J’ai honte de mes confrères médecins qui se taisent devant la multitude de vaccins à ARNm qu’ils préparent

J’ai honte de mes confrères médecins. Sont-ils des analphanbètes fonctionnels ou des corrompus? Tant d’articles scientifiques ont décrit l’inefficacité de ces vaxins et leurs dramatiques effets secondaires….
Récemment même plusieurs livres bien documentés ont été publiés à ce sujet.
Ci-dessous mon résumé du livre publié  à ce sujet par Doctors for COVID Ethics: mRNA Vaccine Toxicity, livre qui fait référence à près de 400 études et observations de scientifiques.

En médecine, “Tout ce qui vaut la peine d’être fait vaut la peine d’être bien fait.” C’est  malheureusement pas du tout ce qu’ont fait tant de pseudo-scientifiques qui ne sont que des apprentis-sorciers et des élus tel celui de Suisse, l’arriviste Berset et sa clique.
PD. Dr. med. Dominique Schwander

Après avoir lu l’excellent avant-propos ci-après écrit par Mary. S. Holland tout confrère médecin et les personnes préoccupées par leur futur devraient être motivés à lire et relire ce petit livre écrit par de vrais scientifiques honnêtes et clairvoyants tels les professeurs Sucharit Bhakdi et Arne Burkhardt et édité par l’association Doctors for COVID Ethics.

Ce livre peut être téléchargé gratuitement ici. Une version papier peut être achetée ici

1. Avant-propos de Mary S. Holland, présidente et avocate générale (en congé), Children’s Health Defense

Toute personne vivant aujourd’hui peut être pardonnée de souffrir de stress post- traumatique (PTSD) à propos de tout ce qui concerne le COVID: les confinements, les discours alarmistes, le masquage, les tests, la censure, la suppression de traitements efficaces, les injections expérimentales forcées à base de gènes, les blessures, les lésions et les décès omniprésents. Après trois années d’horreur, il est humain de vouloir tourner la page et d’oublier. Pourtant, ce livre montre clairement que nous le ferions à nos risques et périls. Cette guerre non déclarée contre l’humanité n’est pas terminée et nous devons nous armer de connaissances.

L’objectif de ce livre est d’expliquer ce que la toxicité du vaxin à ARNm COVID-19 signifie pour les futurs vaxins à ARNm. Y sont décrits trois mécanismes potentiels susceptibles d’expliquer ce qui s’est passé : (1) la toxicité des nanoparticules lipidiques ; (2) la toxicité des protéines spikes induites par le vaxin; et (3) la réponse du système immunitaire à ces protéines. Les auteurs soulignent que la réponse du système dit de spikes est le facteur toxique le plus important parce que cela correspond aux résultats des autopsies concernant l’inflammation et les dommages causés au système immunitaire. Cette réponse immunitaire est en accord avec les mécanismes théoriques de la nocivité.

La conclusion du livre est sombre : “Chaque futur vaxin à ARNm incitera nos cellules à produire son propre antigène spécifique, lié au microbe particulier qu’il cible. Nous devons donc nous attendre à ce que chacun de ces vaxins provoque des dommages immunologiques d’une ampleur similaire à ceux que nous avons observés avec les vaxins dirigés contre le COVID-19.” Sachant qu’une myriade de vaxins ARNm sont en cours d’élaboration ou déjà sur le marché – contre la grippe, le VRS, le VIH, le paludisme, le cancer, les allergies, les maladies cardiaques, pour n’en citer que quelques-uns – cette connaissance est aussi effrayante qu’essentielle.

Ce livre met en garde : “Avant tout, nous devons accepter le fait que nous sommes dans le collimateur de nos gouvernements. Au lieu de nous fier à leurs conseils perfides et malveillants, nous devons donc veiller sur nous- mêmes et sur nos proches, faire nos propres recherches et chercher des conseils de santé honnêtes partout où ils se trouvent, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur des lieux établis de la science et de la médecine. »

Vous tenez entre vos mains un ouvrage de référence indispensable. Il est raisonnablement court et très lisible – 156 pages de texte et 20 pages contenant 377 citations – et constitue une lecture obligatoire en matière de virologie, d’immunologie et de toxicologie. Il contient d’excellentes citations, des illustrations des mécanismes viraux et immunitaires, ainsi que des photographies de tissus colorés de personnes décédées à la suite d’une injection de vaxin COVID-19.

