqué bien sûr) qui était pour le CAPES à tout prix mais ne l’avait jamais passé.

        D’accord aussi avec l’intrusion massive et non avenue des parents, des associations de Parents d’élèves aussi trop présentes dans un lieu de socialisation qui vise justement à aider à s’insérer dans le tissu social en coupant le cordon familial.

        • Bonjour,

          J’ai le souvenir d’une professeur de Lettres qui nous expliquait, dans les années 70,que des professeurs de Gauche avaient voulu l’empêcher de passer l’agrégation.

          Elle ajoutait : « Ils étaient bien bons, mais, eux, étaient déjà tous agrégés ! »:=)

          J’ai même eu, à la fac, un professeur de Physique, gauchiste assez célèbre à l’époque, normalien, dont j’ai su, plus tard, qu’il avait refusé de présenter l’agrégation « concours bourgeois » mais qui se présentait comme « agrégé » dans ses CV …

          • Oui pas mal vos exemples ! Certaines contradictions ne font pas peur à certains qui les professent, ça sent un petit désordre inconscient quelque part !

  11. Elle ne se donne pas trop de mal pour se foutre de notre gueule de Français moyens (c’est à dire de pauvres, par rapport à la Caste). Sans aucune surprise, cette hypocrite essaie d’entraîner la discussion dans le domaine émotionnel lacrymal : « La monmon, mes trois petits garçons (là j’ai failli pleurer) » en croyant mettre les monmons et les popos dans sa poche.
    Et elle ose faire mine de subir une attaque personnelle (la pov’ véctchéme) alors qu’elle exerce une fonction publique au plus haut niveau. Crois-tu, dinde, qu’il aura échappé aux monmons, qu’elles, ne pourront mettre leurs « petits garçons » à l’abri.
    « Elle est la nièce du médecin Jean-François Duhamel, des journalistes politiques Alain et Patrice Duhamel3 et Nathalie Saint-Cricq4 et la cousine de Benjamin Duhamel, journaliste de BFMTV. »

  12. Amélie Oudéa-Castera est la nièce des journalistes politiques Alain et Patrice Duhamel et Nathalie Saint-Cricq et la cousine de Benjamin Duhamel, journaliste de BFMTV, tous macronistes. La ministre et Attal ont visité un collège, et l’on pouvait voir tous les élèves très nombreux de la « diversité » qui s’exclamaient, voir se moquaient des ministres. Comment peut on modifier quoi que ce soit avec de tels élèves, dissipés, vulgaires, qui ne se soumettront jamais aux disciplines de la République. Hier sur le plateau de CNews, aucun des participants n’a dit que cette ministre avait mis ses enfants dans un établissement privé pour éviter la PROMISCUITé ; ils n’ont pas dit que son motif principal était qu’elle ne voulait pas pas que ses fils côtoient des Noirs et des Maghrébins. https://www.le-pays.fr/andresy-78570/actualites/premier-bain-de-foule-pour-gabriel-attal-et-amelie-oudea-castera-en-visite-dans-un-college-dans-les-yvelines_14434234/

    • Des élèves, ça se discipline sans difficulté … à condition d’avoir la volonté et d’être suivi par l’encadrement à tous les niveaux sans faille … ce qui n’est pas le cas !
      On peut mettre leur couper les cheveux, les habiller en Schtroumpfs verts et les faire marcher au pas. En deux jours ce ne mouftera plus, les petits caïds !

  13. Cela montre l’immense mépris que ces gens du gouvernement ont pour le peuple.C’est comme si 1789 n’avait pas eu lieu.En plus beaucoup disent au nom de la République,mais c’est un mot qui devient totalement abstrait,la REPUBLIQUE autorise tout et n’importe quoi……

    • Où avez vous entendu du mépris dans ce témoignage ? Vous pensez que tous ceux qui essayent de sauver leurs enfants du naufrage de l’école ont du « mépris pour le peuple » ? Ça fait du monde, peut être même vous si vous étiez dans cette situation .

      • et toi ? tu as les moyens d’envoyer tes gosses dans cet établissement ? ils feraient mieux de rétablir l’ordre et le savoir dans les écoles public au lieu de fuir et se mettre a l’abris, quoiqu’il advienne au  » peuple  » !!

        • Et comment on fait pour rétablir ordre et savoir sans se faire seulement écraser, pour rien comme résultat ? C’est facile à dire « il faut », mais à faire c’est titanesque.
          Alors … alors on bricole. Avec ce qu’on a. Et quand on a le peu de sous qu’il faut pour mettre ses enfants dans le privé (sous contrat, ça coûte le moins cher), on le fait. C’est juste humain. Pour tout le monde.

