L’islam met le turbo sur l’importance de la démographie musulmane en France

Endogamie et exogamie des musulmans

La loi de l’islam est régulièrement assénée comme étant intangible, immuable, inflexible, car venant directement de la bouche de Dieu, sans qu’il y ait eu la moindre coupure, la moindre discontinuité, la moindre interruption entre le moment où Dieu l’a dictée à son ‘’prophète’’ et celui où elle fut mise par écrit dans le coran. Cependant, les musulmans en ont toujours pris à leur aise avec la stratégie leur permettant de conquérir le monde.

A la fin de cet article, nous rappellerons les origines chaotiques de l’islam,  la longue coupure – attestée par des preuves historiques – entre le premier ‘’Mahomet’’, le personnage énigmatique de La Mecque, dont on ne sait pratiquement rien, et le second ‘’Mahomet’’, personnage fictif créé lors de la fixation par écrit de la loi de ses successeurs à la tête de l’armée-islam, près d’un siècle après la mort de celui qui aurait entendu l’ange lui parler. L’écriture du coran a été modifiée pendant près de deux siècles, falsifiée, et donc historiquement à l’opposé de son image de ‘’table de la Loi’’ remise par Dieu, gravée et inchangée au cours des siècles.

Depuis quelques dizaines d’années, l’islam, celui qui est mené par les Frères et Sœurs musulmans, a identifié les deux pays les plus faibles du monde à islamiser, la France et la Belgique.  C’est bien en France et en Belgique que l’islam de conquête investit le plus pour enlever ces deux anciennes places fortes devenues des moulins à vent faciles à prendre. La démographie musulmane étant l’arme la plus efficace pour modifier le rapport de forces dans un pays convoité, l’islam investit désormais dans les unions entre musulmans, les unions endogames. D’autant plus que les soins prénataux, les accouchements, les soins postnataux, la petite enfance et l’éducation, les aides diverses et variées allouées par les pays à conquérir à leurs conquérants déjà sur place sont quasi illimitées.  Il n’y a qu’à exiger et à ramasser. Allah leur donne vraiment la victoire.

La règle aujourd’hui en France et pour l’Europe : l’endogamie  

Une importante publicité signée ‘’MUZZ’’ s’impose actuellement aux malheureux habitants des grandes villes en France. Ses panneaux publicitaires s’adressent aux musulmans : « 6 millions de musulmans en France. Et tu es encore célibataire ? MUZZ, la plus grande application de rencontres et de mariages musulmans en France. Pour rencontrer des musulmans… »

Cette même plateforme, MUZZ, s’était fait connaître l’an dernier en proposant de payer les amendes des musulmanes verbalisées pour port prohibé de vêtements islamiques dans l’espace public.

L’application MUZZ s’installe gratuitement sur les Smartphones et Iphones et permet aux musulmans des deux sexes vivant en France (et qui sont vraisemblablement davantage que les 6 millions timidement avoués) de ne pas se mélanger avec les mécréants et autres infidèles. Afin de faire beaucoup de futurs petits musulmans. Et de pratiquer le djihad démographique.

Elle revendique d’être présente sur 190 pays, de s’adresser à plus de 9 millions de musulmans intéressés et d’avoir permis plus de 500.000 mariages entre musulmans. En effet, les filtres qu’elle utilise étant basés sur l’origine ethnique (autant dire la ‘’race’’), le nombre de prières quotidiennes, le régime alimentaire et vestimentaire halal, la consommation d’alcool et de tabac, le nombre d’enfants souhaités (l’arme démographique), les fiancés se retrouvent juste entre djihadistes. Cette sélection communautariste entre hommes et femmes cherchant leurs partenaires musulmans est, en plus, certifiée halal par l’entourage d’un ou des deux prétendants, car Muzz organise des « speed datings halal » permettant à des témoins de moralité (une mère, un frère, un ami proche) de certifier que la demoiselle est bien pucelle et le chevalier bien sous tous rapports (sexuels) à la mode musulmane. En effet, en islam, les relations sexuelles prénuptiales entre promis sont interdites. Il faut donc se débrouiller autrement sans se faire prendre.

