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  1. J’ai habité Limoges pour raisons scolaires. On pouvait se balader sans craintes le soir. Mais c’était dans les années 70. Depuis, nos hôtes, selon Bergoglio, pleins d’amour pour nous toujours selon Bergoglio, nous remercient de notre accueil en étripant, détroussant, violant les autochtones un peu partout. Limoges n’est qu’un point de détail dans le naufrage de notre pays. C’est le même constat partout.

    • Bonjour,

      Comme tout bon corrézien :=)

      Mon père, aussi, a fait toutes ses études à Limoges, au lycée Gay-Lussac, dans les années 30.

      Amitiés corréziennes.

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