          • Non, non , non.
            J’ai l’impression que vous l’excusez.
            Cette femme fait partie du sérail responsable de la merde dans les écoles.
            Elle appartient au groupe qui depuis plus de 40 ans, nous impose des immigrés arriérés et fanatiques, des coupeurs de tête, en nombre de plus en plus inquiétant.
            Mais elle, elle a la possibilité d’échapper à l’enfer qu’elle a contribué à créer.
            **Si vous l’excusez, c’est le comble !
            **Vous voyez bien que cette caste continue à organiser l’invasion, oui ou non ???

        • Prix de la scolarité (hors classes prépas) à Stanislas : 2416 euros par an (201/mois). Avec un système d’entraide pour les familles qui ne peuvent pas payer cela, y compris non boursières.

  14. J’ajoute encore: dans les classes du public, combien de nationalités extra-européennes? Dans les classes du privé, combien de nationalités extra-européennes?

    • Le privé se voit aussi imposer la diversité de plus en plus au risque de se voir mis à l’écart des subsides de l’Etat. Il y a juste plus de règles et de libertés dans les décisions en cas d’écart trop important.

      Et certains doivent éviter les établissements catholiques comme la peste (je pense aussi à certains Français pas bien avec leur Culture).

      Il faut savoir aussi que dans le privé, pour le Peuple bien sûr, il y a de plus en plus de professeurs « laïques » jusqu’au bout des pieds. Près de chez moi, tout juste si l’on voit, dans une école estampillée catholique pourtant, une trace de Noël marqué par ce qui devrait être : la crèche et ses personnages ou ses représentations.
      Il faut dire que l’école publique pas loin veille au grain et si l’on veut des relations avec eux pour le travail… il faut faire profil bas.

      Que ces « f »rançais me dégoûtent aussi…

  15. J’ajoute: on vient de me dire dans l’oreillette qu’il existait une carte scolaire et que toutes les familles étaient tenues de s’y conformer. Dans un Etat de droit comme la France, il ne doit pas y avoir d’exception ou de triche. Ben voyons, comme dirait l’ami Zemmour.

    • Bonjour,

      Mais bien évidemment.

      Je me souviens du proviseur d’Henri IV, dans un reportage de France 2, qui montrait deux piles de dossiers.

      En substance:

      « Ici ce sont les demandes de dérogation des politiques, là des journalistes. En haut de la pile, par exemple, il y a la demande d’un journaliste. Il crache, en permanence, dans son journal, sur l’élitisme de notre lycée Henri IV ».

      Je ne me souviens plus s’il avait cité le journal, mais on peut parier sur « Le Monde » ou « Libération ».

      • C’est exactement ça ! Mais pourquoi crachent ils en public sur ce qu’ils adorent en privé ? Ils se soumettent à l’ordre établi pour survivre. Lâche, sûrement. Mais on ne peut pas demander à tout le monde de résister quand ses enfants sont en jeu.

        • Bonjour,

          Non, ils ne se soumettent pas, ils organisent ça …

          Jusque d’ailleurs dans le sujet qui nous occupe.

          Qui l’a lancé ?

          Plenel, toujours Plenel.

          Pourquoi l’a-t-il lancé ?

          Pour attaquer, en vrac le mérite, le racisme, l’homophobie, le sexisme forcément « valeurs » cathos en honneur à Stanislas etc, etc.

          Plenel qui n’a pas assez de mots, comme la caste, pour encenser le « lycée » Averroès où, c’est bien connu, règnent l’amour de la femme, des homosexuels, des chrétiens et des juifs …

          Dans cette affaire, défendre l’excellence contre Plenel, ne doit pas nous conduire à approuver la tartuferie d’une Oudéa.

          Plenel qui appartient, comme Oudéa, à un des clans de la caste, mais c’est la caste quand même.

          Ce fameux Vème-Vième arrondissement de Paris qui dicte sa politique bien-pensante à la France.

          D’ailleurs, Plenel a, au moins, une fille, je serais curieux de savoir où il l’a scolarisée …

          Cetainement pas à Pablo Picasso de Bobigny ….

          Que ces gens-là (Plenel ou Oudéa) mettent leurs enfants dans leur réseau des meilleurs lycées, bien sûr.

          Tout le monde, sauf de rares pervers, fait de même.