La logique musulmane est imparable : arriver sur le territoire du pays convoité, s’y installer, s’y rendre visible le plus possible (voiles et tenues islamiques, magasins et restaurants halal, mosquées, actions, publicités, revues, prises de position publiques, hurlements contre l’islamophobie, diffusion du coran et de dépliants vantant l’islam, prosélytisme,  etc.), fonder des foyers musulmans (endogamie) et, par une natalité supérieure à celle du pays à conquérir, viser à s’imposer par le nombre puis par la loi ou la force.

Cette stratégie de la conquête musulmane des pays européens par l’immigration et la démographie, élaborée dès 1928 par la confrérie des Frères musulmans (toujours autorisée en France !), suit fidèlement la feuille de route de ce djihad tranquille. Les musulmans doivent rester entre eux, se soutenir et s’encourager dans le devoir de conquête, au niveau couple, communauté, quartier, ensemble (national ou européens : voir ce qui est le plus bénéfique à l’Oumma). L’endogamie est aujourd’hui la règle pour la France, la Belgique et les pays européens..

Cette endogamie actuelle préconisée par les Frères musulmans pour conquérir la France et les pays européens est une règle de circonstance, adaptée aux lieux convoités et aux époques de lâcheté des dirigeants de ces pays endormis, chloroformisés. Elle permet de créer des communautés, des blocs musulmans, des territoires que les lois européennes protègent. Notre pays sera conquis de l’intérieur, la menace de l’islam ne venant plus de l’extérieur comme au temps des batailles entre armées ennemies.

L’exogamie des premiers temps de l’islam a fait suite à l’endogamie bédouine traditionnelle

Aux tous premiers temps de l’islam, la règle était l’endogamie, celle des Bédouins.

Puis, au moment des premières conquêtes, les premières armées arabes continuèrent à refuser tout élément extérieur non-arabe dans leurs rangs, mais elles durent établir une hiérarchie, réservant le commandement et le califat aux seuls Arabes, alors que des éléments arabisés et islamisés étaient incorporés dans l’armée naissante. Et vite la réalité leur imposa d’ouvrir à des non-Arabes la possibilité de devenir guerriers de l’islam.

Avec l’avancée éclair des conquêtes (de Jérusalem en 638 à la péninsule ibérique dès 711, mais aussi la conquête de Damas et de l’Asie centrale et jusque vers l’Inde à la même époque) les musulmans modifièrent leurs habitudes : les femmes étant restées au Hedjaz, les hommes en prirent de force en cours de route. L’endogamie se mua en exogamie. Avec comme principe prioritaire que les enfants nés de ces unions forcées appartiennent à l’islam. Exactement comme lui appartenaient désormais les territoires conquis, les bâtiments saisis et les biens servant de salaires aux guerriers de l’islam. L’exogamie participait au djihad.

Plus les hommes en guerre offensive avaient de relations sexuelles sur leur passage et plus l’Oumma prenait de l’extension.  La conquête par le viol se voyait légitimée par l’ordre coranique de diffuser l’islam au nom d’Allah. Tuer et violer au nom d’Allah étaient le devoir de ces conquérants.

Ainsi, durant les deux siècles (8ème et 9ème) au cours desquels les califes et chefs de guerre ordonnèrent à de nombreux rédacteurs savants de fixer par écrit les règles de l’islam, les modifiant et les arrangeant au fil des circonstances, et cela en commençant plus de 80 ans après la mort du personnage qu’ils appelèrent Muhammad et dont ils firent commencer une mission de prédicateur (ou ‘’prophète’’) à La Mecque en 610, cette règle de l’exogamie fut enseignée aux musulmans.

Cette règle fut enseignée non pas en employant le mot ‘’exogamie’’ pour indiquer aux musulmans comment ils devaient agir, mais en écrivant une pseudo-biographie exemplaire et totalement imaginée du prétendu ‘’prophète’’ à l’origine de leur organisation. Cette pseudo-biographie, qui n’a rien d’historique, mais que l’on peut extraire  du coran et des hadiths (car les autres essais de biographies – sîra – de Muhammad sont encore plus tardifs !) avait un but précis : la formation des musulmans sur l’exemple donné par le fondateur de l’organisation. En réalité non pas le fondateur lui-même, déjà distant d’un siècle, mais les califes et chefs de guerre dirigeant l’organisation à l’époque du travail d’écriture des rédacteurs de ces écrits fondateurs de l’islam.

