Ne vous y fiez surtout pas si vous voyez des ânes squelettiques malmenés par des individus à l’aspect misérable dans les paysages du Yémen.
En fait, ce pays détient un potentiel militaire capable de défier les plus grandes puissances du monde.
L’âne n’est qu’une sorte de « taqqya » (dissimulation) propre aux musulmans.
Derrière le bourricot se cachent des missiles et des drones prêts à être envoyés à des milliers de kilomètres sur Israël et sur n’importe quel navire naviguant dans les environs.
Les bourricots échappent aux satellites les plus perfectionnés des États occidentaux.
Ce sont les populations yéménites appelées « Houthis », les plus pauvres parmi les pauvres, qui s’occupent d’envoyer dans le ciel des engins aux milliers de dollars qui auraient tellement servi à alléger la misère de leur population.
Ils s’amusent donc à envoyer des missiles et des drones à gauche et à droite, sur Israël, en premier lieu, mais aussi contre d’autres cibles, y compris une frégate française et un pétrolier norvégien.
Quand on pense que le Yémen, la patrie de la reine de Saba, qui est allée rendre visite à Jérusalem à Salomon, roi d’Israël (970-931 av. J.-C), avec plein de diamants en cadeaux, est aujourd’hui la terre de yéménites dits « Houthis », qui meurent de faim mais veulent détruire Israël…
En mâchant du « kat ».
Ce qui leur fait croire qu’ils sont différents de leurs bourricots…
Messin’Issa
908 total views, 1 views today
Au Yémen, pour les ânes, la vie n’est pas drone !
« yéménites dits « Houthis », qui meurent de faim mais veulent détruire Israël… »
en réalité : « outils de l Iran »
pauvre peuple de Darius tombé de Mazda en Islam
Bonjour,
Oui, c’est vrai, mais j’ai bon espoir qu’ils retrouvent la lumière, même sans Mazda :=)
Et se débarrassent de l’islam, à jamais …
Et l’ethnie a considérablement évolué.
Il y a majoritairement des métis à base d’Africains, les blancs de peau ont quasiment disparu.
Les musulmans ont importé des milliers de femmes noires pour remplir les harems.
De brillantes civilisations disparues aujourd’hui. Le prophète n’y serait-il pas pour quelque chose? Sémiramis, Cléopâtre, des femmes qui ne pourraient pas régner de nos jours. Elles seraient reléguées devant leurs fourneaux.