Paris : retour à… l’URSS : les acteurs ressuscitent la Manif’ pour la paix” 

Les acteurs (et, bien entendu les « actrices » avec en tête Isabelle Adjani) ont ressuscité les tristement célèbres « manifestations pour la Paix » organisées en sous-mains par l’URSS et où courait, sous couvert de partisans de la Paix, la gauche « galvanisée » par le monde « si remarquable » du spectacle ! C’était et c’est toujours la fascination de l’image ! D’ailleurs, depuis 2017, jusqu’au coeur de l’Elysée… Dois-je préciser « de gauche » pour la manifestation d’hier, dimanche ? Qui ignore que le monde du spectacle est, parce que « bien pensant », de gauche depuis 80 ans, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale ?

Pourquoi ne pas avoir organisé une marche partant des deux sites en même temps et se rejoignant à mi-chemin ? 
Ah, ok, il n’y aurait pas eu grand monde du spectacle et de la faune dite « culturelle » pour partir du Musée du judaïsme : quand l’antisémitisme est attribué à la droite… pardon à l’extrrrêêême-drrroite, on peut lui taper dessus comme lors de la profanation du cimetière juif de Carpentras, en 1990, attribuée dès les premiers jours, au Front National de Jean-Marie Le Pen. Et même dans les rappels de nos jours, rappels sur la présence à cette manif’ du Président de la République d’alors, François Mitterrand ! Pourquoi ? Mais parce que le FN était accusé ! 
Or, en 1996, lors du procès, ce sont des gens n’ayant rien à voir avec le FN qui ont été condamnés. Et comme le précise Wikipedia, bien avant le procès, « aucun lien n’a été établi entre les coupables et le Front national. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_de_la_profanation_du_cimeti%C3%A8re_juif_de_Carpentras


Il y a une semaine, en notant l’absence de Macron à la marche de Paris pour la comparer à la présence de Mitterrand lors de « l’immense » manifestation à Carpentras en 1990, quelle personnalité ou quel organe de presse actuel a rappelé ce détail (préférant rappeler un autre… détail) de la non responsabilité du FN à l’époque alors que Mitterrand croyait ou faisait semblant de croire qu’il manifestait contre le FN alors en expansion chez les électeurs ? 
Et ce n’est pas, hier, lors de cette dernière « manifestation pour la Paix » que quelqu’un rappellera que le FN n’avait rien à voir avec les profanations du cimetière juif de Carpentras. 
D’ailleurs, même parmi les personnalités de confession juives qui ont refusé, le dimanche précédent, d’être à la marche, pourtant elle également sans slogan (ah, oui, pardon, ces personnalités risquaient d’être contaminées par cette maladie touchant de plus en plus de Français atteints de « délires » les faisant penser de plus en plus à droite : des personnes portant des pustules de « l’extrêmedroitose » traînaient en queue de cette dangereusement contagieuse manifestation contre l’antisémitisme ! D’où les remerciements que les acteurs ont dû adresser à un des leurs, l’hilarant comique Belattar -non, non, pas « Bel attardé », ce serait se moquer de son physique : ce ne serait pas gentil-
Belattar que notre très avisé Prés… non, sans majuscule : que notre président doit tutoyer et appeler Yassine, a attentivement écouté et, ainsi, évité de prétendues émeutes dans les banlieues. De ce fait, il n’a pas eu à les réprimer en envoyant de malheureux gamins voir des juges qui les auraient traumatisés en leur assénant d’horribles « rappels à la loi » voire des « travaux d’intérêt général » de plusieurs heures ! Merci, Monsi… Pardon, monsieur le président !

Arrêtons-nous sur quelques autres noms de participants dignes arrière-petits-enfants de mamie Simone Signoret et papy Yves Montand, et, en lisant cette liste, surtout, je vous interdis de rire -comme je me permets de le faire !- :


-Lubna Azabal, présidente du comité « Une autre voix » (pourquoi pas « Une autre… voiE », ce qui serait plus juste…), comité à l’initiative de cette manifestation pour la Paix ! Une manifestation dont les organisateurs, curieusement (puisqu’en ce XXe siècle le « blanc » est , partout et surtout en Occident, honni et vilipendé et qu’il est même pour certains, la couleur de la royauté et, plus spécifiquement de la royauté française depuis la Guerre de Cent Ans qui s’étala de 1336 à 1453 !)
 ignorent peut-être tout de l’Histoire de France : serait-ce étonnant et ont curieusement choisi, comme signe de ralliement, le BLANC ! Vêtements blancs, banderoles blanches ! Et sans aucun slogan… Et, donc, sous-entendu, AUCUN DRAPEAU BLEU-BLANC(mais pourtant il y a du… blanc !)-ROUGE !