C’était devenu impossible d’établir de ce ‘’prophète’’ de La Mecque une biographie fiable en ne commençant à l’écrire par des étrangers lettrés que plus de 80 ans après la mort en 632 de ce personnage dont le nom même avait été oublié, au point de ne le désigner que par un surnom (‘’muhammad’’, ‘’le digne de louanges’’). Une si longue période de 80 ou 100 ans, c’est considérable, et les mémoires des 2 ou 3 générations avaient quasiment tout oublié de lui.

En faisant écrire le coran et les hadiths (‘’dires et faits’’), le but n’était pas historique, mais apologétique et pédagogique, le but était de former des guerriers de l’islam et de structurer l’islam naissant

Les anachronismes des textes fondateurs de l’islam ont échappé durant les siècles aux musulmans (qui tenaient à les cacher !) et aux historiens (qui ne réussissaient pas à les expliquer ; faute de preuves archéologiques). Ce n’est que tout récemment que la période tardive de l’écriture du coran et des hadiths a été découverte par les archéologues et historiens.

Les rédacteurs du coran et des hadiths, dans leur volonté de former les musulmans des deuxième et troisième siècles de l’islam (correspondant à nos 8ème et 9ème siècles), ont ainsi attribué au personnage principal dont ils faisaient une description forcément fantaisiste et imaginée, des comportements qui, en réalité, devaient être ceux que les musulmans devaient observer et vivre à leur époque. Par exemple, pour leur indiquer qu’ils pouvaient avoir autant de femmes qu’ils voulaient, y compris des toutes jeunes filles, et de toutes origines, même des juives, au gré des circonstances de la vie, ils indiquèrent que le ‘’prophète’’ pratiquait la polygamie et l’exogamie y compris avec des juives. Que ce fût la réalité ou non, cela n’était pas leur propos. La réalité des faits ne pouvait pas être confirmée, plus d’un siècle après la vie de ce personnage ! Mais le but de ces écrits fondateurs n’était pas d’établir une biographie historique, mais un récit formateur, d’apporter des règles de vie, de donner un exemple à suivre. Quitte à inventer une vie de ‘’prophète’’ avec mille circonstances au personnage du Muhammad (Mahomet) du coran, des hadiths et des sîra (biographies).

Le récit musulman n’est pas un récit historique : n’y adhérons pas !

Que les musulmans continuent à soutenir que le coran et les hadiths contiennent un récit historique des faits qui se sont réellement passés à l’époque de Mahomet, c’est leur intérêt : leur dogme est basé sur l’affirmation que le Dieu créateur du monde a donné sa loi à son dernier prophète envoyé aux Hommes, Mahomet. Que, pendant 23 années, de 610 à 632, il lui a dicté le coran. Et que ce coran a été écrit dès la mort de Mahomet en 632 et n’a été ni modifié ni altéré depuis. Que, par conséquent, tout ce qui est écrit dans le coran et les hadiths sur la vie et les exemples de Mahomet est la réalité historique telle qu’elle fut vécue.

Nous ne sommes pas obligés d’adhérer à cette croyance, car les découvertes récentes nous apprennent qu’entre la mort de ce personnage en 632 et le début de l’écriture des textes fondateurs de l’islam il y a eu un minimum de 80 années et que l’écriture de ces textes s’est faire durant une période d’environ deux siècles.

Les musulmans ont eu le monopole du récit des origines de l’islam, de la période de l’écriture du coran et de la vie de Mahomet, durant de longs siècles. Mais les archéologues, grammairiens et historiens sont désormais les vrais maîtres du récit historique, qui contredit et réfute le récit musulman.