          Mais qu’en « même temps », ils s’ingénient , chacun avec ses moyens propres, à détruire le système scolaire pour le plus grand nombre, voilà qui est ignoble.

        • « Mais on ne peut pas demander à tout le monde de résister quand ses enfants sont en jeu. »

          Ah oui ? Pourtant c’est ce qu’ils imposent aux Français, sacrifier leurs enfants sur l’hôtel de leur idéologie mortifère. Mais surtout pas les leurs !

          Quand on fait le contraire de ce que l’on professe on n’est pas crédible.

          Que ces gens admettent alors les « véritables » problèmes (en tentant honnêtement d’y remédier) et leurs choix seront alors valides et compréhensibles.

          • Elle semble admettre, au moins en paroles, un véritable problème. C’est déjà ça. Insuffisant, certainement. Voyons la suite. Elle collabore avec Macron, elle va à la soupe. Si elle en retire du bon à la fin, ou du moins mauvais, ce sera déjà ça … il faut tenir, encore et encore …

          • Le tout n’est pas d’admettre un problème c’est de le regarder en face et l’on sait qu’avec leur politique c’est quasi impossible.

            Cela reviendrait à rejeter complètement leur idéologie mortifère et changer de cap à 360 degrés concernant leur politique de déni. Avec des conflits (mot faible) évidents à gérer… Notamment, considérer que l’on ne peut accepter dans l’école de la République, entre autres, des gens qui menacent de décapiter un professeur.

  16. Oudéa-Castéra, ministre: enfants scolarisés à Stanislas. N’Dyae, ministre: enfants scolarisés à l’Ecole alsacienne. Gabriel Attal, premier ministre: scolarité à l’Ecole alsasienne. Emilie Dupont, aide-oignante: deux enfants scolarisés au Collège Karl Marx à Trappes (93). Cherchez l’erreur.

  17. J’ai l’impression que vous êtes injuste.
    Elle trouve et constate que le public est devenu nul : c’est bien qu’elle fasse ce constat. Elle trouve que Stanislas c’est bien : c’est bien qu’elle fasse ce constat.
    D’ailleurs, Stanislas c’est bien, et le public est effondré le plus souvent. Elle a donc raison au fond.
    Au moins cela devrait vouloir dire qu’elle n’essayera pas de casser les méthodes Stanislas et qu’elle devrait s’efforcer d’y faire ressembler le public, au contraire de tous ses prédécesseurs.
    Ça issu c’est bien. Attendons de voir. Elle n’a pas le privé honteux comme Pap.

    • Bonjour,

      D’accord, Alice.

      Mais qui l’a effondré et qui continue à l’effondrer ?

      Cette caste, de Droite et particulièrement de Gauche, qui continue à se bétonner un système parallèle.

      Il y a 50 ans, les parents pouvaient mettre leurs enfants dans le Public, les yeux fermés.

      Bien sûr, il y avait des nuances : on savait, pour rester à Paris, que Charlemagne ou Jean-Baptiste Say, ce n’était pas l’hyper-exigence de Louis-le-Grand ou Henri IV.

      Les parents ne faisaient, d’ailleurs, pas une fixette, comme maintenant, sur ces deux derniers, mais globalement, ils avaient, oui, confiance dans tous ces lycées.

      Ils ne craignaient pas qu’on aille bassiner leurs enfants avec le permis de conduire, l’antiracisme, la théorie du genre ou le tri des déchets.

      Même les élèves qui avaient eu des difficultés à la Communale et qui n’avaient pas accès au lycée, mais à ce qu’on appelait le CEG, pouvaient, par la suite, faire d’excellentes études, j’en ai un exemple très proche.

      Je ne pardonnerai jamais à ces gens-là d’avoir tué notre système scolaire.

      • Merci Antiislam.
        Je ne leur pardonne pas non plus. Il y a de manière générale un mépris de l’effort dans toutes ces politiques, et singulièrement avec Macron, qui me révulse profondément, comme vous. C’est Depuus Haby qu’il faut reconstruire. Et virer n’ombrez de nuisibles de l’administration centrale de l’Education nationale.
        Autre sujet : Hollande a réussi à casser gravement la natalité. Il n’y a même plus de ministre de la famille. Ça encourage à creuser pour aller plus vite au suicide démographique des autochtones. Un vrai signal, ça aussi …

    • mais bien sûr que si qu’elle essaiera de casser Stanislas, cela fait partie de sa feuille de route. Si elle avait été honnête elle aurait refusé ce Ministère et aurait rendu public sa réponse à Macron-Attal.