Le chapitre consacré à l’épidémiologie des effets indésirables du vaxin à ARNm COVID-19 est très instructif, car il met en lumière les vastes dommages subis à ce jour. On y apprend que 13 milliards de doses de vaxin COVID ont été administrées dans le monde, soit près de deux doses pour chaque habitant de la planète. Aux États-Unis, 650 millions de doses ont été administrées, entraînant des millions d’effets indésirables. Les types de lésions sont remarquables par leur ampleur: myocardite, coagulation sanguine dans tout le corps, dommages neurologiques, immunologiques et reproductifs. Pourtant, le CDC du gouvernement américain a l’audace de qualifier ces vaxins de “sûrs” et de les recommander à toutes les personnes âgées de 6 mois et plus, au moins une fois par an !

Le dernier chapitre, rédigé par David Rasnick, raconte comment le SIDA et le VIH sont devenus le “schéma directeur de la perversion de la science médicale” telle que nous la vivons encore aujourd’hui. Dans les années 1980, le Dr Tony Fauci a lancé la “science  par voie de communiqué de presse”, proclamant et imposant un discours sur le SIDA qui n’a jamais été prouvé. Rasnick explique de manière convaincante que l’orthodoxie du SIDA est fausse, n’ayant jamais été prouvée malgré 40 ans et des milliards de dollars investis. Il écrit : “Aussi incroyable que cela puisse paraître, il n’y a pas eu une seule étude scientifique conçue ou menée pour déterminer si le SIDA – ou même le VIH – est sexuellement transmissible. . . Depuis la Seconde Guerre mondiale, mais surtout au cours des dernières décennies, l’étouffement des débats et la persécution des dissidents se sont imposés dans pratiquement tous les grands domaines scientifiques aux États-Unis. Ce phénomène est particulièrement virulent dans ce que l’on appelle les sciences biomédicales. . .

La coalition entre le gouvernement, les grandes entreprises et les universités, contre laquelle le président Eisenhower avait mis en garde en 1961, domine aujourd’hui le monde. . . L’escroquerie du COVID-19 est l’escroquerie du SIDA en beaucoup plus grand. . . Nous sommes au milieu d’une prise de pouvoir totalitaire mondial et les choses vont s’aggraver dans les mois à venir. »

La conclusion générale du livre fait écho à celle de Rasnick : « Il n’est pas possible d’interpréter les actions des autorités comme des “erreurs honnêtes”. Trop de choses se sont produites qui indiquent sans équivoque que les vaxins COVID-19 à base de gènes sont le fruit d’un agenda sinistre. L’approbation précipitée sans nécessité, les menaces directes et la coercition, la censure systématique de la science honnête et la suppression de la vérité sur les nombreuses victimes des vaxins, tuées ou gravement blessées, ont duré bien trop longtemps pour que l’on puisse douter de l’intention et de l’objectif. Nos gouvernements et les organes administratifs nationaux et internationaux mènent une guerre non déclarée contre chacun d’entre nous. Cette guerre dure depuis des décennies et nous devons nous attendre à ce qu’elle se poursuive et s’intensifie.

Si ces informations fondées sont à la fois alarmantes et déprimantes, la connaissance, elle, est un pouvoir. Si nous acceptons la réalité que les dommages passés et futurs des vaxins à ARNm sont à la fois intentionnels et inévitables, nous pouvons nous protéger et protéger nos proches.

Etre prévenu, c’est être préarmé.

Lisez ce livre et gardez-le à portée de main comme référence jusqu’à ce que nous ayons tourné la page sur ce chapitre sombre de l’histoire mondiale.

2. En guise de résumé de ce livre, voici quelques faits scientifiques actuels, observations, remarques et conclusions contenus dans ce livre.

L’objectif des auteurs de ce livre est d’examiner et de comprendre les dommages causés par les vaxins à ARNm COVID-19, et de tirer de cette analyse les leçons qui s’imposent concernant l’utilisation des vaxins à ARNm contre les maladies infectieuses en général. Les auteurs soutiennent, preuves à l’appui, que, malgré la conspiration du silence et la censure des médias et d’une grande partie de l’establishment scientifique, les dommages causés par les vaxins à ARNm COVID-19 sont aujourd’hui incontestablement clairs.

L’une des leçons les plus frappantes de ces trois dernières années est le degré de pourrissement et de subversion de la médecine sous tous ses aspects: science médicale, médecine clinique et santé publique.