Les musulmans continueront à dire et écrire « Mahomet a fait ceci… » Alors que nous devrons, pour ne plus nous soumettre au récit musulman, prendre la précaution de dire et d’écrire : ‘’Selon le coran, Mahomet s’est mariée avec une juive… Selon le coran, Mahomet a livré bataille à une tribu juive , etc.’’ alors qu’on n’en a aucune certitude historique.

Parmi les certitudes historiques que nous avons aujourd’hui sur leurs pratiques maritales, c’est que, durant la période d’écriture des textes fondateurs de l’islam, aux 8 et 9 è siècles, les armées arabo-musulmanes, d’abord endogames, s’étaient adaptées aux circonstances de la guerre offensive et avaient choisi la règle de l’exogamie. La guerre offensive contre les tribus juives et contre l’empire byzantin a mené les hommes arabes à prendre (violer le plus souvent) les femmes et les fillettes tout au long de leurs avancées territoriales et à décréter musulmans les enfants naissant de ces relations sexuelles.

Libérons-nous du monopole du récit musulman que l’islam nous a imposé durant toute la période où il ne pouvait pas être contesté. Aujourd’hui ce récit est contesté et nous savons qu’il n’est pas historique mais apologétique. L’histoire de ce qui s’est réellement passé est différente de celle racontée par le récit musulman. Apprenons donc à ne plus parler de Mahomet comme en parlent les musulmans.

A titre personnel, cette gymnastique intellectuelle est très difficile, car nous avons pris l’habitude de parler comme les musulmans (‘’la révélation a été faite au prophète’’ ; ‘’Mahomet était pédophile car Aïcha n’avait que 6 ans…’’ ; ‘’Mahomet avait deux femmes juives dans son petit harem… ; il a fait décapiter entre 500 et 900 hommes de la tribu des Banu Qurayza ; ’’ etc.) en acceptant le récit musulman des origines de l’islam et de Mahomet comme un récit historique. Toute la littérature concernant l’islam et toute notre éducation et instruction ont intégré le récit musulman comme étant historique, et nous en sommes prisonniers. Mais, aujourd’hui, nous sommes les seuls et les premiers à prendre du recul face à cette imposture, à nous libérer de du récit musulman mensonger. Cela exige de nous un gros effort intellectuel, car nous devons nier ce à quoi nous avons cru jusqu’à maintenant. Nous devons bruler nos anciens écrits, avouer nous être trompés Nous devons nous corriger alors que nous avions des certitudes !

En résumé :

• De la vie réelle, historique, du ‘’Mahomet’’ (son véritable nom est inconnu, oublié par les rédacteurs du coran et des hadiths. Le coran ne cite son nom que 4 fois) de La Mecque, l’histoire n’a pratiquement rien retenu. Il est vaguement question d’un personnage terrorisé par l’imminence de la fin du monde et du Jugement Dernier tel que les prophètes juifs et chrétiens l’ont annoncé dans la Bible judaïque et les écrits chrétiens canoniques et apocryphes qu’il connaît très bien. Il aurait rappelé les juifs et les chrétiens de son entourage à davantage respecter les appels des anciens prophètes à suivre les lois de Dieu.
• Tout ce qui peut aider à faire sa biographie, que ce soit dans le coran et les hadiths, n’a été écrit que 80 ans au moins après sa mort que les historiens datent de 632.
• Ses biographies (sîra) sont encore plus récentes, elles ont été écrites après les écritures du coran et des hadiths. Donc environ un siècle après la disparition de ce personnage énigmatique. Donc encore moins fiables historiquement. Par exemple, l’épisode de la décapitation ‘’de 500 à 900 hommes’’ de la tribu juive des Banu Qurayza, leurs femmes et enfants étant vendus en esclavage (moins la belle Rayhana que se réserva le chef de guerre Muhammad pour son petit harem) pose questions aux historiens : un tel événement, s’il avait réellement eu lieu, aurait fait l’objet de recensions ou d‘échos dans les archives des autres tribus juives de Médine ou byzantines ; or rien ! Seuls les écrits musulmans (deux versets flous du coran, mais surtout des ‘’siras’’ approbatrices, comme celle d’Ibn Ishaq, bien trop tardives par rapport à l’évènement rapporté pour qu’elles soient plausibles) en tirent gloire, en insistant sur le rôle du chef de guerre comme ce « J’ai gouverné par la terreur » ! Ce récit de haut-fait à la gloire du créateur de l’islam, destiné à frapper les esprits, n’est-il pas plutôt une parabole, une façon de montrer aux musulmans du 8 è s. et du 9 è s. comment ils doivent se comporter, sans états d’âme, en polygames et exogames, avec cruauté envers les juifs, parce que c’est ainsi qu’un vrai musulman doit agir s’il veut imiter le premier d’entre eux ?
• D’après le coran et les hadiths, ce personnage aurait reçu des ‘’révélations’’ de la bouche d’un ange envoyé par le Dieu créateur du monde le désignant comme ‘’prophète’’ ayant pour mission d’apporter à l’humanité la loi divine à respecter par tous les Hommes. Ces messages ont duré 23 ans, en deux époques : de 610 à 622 à La Mecque, et de 622 à 630 à Médine, puis encore à La Mecque de 630 à 632. Nous ne sommes déjà donc plus dans un récit historique, mais dans un récit religieux, faisant intervenir un Dieu, un ange, des lois venant du Ciel. La volonté d’écrire un récit historique des faits réels a donc déjà pris fin.
• Ce qui a été écrit concernant ce personnage, dans le coran et dans les hadiths, plus de 80 ans après sa mort, et durant les 2 siècles de la fixation définitive de ces écrits fondateurs de l’islam, l’a été dans un but apologétique :