      • Avez vous vu sa feuille de route ? Qui aurait été celle de n’importe quel ministre de l’éducation, sans doute.
        Pour ne pas casser ce qu’il reste de l’excellence et de l’honnêteté je fais à priori plus confiance pour y contribuer à un ministre qui dit « Stanislas c’est bien mieux que le public » plutôt que l’inverse.
        Cela dit, je crains comme vous pour Stanislas avec Macron, de manière générale.

    • J’adore ta candeur !! alliée a leur fourberie cela rétablira l’ensemble ! et beaucoup…. voir la plus part n’ont ni les moyens ni le droit de mettre leurs enfants ailleurs que a l’école publique de leur quartier ou arrondissement !

  18. Parce qu’elle veut nous faire croire que s’il n’y avait pas eu des heures non remplacées elle aurait laissé ses enfants dans le public? Son mari et elle ont largement les moyens de payer une école élitiste. Tout parent responsable ayant des moyens feraient pareil. Seulement nous, on a pas ces moyens et nos enfants se traînent à l’école de la république. J’ai deux filles. Ma fille ainée ayant eu quelques difficultés, la dernière ayant d’excellents résultats. Toutes les deux étant intelligentes mais aux centres d’intérêts différents. Pour la première j’aurais aimé l’aider mieux. Je n’en ai pas eu les moyens. Elle a fini sa scolarité avec un BTS. Il y a pire. La deuxième même dans le public elle se débrouillera bien. Mais je suis certain que même si les enfants de cette ministre sont des billes ils feront de bonnes situations. C’est là l’injustice. L’égalité c’est pouvoir donner sa chance à tous selon ses mérites et ses capacités. L’égalitarisme c’est vouloir à tout prix donner à tous ceux du peuple un enseignement médiocre. Et les gosses de riches? Même médiocres s’ils ne sont pas complètement débiles ils s’en sortiront.

    • Peut être que si le public n’avait pas abandonné le plus souvent la recherche de l’excellence individuelle elle y aurait laissé ses enfants. Elle n’a pas dit que tout était nul dans le public. Témoignage n’est pas statistique.

      • Le public a refusé la recherche de l’excellence, sous la houlette de la gauche « au nom de l’égalité », qui avait la haine des classes de niveau. Pas d’excellence sans classes de niveau. Or macron partout et notamment à l’école c’est la synthèse de la gauche et de la droite, la synthèse du pire. Elle choisit de travailler avec ce type…

        • Exactement ! Auparavant par exemple, il y avait des classes de Latin ou Grec accessibles aux bons élèves uniquement, actuellement tout le monde peut y aller même si il n’a pas les capacités intellectuelles d’abstraction pour étudier ces matières.

          Pareil pour la fac, là on a même créé des filières avec les mêmes titres mais pas du tout le même niveau. Ainsi, je connais une étudiante en Maitrise de chimie fondamentale – Master 1 pour faire « Europe » maintenant » – qui s’est retrouvée dans un Troisième cycle (Master 2) beaucoup trop facile en regard de ce qu’elle avait fait, cela ne lui a rien apporté.

          Tout niveler et pour y réussir tirer par le bas, c’est la devise (oh combien mortifère !) de la Gauche.

        • Elle choisit d’être dans un gouvernement Macron qui est détestable. Mauvais point pour elle.

          Elle a pensé juste pour ses enfants et sa référence semble être le mérite et l’effort dans une ambiance de travail et d’encouragement au dépassement de soi. Plutôt que les délires de Pap ou Najat. Bon point pour elle. Si elle limite les dégâts dans ce gouvernement ignoble et des horreurs de Macron himself, ce sera bien.

          • Elle ne peut pas limiter les dégâts, le projet mondialiste de Macron nécessite plus d’immigrés, plus de brassage de population et plus de préférence étrangère. Elle ne peut pas ne pas le savoir

          • On peut toujours faire quelque chose, au moins essayer. C’est ce que vous faites, ce que nous faisons tous …

          • @Alice,
            Toutes vos réponses tournent autour de vos enfants.
            Essayez d’ouvrir un peu le débat.
            Rien de bon ne sortira d’une ministre qui a la feuille de route macron et immigration.
            Elle pare au mieux pour ses gosses, en fonction de ses moyens qui ne sont pas ceux de madame tout le monde.

  19. Bonjour,

    Merci pour cet article qui est fondamental : il faudrait exiger des parlementaires de dire où sont scolarisés leurs enfants.

    De tous les parlementaires, à commencer par la NUPES : on aurait des surprises.