A ce stade, pour le médecin retraité que je suis:

  • –  les programmes américains et autres de récompenses pour encourager les médecins et les hôpitaux à vaxiner tel le Vaccine Provider Incentive Program sont de la corruption

 

  • –  tous les modèles qui prédisent un réchauffement climatique catastrophique échouent au test clé de la méthode scientifique: ils surestiment largement le réchauffement par rapport aux données réelles. La méthode scientifique prouve qu’il n’y a aucun risque que les combustibles fossiles et le dioxyde de carbone provoquent un réchauffement catastrophique et des conditions météorologiques extrêmes. Tout comme l’escroquerie Covid et ses merveilleux vaxins géniques, l’’hypothèse du réchauffement climatique repose sur une méthode d’analyse non scientifique, qui repose sur le consensus, l’examen par les pairs, l’opinion du gouvernement, des modèles qui ne fonctionnent pas, la sélection de données et l’omission de nombreuses données contradictoires,

 

  • Avec l’aide de très bonnes figures originales les chapitres 2, 3 rappellent quelques éléments complexes de virologie et d’immunologie, avant de traiter des mécanismes immunologiques des effets nocifs des vaxins ARNm. Il a y aussi de très bonnes pages rappelant les mécanismes des divers vaccins classiques et des récents vaxins géniques. L’annexe 2.9 contient quelques preuves de fraude dans les essais cliniques de ces vaxins. Ces chapitres sont difficiles à lire même si le lecteur est un médecin ayant mis à jour ses connaissances en immunologie, cela dès le début de l’escroquerie Covid-19, en parcourant par exemple les ouvrages suivants:

A. K. Abbas: Les bases de l’immunologie fondamentale et clinique. Elsevier Masson; 6e édition 2020
D. M. Knipe and P. M. Howley: Fields Virology. Wolters Kluwer, En 4 volumes 2013-2020

P. J. Delves et al.: Roitt’s Essential Immunology. Wiley Blackwell, 13e édition 2017.

L’affirmation selon laquelle les nanoparticules d’ARNm/lipides de ces vaxins restent au site d’injection est aujourd’hui largement reconnue comme une contre-vérité flagrante. Ces vaxins se propagent rapidement du site d’injection aux ganglions lymphatiques régionaux et à la circulation sanguine. De plus, contrairement à la plupart des virus, les nanoparticules de vaccin à ARNm peuvent être absorbées par n’importe quel type de cellule, y compris les cellules endothéliales qui forment la couche cellulaire la plus interne des vaisseaux sanguins. L’expression de la protéine spike dans l’organisme est donc généralisée et durable.

Les maladies auto-immunes induites par les vaxins COVID-19 sont nombreuses et représentent une nocivité flagrante: diabète de type 1, thyroïdite, syndrome de Guillain Barré, hépatite, lupus érythémateux disséminé (LED), purpura thrombocytopénique (destruction des plaquettes sanguines par les anticorps) et bien d’autres encore.

Les manifestations d’immunosuppression après les vaxins COVID-19 représentent aussi une flagrante nocivité; outre le zona, des infections bactériennes, touchant souvent le tube digestif, ont été signalées après la vaxination. Plusieurs pathologues expérimentés ont fait part de leurs observations sur l‘augmentation du nombre de cas et de la malignité des cancers depuis le début de la vaxination COVID-19. Beaucoup de ces cas semblent concerner la réactivation, parfois après des décennies, de cancers qui étaient considérés comme guéris.

Au chapitre 4, les auteurs prouvent par la science de la pathologie le dommage immunologique dû aux vaxins ARNm. Ils se fondent sur les preuves de la pathologie des dommages immunologiques causés par les vaxins à ARNm. En faisant leurs autopsies, ces pathologues , en particulier feu le Professeur Arne Burkhardt, recourent aux techniques pointues clés utilisées en histopathologie et en Immunohistochimie. L’histopathologie est l’examen microscopique d’échantillons de tissus humains. L’étude microscopique peut être combinée à des techniques biochimiques et immunologiques pour détecter la présence et la distribution de marqueurs moléculaires spécifiques de la maladie.

L’immunohistochimie détecte sélectivement des molécules spécifiques d’intérêt dans des échantillons de tissus à l’aide d’anticorps spécifiques. Le livre contient quelques photos en couleurs de tels examens microscopiques.

