Alors que la fange gauchiste mouille volontiers sa culotte de chagrin dès que l’un des siens passe de vie à trépas, la seule chose que ce marécage infâme a retenu d’un esprit aussi élevé que Patrick Buisson c’est qu’il était d’EXTRÊME DROITE !
Voici quelques-uns des titres qu’on pouvait lire dans les torchons de la presse gauchiste concernant un authentique penseur :
- « Patrick Buisson, essayiste et figure des droites extrêmes, est mort » (Le Monde immonde)
- « Mort de Patrick Buisson, figure de l’extrême droite et ancien conseiller de Sarkozy » (L’Humanitéqui pour Staline bandait !)
- « Patron de presse d’extrême droite puis conseiller de Sarkozy : Patrick Buisson, mort d’un homme d’influence » (Marianne, la tête d’âne qui a parfois des éclairs de lucidité, mais parfois seulement !)
- Etc.
De son côté, Libération (de la parole dégueulasse !) y est allée de ses petites remarques trop bêtes pour être méchantes : « Figure importante de la droite et de l’extrême droite, dont il a successivement ou simultanément assisté plusieurs figures, conseiller déçu et disgracié de Nicolas Sarkozy, ancien patron de Minute, de Valeurs actuelles et de la chaîne Histoire, Patrick Buisson est mort ce mardi à l’âge de 74 ans aux Sables-d’Olonne (Vendée). Retour sur la carrière de cette éminence grise qui, au fil des allégeances, n’a jamais changé de projet : imposer dans le débat public les idées d’extrême droite et les porter au pouvoir. »
Libération qui convoque même la bobo-libérale Nathalie Kosciusko-Morizet, disant autrefois de Buisson qu’il voulait « faire gagner Maurras ». À sa défense – et compte tenu de son degré avancé de misère intellectuelle ! –, personne n’avait pris la peine de dire à cette dinde républicaine que Charles Maurras était mort en… 1952 !
Donc, pour ces torche-cul (pardon, Rabelais, de t’associer à ces chancres de la presse apatride gauchiste !), Patrick Buisson est réduit à l’extrême droite, comprenez l’amour de la France. Et de rappeler avec gourmandise les casseroles du défunt – insignifiantes au regard du sang qui coule encore sur les mains d’un Fabius ou les appels à peine déguisés au lynchage de Juifs par Mélenchon !
C’est des coups à me laisser pousser le nez en m’écriant à propos de cette réduction stupide d’un esprit tout de même très élevé : « Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme ! / On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme… »
(Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac)
Car Patrick Buisson, pour autant qu’il s’est fourvoyé en s’acoquinant jadis avec un Nicolas Sarkozy bien lâche – ni plus ni moins que les autres soit dit en passant –, était en quelque sorte un chercheur de la droite idéale, appelant de ses vœux cette union impossible en l’état. Une droite qui a montré depuis toute sa duplicité avec l’arrivée du mutant politique Emmanuel Macron. Pour revenir à Sarkozy, Buisson aura eu le mérite de le démasquer dans La Cause du peuple, et avec lui tous les menteurs patentés de son espèce…
Patrick Buisson avait encore le sens des grandeurs déchues de la France – déchues sur ordre d’une idéologie négationniste, autrement appelée woke – et celui de sa mémoire la plus douloureuse et la plus enfouie. Ainsi, son remarquable ouvrage – tant du point de vue de la forme que du fond – La Grande Histoire des guerres de Vendée entendait rendre ce nécessaire hommage à une terre meurtrie par la tyrannie révolutionnaire muée en Terreur.
« Les peuples qui ont l’initiative du mouvement historique sont portés par des mythes puissants et le sentiment d’une destinée commune », disait-il dans un entretien accordé au Figaro en 2017. Or, point de destinée commune dans la diversité qui veut demeurer comme telle et refuse de se fondre dans un ensemble commun.
Buisson avait ainsi l’Histoire de son pays chevillée au corps, tout comme il avait le goût des belles lettres et des grands auteurs, au mépris des tabous qu’on leur inflige post-mortem. Je pense à son excellent livre Le Paris de Céline, écrivain maudit par la bien-pensance. Une bien-pensance qui ne voit pas malice à ce que La Fnac propose à la vente les bréviaires fanatiques de Youssouf al-Qaradâwî.
Évidemment, dans une société où la haine de la France est une norme presque obligatoire, commettre des essais comme OAS : Histoire de la résistance française en Algérie relevait du crime idéologique « gauchophobe » majeur !
Espérons enfin que Patrick Buisson ait vu juste en prononçant cette phrase et qu’elle soit suivie le plus rapidement possible d’effets : « Plus les individus sont affectés par les désordres de la mondialisation, plus ils éprouvent le besoin de se rattacher à ce cadre stable et pérenne qu’est la nation. »
Mais une fois les intestins gauchistes vidés de leur fiel acide et stérile, Patrick Buisson reste – et restera ! – comme un personnages d’exception, tel que l’a si bien décrit Éric Zemmour dans son hommage rendu à un ami : « Il est parti rejoindre son “Rédempteurˮ, comme il me disait dans son dernier message. C’est Lui qui profitera désormais de ses analyses politiques et historiques sur la France. Je l’envie. »
https://www.valeursactuelles.com/societe/exclu-va-eric-zemmour-patrick-buisson-un-ami-de-trente-ans
Dans tous les cas, je salue la mémoire d’un Français authentique…
Charles Demassieux
https://ripostelaique.com/patrick-buisson-lhomme-qui-avait-un-reve-lunion-des-vraies-droites.html
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Le testament de Patrick Buisson
https://youtu.be/fx0NhDvxq28
Un homme comme je les aime. Qui est Kosciusko machin chouette ? Ah oui, c’est la dinde qui s’était fait photographier à poil pour un magazine…