    Quand on a appris, par la bande, que Caron (NUPES) scolarise ses enfants dans le Privé, à Versailles.

    Mais les journaleux ne sont pas trop pressés de creuser le sujet.

    (Tiens d’ailleurs où les gens du « Monde », de « Libération », de « Télérama » scolarisent-ils leurs enfants ?).

    Rien que ce matiin, sur « France-Info », Guedj (NUPES) se déchaîne contre l’entre-soi du Privé.

    On lui pose la fameuse question : « Et vous, vos enfants ? ».

    Au bord de l’apoplexie, il dit que son fils passe son Bac dans le Public, mais admet que « pour différentes raisons » (sic) il a été dans le Privé.

    Combien de temps ?

    Pour quelles « raisons » ?

    Les journalistes, sans doute effrayés par leur audace, n’iront pas plus loin …

    • Oui Antiislam, et dans le cas contraire obliger et même imposer le quartier aussi pour leurs enfants, rien ne vaut pour être dans la réalité que l’expérience in vivo !

      Je sais c’est dur, mais ils exigent des Français bien pire…

      Je suis certaine qu’il y aurait moins de candidats à se bousculer au portillon pour accéder aux avantages politiques. Pou voter, on serait bien embêtés… plus personne !

  20. Les riches font aussi leurs emplettes chez Fauchon pour des histoires de proximité et achètent leurs montres et bijoux chez Boucheron pour la même raison. Ils adoptent ainsi le circuit court par civisme et font du covoiturage puisque ils embarquent leurs chauffeurs. Elle ne se foutrait pas de la gueule du monde, et ne nous prendrait-elle pas pour des andouilles, cette ministre de mes deux?

    • Et les pauvres se donnent du mal pour avoir les moyens d’habiter près de Fauchon.
      Rien que de très normal. Ce qu’il faut est que l’ascenseur social fonctionne, sur des critères appuyés sur le mérite et l’effort … que l’école publique a laissé tomber en général.

      • @Alice. Je suis bien mieux dans mon patelin que dans ces quartiers huppés de la capitale devenue un déchèterie à ciel ouvert. Je me fiche de Fauchon comme de Stanislas. Ce que je veux c’est que dans mon patelin nos enfants aussi puissent avoir un enseignement de qualité et que nous soyons soignés convenablement si c’est pas trop demander à nos zélites déphasées.

        • Hello,
          Témoignage n’est pas statistique (pourtant je vous comprends très bien !). Toutefois il est important d’avoir des références communes, correspondant à la majorité et non à la dictature exacerbée des minorités. Stanislas et Fauchon en font partie, et c’est bien qu’ils existent. Ce sont des références. Et nous avons, collectivement, besoin de références communes.

      • Vous devriez commenter chez Gala ou Voici, ou Point de Vue et Images du monde… des privilégiés . Le mérite et l’effort dans des établissements où règnent la violence, le rackett, la drogue, grâce à des populations que je ne nommerai pas et dont personne n’ignore l’origine. Quant à votre ascenseur social, il y a longtemps qu’il est bloqué entre deux étages. J’ai deux petits-enfants, une fille et un garçon. Ils vont dans une école libre. Le petit ne voulait plus aller à l’école car ils se faisait tabasser par la racaille. La petite idem. Impossible d’apprendre dans de telles conditions. Elle est belle la France, le dépotoir mondialiste et universel.

        • Nous sommes bien d’accord … il faut radicalement changer l’enseignement public pour que le mérite et l’effort redevienne les critères de sélection. En gros il faut que les établissements publics .. soient ou redeviennent comme Stanislas.
          Cela fait 7 ans que Macron continue à l’inverse à détruire l’école … arrivera t elle à faire quelque chose dans l’autre sens ? Ce serait bien. Bonne chance à elle. Elle pense dans le bon sens, c’est déjà bien !

          • Stanislas ou Fauchon, sont des références pour vous les Parisiens.
            En province, on s’en tape de vos références nombrilistes.

        • Oui Argo, j’ai connu un lycée où sur 10 classes de seconde seules deux seulement étaient acceptables et l’on pouvait y travailler. Dans les autres, juste un ou deux bons élèves qui ne pouvaient pas travailler vu l’ambiance.

          Et un des élèves maghrébin, très connu par la Police et les services sociaux, venait armé en classe. Il a tiré à la sortie des cours sur un autre élève bon en classe et l’a tué à bout portant.

          C’était en 1995 ou 96 (je ne me souviens plus la date exacte).

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