Les vaxins ARNm sont distribués dans tout le corps et affectent principalement les vaisseaux sanguins. De l’avis des auteurs, les conséquences pour l’être humain de tout vaxin ARNm seront à peu près les mêmes que celles des vaxins COVID-19. Preuve est faite que la vascularite induite par les vaxins à ARNm affecte tous les types de vaisseaux sanguins, petits et grands; il en va de même pour les caillots sanguins induits par ces vaxins. L’inflammation de cette vascularite affecte la couche interne des vaisseaux sanguins (cellules endothéliales), laquelle est alors particulièrement susceptible de provoquer des caillots, ainsi que la couche intermédiaire musculaire (la média) des grandes artères, ce qui peut conduire à une dissection puis à une rupture. Dans d’autres cas, l’inflammation peut se concentrer sur la couche la plus externe d’un vaisseau sanguin (l’adventice). Ces trois couches vasculaires peuvent être touchées à différents endroits chez un même patient.

Même des dissections aortiques ont été signalées en relation avec diverses formes de vascularite. La dissection et la rupture aortiques sont normalement assez rares, mais le professeur Burkhardt a trouvé trois cas de ce type sur un total de 29 patients décédés après avoir reçu un vaxin ARNm; ces trois décès sont survenus entre 7 et 25 jours après la dernière injection.

Si la vascularite due aux vaxins et la coagulation peuvent causer des dommages à tous les organes, il existe également des preuves de dommages plus directs aux cellules spécifiques de nos organes:
– inflammation cardiaque (myocardite…)

  • –  inflammation pulmonaire (pneumonite…). Les poumons sont particulièrement touchés non seulement dans les cas graves de COVID-19, mais aussi par les effets indésirables de la vaxination.
  • –  inflammation du cerveau (encéphalite…), tant encéphalite due à une réaction immunitaire que encéphalite auto-immune…
  • –  inflammation du foie (hépatite…)
  • –  maladie rénale
  • –  atteinte de la rate
  • –  manifestation cutanée
  • –  etc,Au chapitre 5 la pharmacocinétique et la toxicité lipidique des vaxins ARNm sont traitées. Afin de mieux comprendre la toxicité des vaxins. Il est important d’examiner à quel endroit de l’organisme les particules vaxinales s’accumulent le plus et pendant combien de temps elles y restent.

    Des études animales ont montré, sans surprise, que la myocardite causée par les vaxins ARNm est plus grave après une injection intraveineuse qu’après une injection intra-musculaire de ces vaxins. Dans une étude classique, l’injection partielle ou complète dans la circulation sanguine s’est produite dans 1,5 à 2 % de plus de 3 000 injections intramusculaire de testostérone. Ce taux pourrait être similaire avec les vaccins COVID-19, voire bien plus élevé, si l’on considère que ces vaxins ont le plus souvent été administrés par du personnel peu formé. Dans de tels cas, une grande partie, voire la totalité du vaxin injecté, s’est distribuée de manière systémique.

On peut supposer qu’il en est de même chez l’être humain et pour les dommages causés à d’autres organes. Il est tout à fait possible que bon nombre des effets indésirables les plus graves et les plus aigus des vaxins soient liés à ce type d’injection intraveineuse accidentelle faite par des médecins et des auxiliaires mal formés. Personnellement, sauf une fois à une TV chinoise, je n’ai jamais vu à la TV en Europe et en Amérique centrale que les médecins et les soignants injectent ces vaxins en s’assurant qu’ils n’injectent pas dans un vaisseau mais bien dans le muscle !

Les auteurs citent de nombreuses études au sujet de la toxicité des nanoparticules lipidiques contenues dans ces vaxins, dont des réactions allergiques causées par les lipides conjugués au PEG. Plusieurs études expérimentales ont montré que des lipides cationiques similaires à ceux utilisés dans les vaxins Pfizer-BioNTech-Fosun Pharmaceutical et Moderna COVID-19 induisent de fortes réactions inflammatoires.

Les lésions de l’ADN sont cumulatives. Les lésions de l’ADN sont par nature irréversibles, même si certaines lésions de l’ADN sont réparées avec succès par les systèmes de réparation de l’ADN de la cellule.

Sous 5.4 en annexe, les auteurs apportent des preuves d’une qualité de fabrication inférieure aux normes pour les vaxins à ARNm COVID-19 . Lorsqu’on étudie les interactions d’un médicament, d’un vaccin ou d’un vaxin avec le corps humain, on suppose implicitement que la qualité du produit est très constante, de sorte que les données obtenues avec différents lots de production sont effectivement comparables. Cependant, les faits montrent que cette hypothèse ne tient pas dans le cas des vaxins à ARNm COVID-19.