-Isabelle Carré qui semble la plus sincère dans sa déclaration puisque, pour elle, c’est carrément du côté… beurre, pardon, mademoiselle (oui, dans le monde du spectacle, quel que soit l’âge et, surtout, le nombre de… relations dans une vie, c’est « mademoiselle ») donc pour Mlle Carré, c’est… carré ! Pour elle, c’est le côté « rebeu » qui a sa préférence. Elle a expliqué que cette marche s’inscrivait dans la continuité du mouvement… « Touche pas à mon pote » ! Ah, oui, là, c’est clair, quand on hurle ce slogan qui fut et qui est toujours le cri de ralliement de l’association SOS Racisme : « On veut la fraternité, on veut la paix, » estime donc Isabelle Carré qui est, non dans le sillage, mais dans la traînée des fondateurs de SOS Racisme en 1984 à savoir les inénarrables Harlem Désir et Julien Dray (lui, maintenant, célèbre débatteur de… CNews !) et leurs « complices » :
Hadrien Lenoir, Dominique Sopo, Gaetan Meriaux, Fodé Sylla, Malek Boutih dont certains devaient être dans cet « appel à la Paix » !
Alors qu’ils n’ont certainement pas participé à la marche contre l’antisémitisme car je crois que, pour eux, l’antisémitisme n’est pas du racisme.
En revanche, s’ils ont manifesté ce dimanche avec comme symbole le… BLANC, j’adorerais voir des photos d’eux ! Eux qui exècrent les Blancs sauf si c’est un… rebeu !



-Julie Gayet, inutile de la présenter ni de rappeler son copain à scooter : elle a expliqué sur RTL que cette marche était destinée à « ne pas choisir un camp à détester. » Donc il ne faut pas choisir entre un agresseur et sa victime. Si un jour -ce que je ne lui souhaite nullement- cette comédienne était agressée, elle devra tendre l’autre joue et surtout ne pas aller porter plainte au commissariat du coin ? C’est bien car c’est très catho ! C’est parfaitement dans le droit fil de notre culture française (non pas ce vilain qualificatif de « judéo-chrétienne ») !



-Isabelle Adjani qui, elle, s’est contentée de porter écharpe et bonnet blancs et de brandir un livre décoré d’une colombe et une jeune femme derrière des barbelés.


-Agnès Jaoui a été des plus dignes dans Le Parisien : « Je ne veux pas laisser la haine l’emporter. » Donc si un jour -ce que, à elle non plus, je ne souhaite- elle se faisait agresser, elle non plus ne devrait pas porter plainte en “laissant la haine l’emporter!” Chapeau Madame… euh, Mademoiselle…

-Philippe Geluck (vous savez l’humoriste belge qui « chat » rien sur le hamas mais « chat » pas d’« chat » faute…) : il a tenu à faire savoir, sur BFMTV, « nous sommes là en empathie avec toutes les victimes quelles qu’elles soient. Je n’aime pas qu’on me demande à prendre parti. Il n’y a pas à prendre parti pour les uns, pour les autres. Toutes les victimes méritent notre solidarité et notre compassion ».
Donc, si on suit son raisonnement, il faut mettre sur le même plan…
-les terroristes du hamas qui, en riant à gorges déployées, cuisent un bébé vivant dans un four ou qui, avec une joie incommensurable, décapitent un enfant en filmant le tout pour en retirer des… primes financières !
-et les soldats israéliens qui -en défendant leur pays- constatent, avec, eux, une tristesse sincère et sans aucune satisfaction, que certains de leurs tirs tuent des enfants.
M. Deluk pourrait faire la différence entre…
-« chat », à savoir la pire saloperie perpétrée par des gens qui ne font pas partie de l’espèce humaine (j’entends déjà les hurlements d’un Deluk choqué s’il lit ces lignes) et…
-« chat », l’action de soldats qui entendent mettre hors d’état nuire de tels monstres afin qu’ils ne puissent plus jamais perpétrer de telles ignominies !

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Ajoutons, au hasard de mes recherches, quelques noms dont vous pourrez vous souvenir avant d’aller voir un de leurs films ou pièces de théâtre, ou un de leurs ouvrages si… comiques soient-ils ou une de leurs « oeuvres » car toutes les productions venant du monde dit culturel sont des « oeuvres » :
Claude Lelouch, Pierre Richard, Elsa Zylberstein, Michel Jonasz, Macha Méril, Sami Bouajila, Elsa Zylberstein, Sami Bouajila, Lubna Azabal, Laure Calamy, Leïla Slimani…
Ils étaient 500 « bien pensants » à appeler à cette « manif’ pour la Paix ».
Depuis dimanche soir, ils doivent reconnaître que, même en venant accompagnés de leur compagnon ou compagne et en y traînant leurs enfants voire leurs petits-enfants, ces 500 n’ont pas fait recette et c’est parfait !
« Plusieurs milliers de manifestants » notent, en ce dimanche soir, à 21 h, certains de mes confrères. Pour ma part, j’écrirais plutôt « quelques milliers de participants »… À comparer aux 200 000 Français favorables, le dimanche 12 novembre, à la lutte contre l’antisémitisme ! Alors, monsieur le président Macron, votre coeur est-il toujours attiré par les éclats souvent illusoires, trompeurs voire chimériques du monde du spectacle que vous prisez tant ! Jusqu’à commettre la faute -et le mot est faible- d’accueillir à l’Élysée un humoriste plus que suspect et qui vous a empêché de marcher… droit !

JACQUES MARTINEZ, journaliste, 
ancien de RTL (1967-2001), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

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