1. relier l’organisation naissante mais déjà victorieuse de nombreux combats offensifs (dès 638 l’armée arabe part en conquête et sera au combat durant les deux siècles de l’écriture du coran et des hadiths) à une obéissance religieuse au Dieu créateur de l’Univers. Faire des conquêtes arabes un simple acte d’obéissance à Dieu qui ‘’donne’’ la victoire et qui tue lui-même lorsqu’un musulman tue. Donc présenter l’armée arabe sous l’aspect d’une religion.
2. Et b) former les musulmans sur le modèle présumé du fondateur. Ses successeurs à la tête de l’islam, les califes et chefs de guerre, servent en réalité de modèles pour décrire le premier d’entre eux. Ils sont exogames, ils sont antisémites, ils misent sur la terreur pour asservir les peuples, ils sont cruels, ils sont sans pitié : le premier d’entre eux, le ‘’Digne de louanges’’ (Muhammad dont les mémoires de 2 ou 3 générations n’ont rien retenu d’historique) doit donc être présenté comme étant exogame, antisémite, partisan de la terreur pour gouverner, cruel, sans pitié, etc. : c’est exactement ce qui ressort des récits musulman fondateurs de l’islam.

A nous, forts désormais des récentes découvertes scientifiques, de nous démarquer du récit musulman qui, à cause de son monopole, s’est imposé et nous a tous embarqués dans un récit qui n’a rien d’historique mais a été entièrement fabriqué, inventé, créé dans un but apologétique et de formation des musulmans. Lorsque nous voulons nous exprimer sur Mahomet, prenons la précaution de dire « Selon le coran, selon les hadiths, selon les siras, le Mahomet du coran aurait dit ceci, aurait fait cela… » Nous montrerons que nous sommes au courant des découvertes récentes et nous affirmerons  notre désaccord avec le récit musulman. Celui-ci n’est pas un récit historique, ne continuons pas à lui apporter pas notre caution mais participons à sa réfutation et à sa déconstruction. En agissant ainsi, ce sera pour nous une façon efficace de participer à la réfutation et à la déconstruction de l’islam.

Pour casser le récit créé par l’islam et qu’il a imposé à l’ensemble du monde, commençons par le casser dans notre imaginaire, dans notre mémoire, dans notre langage et notre expression. N’oublions pas que nous sommes parmi les premiers à connaître cette distorsion entre les écrits musulmans et la réalité historique, et donc parmi les premiers à  prendre cette décision de ne pas confondre les écrits musulmans avec un récit historique !

Et cela a une certaine importance de prendre nos distances avec l’islam, dans tous les domaines !

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