En outre plusieurs auteurs ont détecté des contaminants dans les vaxins ARNm; en particulier des particules métalliques, des impuretés lipidiques et de l’ADN plasmidique. Une fois de plus, on a fait les choses à moitié, dans le but de faire des économies, de gagner du temps et de l’argent, ce qui a entraîné la contamination d’au moins certains lots de vaxins, entre autres par des quantités étonnamment élevées d’ADN plasmidique.

Tous les contaminants connus ayant été découverts par des chercheurs sans affiliation avec les fabricants ou les autorités de réglementation ! la conclusion est inévitable: les fabricants et les régulateurs ont fait preuve de négligence grave. Cette conclusion est renforcée par l’insouciance avec laquelle l’EMA, la FDA et d’autres régulateurs ont ignoré les préoccupations concernant le manque d’informations sur la qualité des nouveaux lipides utilisés par les deux fabricants et ont procédé à donner leur approbation. Outre la détection de contaminations, l’importante variation du nombre d’effets indésirables signalés d’un lot de production à l’autre constitue un deuxième élément de preuve de l’incohérence des normes de fabrication des vaxins à ARNm COVID-19 et des contrôles de nos irresponsables et négligentes autorités.

Le chapitre 6 traite de la génotoxicité des vaxins ARNm. La génotoxicité désigne les dommages toxiques causés à nos gènes, c’est-à-dire à notre ADN. Elle peut affecter les cellules germinales, qui comprennent les ovocytes dans les ovaires et les cellules productrices du sperme dans les testicules, ou les cellules somatiques, qui comprennent toutes les cellules du corps qui ne font pas partie de la lignée germinale.

Les vaccins ARNm peuvent, suite à leur absorption cellulaire, donner lieu à une génotoxicité selon trois voies distinctes :
1. les lipides cationiques contenus dans les nanoparticules lipidiques peuvent induire la formation d’espèces réactives de l’oxygène (ROS), qui peuvent réagir avec l’ADN

2. l’ARNm lui-même peut subir une transcription inverse en ADN, qui s’insère ensuite dans l’ADN chromosomique. Il peut en résulter une perturbation ou un dérèglement des gènes cellulaires
3. L’ADN présent sous forme de contamination dans les vaccins ARNm peut également s’insérer dans notre ADN chromosomique

Si les deux premiers mécanismes sont inhérents à la technologie et, en l’état actuel des connaissances, doivent être considérés comme inévitables, le troisième devrait en principe pouvoir être évité. Cependant, des données récentes montrent que des niveaux élevés d’ADN contaminant sont présents au moins dans certains lots de production des vaccins ARNm de Pfizer- BioNTech-Fosun Pharmaceutical et de Moderna.

Les auteurs soulignent que toute forme de génotoxicité, quelle que soit la dose, implique un certain risque de cancer et de leucémie. Ainsi, la perspective de “piqûres de rappel” COVID fréquemment répétées, ainsi que l’extension de la technologie ARNm à des vaxins contre d’autres agents pathogènes ou maladies non-infectieuses, présentent un risque important pour la santé publique.

Les risques de génotoxicité de l’ARN recombinant ont été rejetés sur la base de données scientifiques dépassées. Dans le rapport d’évaluation de l’EMA sur le vaxin de Pfizer, on trouve la déclaration succincte suivante: aucune étude de génotoxicité n’a été fournie; ceci est acceptable parce que les composants de la formulation du vaxin sont des lipides et de l’ARN qui ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique.

Bien que les résultats rapportés jusqu’à présent avec les vaccins à ARNm COVID-19 ne prouvent pas définitivement la transcription inverse de l’ARNm du vaccin et son insertion génomique in vivo, il existe suffisamment de preuves circonstancielles pour montrer que ce risque ne peut pas être écarté d’emblée. Cela vaut également pour tous les futurs vaccins ARNm dirigés contre d’autres microbes pathogène

Ce qui est devenu connu concernant la génotoxicité des vaxins à ARNm vaut également pour tous les futurs vaxins à ARNm dirigés contre d’autres microbes pathogènes.

Le chapitre 7 concernant l’épidémiologie des effets indésirables dus aux vaxins à ARNm COVID-19 est une abomination génocidaire. Depuis le lancement de ce programme de vaxination génique, les particuliers et les professionnels de la santé ont signalé des millions d’effets secondaires indésirables à la suite de cette thérapie génique. Les chercheurs qui ont étudié la portée des effets indésirables après la vaxination par l’ARNm COVID-19 ont constaté une augmentation de l’incidence des effets indésirables en général, des effets indésirables graves, notamment des troubles de la coagulation, des embolies pulmonaires, des infarctus aigus du myocarde, la coagulation intravasculaire perturbée et des thromboses, des thrombocytopénies immunitaires chez les personnes âgées de 65 ans et plus, des réactions allergiques, des arythmies cardiaques, de l’hypotension, de l’hypertension, des réactions gastro-intestinales, des réactions oculaires, des réactions des organes sexuels, des myocardites, des lymphadénopathies, des infections par le virus herpès zoster, etc.

Dans de nombreuses analyses de données de surveillance passive, de surveillance active et d’études cohortes du système de soins de santé, beaucoup d’événements cardiaques, dus en particulier à des problèmes cardiaques inflammatoires, ont été fortement associés à la vaxination par l’ARNm COVID-19. La myocardite est une maladie grave qui se traduit par des lésions du myocarde (paroi du muscle cardiaque). Les personnes les plus exposées sont les jeunes hommes, mais les femmes peuvent également contracter une myocardite. Le taux de survie après myocardite est de 80% après un an et de 50% après cinq ans.

Les événements thrombotiques sont également fort fréquents après cette vaxination. Les vaxins COVID-19 à ARNm sont liés à des thromboses veineuses cérébrales, à des thrombo-embolies artérielles, à des accidents vasculaires cérébraux ischémiques, à des coronaropathies, à des troubles de la coagulation et à des maladies cérébro-vasculaires. Bien que les événements cérébro-vasculaires aient représenté moins de 0,1 % des rapports VAERS concernant les vaxins COVID-19, il y a eu plus de 60 fois plus d’événements cérébro-vasculaires par dose rapportés pour les vaxins COVID-19 que pour le vaccin antigrippal.

Des événements neurologiques ont été associés aux vaxins ARNm: des céphalées, des troubles démyélinisants, notamment la myélite transverse, des scléroses en plaques, des neuromyélites optiques, la neuropathie des petites fibres, des syndromes de Parsonage-Turner, des syndrome de Guillain Barré, des paralysies de Bell, des paralysies du nerf abducens, des encéphalomyélites aiguës disséminées, des encéphalopathie, des troubles olfactifs et des phantasmes, des paralysies du nerf abducens, des acouphènes et des cochléopathies, des convulsions, des épilepsies, des délires, des troubles cérébro-vasculaires y compris des thromboses du sinus veineux cérébral, des hémorragies intra-cérébrales, des accidents vasculaires cérébraux ischémiques et des accidents ischémiques transitoires.

Des événements immunologiques ont été associés à ces vaxins. Ainsi des analyses rétrospectives de cohortes ont révélé que les vaxins à ARNm peuvent activer l’infection par l’herpès zoster et provoquer un zona.

Les événements liés à la reproduction sont tout un chapitre vu l’absence de données sur la grossesse dans les essais cliniques conduits ! Les essais cliniques de phase III des vaxins à ARNm COVID-19 qui ont conduit à leur autorisation d’utilisation d’urgence ont tout simplement exclu les femmes enceintes et les femmes qui allaitent !

La notice du vaxin Comirnaty de Pfizer, approuvé par la FDA, l’EMA, Swissmedic, etc, indique clairement que les donnés disponibles sur ce vaxin administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer sur les risques associés au vaxin pendant la grossesse. Une information équivalente figure dans la notice du vaxin Moderna Spikevax, approuvé par la FDA et fabriqué en particulier en Suisse par Lonza: les données disponibles sur ce vaxin administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer sur les risques associés au vaxin pendant la grossesse.

Les CDC et l’UE recommandent néanmoins la vaxination COVID-19 pour les personnes enceintes, qui allaitent, qui essaient d’être enceintes ou qui pourraient l’être dans le futur ! Cependant, les recherches menées après la mise sur le marché indiquent des effets indésirables significatifs sur la grossesse, le fœtus et la fertilité des femmes et des hommes. Par rapport aux vaccins antigrippaux, les vaxins COVID-19 sont associés à des augmentations significatives des effets indésirables sur la grossesse et la menstruation, à savoir les anomalies menstruelles et les fausses couches, L’épidémiologie des effets secondaires indésirables du vaxin COVID-19 à ARNm est abominable: anomalies chromosomiques fœtales, malformations fœtales, hygromes kystiques fœtaux, troubles cardiaques fœtaux, arrêt cardiaque fœtal, arythmies fœtales, mauvaise perfusion vasculaire fœtale, anomalies de croissance fœtale, thrombose placentaire, mort fœtale, insuffisance de liquide amniotique, pré-éclampsie, accouchement prématuré, rupture prématurée des membranes et mort prématurée du bébé.

En conclusion, bien que les études épidémiologiques à grande échelle, exemptes de conflits d’intérêts financiers et comparant directement les résultats sanitaires entre les groupes vaxinés et non-vaxinés, soient rares, les données disponibles commencent à dresser un tableau très inquiétant de la morbidité, de l’invalidité et de la mort après la vaxination par l’ARNm COVID-19. Et il ne s’agit là que des effets à court terme, observés dans les jours à six semaines suivant l’injection. Il faut des mois, des années, voire des décennies pour que les dommages causés par ces agents biologiques toxiques se manifestent par un dysfonctionnement chronique des organes cardiaques, des vaisseaux sanguins, de la coagulation, du système neurologique, du système immunitaire, du système reproductif et d’autres organes. Malgré des dizaines d’articles évalués par des pairs démontrant déjà les effets néfastes des vaxins à ARNm COVID-19, le CDC et les autorités sanitaires de l’UE persistent à affirmer que ces injections sont sans danger et à recommander l’utilisation de ces redoutables vaxins à ARNm COVID-19 !

Au chapitre 8, David Rasnick nous rappelle le triste chapitre de d’histoire pseudo-scientifique du SIDA et de cette guerre contre les peuples qui dure depuis des décennies. La peur du SIDA a permis au Dr. Anthony Fauci, nouvellement nommé directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), de perfectionner la “science par voie de communiqué de presse”. L’usurpation de l’examen et du débat scientifiques par Fauci a rapidement conduit à l’établissement d’un scénario frauduleux sur le SIDA, qui reste un dogme à ce jour, soit que:

– le SIDA est contagieux

– le SIDA est sexuellement transmissible

– le SIDA est causé par le VIH

– le SiDA est originaire d’Afrique

– le SIDA est inévitablement mortel

Aucune de des affirmations ci-dessus de ce dogme de la science par voie de communiqué de presse n’est vraie !

L’escroquerie mondialisée du COVID-19 c’est l’escroquerie du SIDA en beaucoup beaucoup plus grand. Tous les détracteurs de cette soit-disante pandémie mortifère et de sa vaxination, quelle que soit leur importance et leur formation, ont été et sont encore réduits au silence. Des familles et des amitiés se brisent pour avoir remis en question le dogme gouvernemental sur la soi-disant pandémie mortifère COVID-19 et sur sa merveilleuse vaxination génique génocidaire. Pour toute une série de raisons et à travers un large éventail de pressions sur les modes de vie, les moyens de subsistance, les professions et les carrières, des millions de personnes ont souffert et même perdu leur emploi. Comme du temps des nazis elles ont été considérées des objets.

Nous sommes au cœur d’une prise de pouvoir totalitaire mondial et les choses vont s’aggraver dans les mois à venir.

Le chapitre 9 conclut en rappelant que l’objectif principal de ce livre condensé en 156 pages était d’aider à répondre à la question suivante:

Que nous apprend l’expérience du vaxin à ARNm COVID-19 sur la sécurité des futurs vaxins à ARNm ?

Au moins trois mécanismes pathogéniques potentiels clé peuvent expliquer la toxicité observée avec les vaxins ARNm contre COVID-19, à savoir:

– la toxicité chimique des nanoparticules lipidiques,

– la toxicité directe de la protéine spike dont l’expression est induite par les vaxins; mieux dite en français protéine barbelée que protéine de pointe ce qui est une traduction manipulatrice pour nous faire croire qu’il s’agit d’une protéine merveilleuse qui tire parti des plus récentes avancées de la science et de la technique, ce qui est des plus faux !

– les effets destructeurs de la réponse immunitaire à la protéine spike.

Parmi ces effets, les auteurs de ce livre considèrent que le troisième, le mécanisme immunologique tout à fait général de cette nocivité, est le plus important et que nous devons réduire ses effets destructeurs à la lumière de ce que nous avons appris après avoir examiné les preuves scientifiques résumées dans ce livre faisant références à 377 références et à venir.

Si les vaxins à ARNm sont intrinsèquement dangereux, pourquoi nous incite- t-on, voire nous impose-t-on, à les utiliser ?

À ce stade de l’histoire, il n’est pas nécessaire de tourner autour du pot. Il n’est plus possible de considérer les actions de nos élus et des autorités sanitaires et policières comme des “erreurs honnêtes”. Trop de choses se sont produites qui indiquent sans équivoque que tant les vaxins COVID-19 à base de gènes et l’escroquerie COVID-19 sont le fruit d’un agenda mondial sinistre.

L’approbation précipitée sans nécessité de ces vaxins, les menaces pures et simples, la coercition, la censure systématique de la science honnête et la suppression de la vérité sur les nombreuses victimes des vaxins tuées ougravement blessées durent depuis bien trop longtemps et sont trop nombreuses pour que l’on puisse douter de l’intention et de l’objectif poursuivis. Nos gouvernements et les organes administratifs nationaux et internationaux mènent une guerre non déclarée contre nous tous. Comme le souligne David Rasnick cette guerre dure depuis des décennies, a pris de l’ampleur, est mondialisée et nous devons nous attendre à ce qu’elle se poursuive et s’intensifie.

Que pouvons-nous faire ?

D’abord et avant tout, nous devons accepter que nous sommes effectivement dans le collimateur de nos gouvernements corrompus par nos élus. Au lieu de nous fier à leurs conseils perfides et malveillants, nous devons donc veiller sur nous-mêmes et sur nos proches, faire nos propres recherches et chercher des conseils de santé honnêtes où qu’ils se trouvent, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur des sphères établies de la science et de la médecine. Joignons-nous aux auteurs de ce livre riche en enseignement et espérons que ce livre aide la majorité des citoyens à faire un pas dans cette direction.

PD. Dr. med. Dominique Schwander août 2023

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9 Commentaires

  1. C’est très inquiétant, surtout pour les générations futures, les enfants en bas âge, qui subissent la contrainte OBLIGATOIRE des vaccins pour entrer dans la société.
    Que pouvons-nous faire ?

  2. mais le vih existe-t’il? De quoi sont morts ceux qui avaient alors le prétendu sida? pourquoi était-ce surtout les homos, les noirs, etc les plus atteints de ce prétendu sida?

  3. Il serait intéressant de connaître, a ce jour, le pourcentage de kamikazes, qui ont reçu leur dose de covidamor a la suite de la campagne gouvernementale pour relancer le chiffre d’affaires de Pfizer et de Moderna, fabricants d’ARN (A Refuser Nettement).

  4. Covidamor, le poison de la mort, fait la fortune des pompes funèbres et des labos. Buzyn, Veran, Delfraissy, les prescripteurs en autopsie.

  5. Je n’ai reçu aucun vaccin depuis l’armée. Et je ne m’en porte pas plus mal. La médecine actuelle ne m’inspire plus confiance. Une affaire de gros sous ne peut mener qu’au désastre. Je suis d’accord avec Durand Durand. Ils veulent tous nous tuer.

  6. Bonjour ,vous dîtes: Si les vaxins à ARNm sont intrinsèquement dangereux, pourquoi nous incite- t-on, voire nous impose-t-on, à les utiliser ? ; C’est simple ils nous empoisonnent volontairement pour nous faire crever afin de réduire la population mondiale , cela s’appelle un assassinat de masse . Tous ces assassins gouvernementaux tuent des millions de personnes sans vergogne , et comme toujours que font les peuples ? Rien , nous laissons ces ordures ,ces meurtriers nous tuer par des injections de poisons , alors que nous devrions aller cravater tous ces pseudo scientifiques de ces labos pharmaceutiques ainsi ceux qui nous gouvernent et les exécutés pour génocide contre l’humanité!

  7. Je ne connais rien à la medecine,mais il me semble que chacun est different, a des réactions differentes selon son histoire personnelle et la medecine de masse est un grand danger pour les populations.Il y a aussi une imunité personnelle qui fait que l’on peut sans vaccin n’etre jamais malade.

  8. Primum non nocere
    Premièrement ne pas nuire
    C’est le premier principe de prudence appris aux étudiants en médecine, infirmiers et pharmacie.

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