La France insoumise, cheval de Troie de “Renaissance”

Tout d’abord je m’attarde sur la définition du mot “renaissance.

Celui-ci peut être diversement interprété :

-Historiquement, il s’agit de la période de rupture avec le Moyen Âge

-Littéralement, c’est un renouvellement ou un retour.

-Proprement, c’est le fait de revivre.

C’est cette dernière définition qu’en l’occurrence je retiens, pour développer mon propos.

Nous connaissons tous ici le sens politique de cette “renaissance” qui succède à la marche initiale d’une imposture présidentielle si ahurissante qu’elle n’en finit plus de sidérer.

Quel est ce parti s’affublant à tort et à raison de ce mot qui symbolise une période majeure de l’histoire dans laquelle la France a pris une place majeure ?  J’écarte donc cet aspect historique.

Le macronisme, juron qualifiant une minuscule époque nationale n’est en aucun cas un renouvellement de la classe politique, tout au plus un retour éphémère.

Considérant que cet amalgame politico-intellectuel est constitué d’une part importante de politiciens ayant œuvré au destin de notre nation au cours de ce dernier demi siècle, aboutissant à l’état de notre état désormais hors d’état de nuire à ses ennemis, mais plongeant ses citoyens dans un sale état, c’est bien la définition de la renaissance au sens propre, qui s’impose.

En d’autre termes, après avoir tué la France, ses meurtriers finalement défaits électoralement par le peuple, prétendent la ressusciter.

Certes les pères de cet homicide sont disparus ou devenus politiquement inoffensifs, mais leurs descendants non moins virulents, s’activent à perpétrer la désolante action de leurs aïeuls en revendiquant avec aplomb, leur précepte «enrichi» par une efficacité ne dépassant pas la limite des cabinets de communicants à la mode, dont il n’est plus question de se passer.

Le célèbre adage populaire prend avec ces derniers-nés de la politique tout son sens. Je cite « Que de la gueule»

D’après les rumeurs, le dit freluquet dispose d’un pouvoir de séduction particulièrement efficace sur les vieux messieurs. Une autre idée reçue évoque d’ailleurs, que le démon de midi conduit parfois à des envies d’explorations de lunes, notre tintin picard dans son projet, ne promettait-il pas l’objectif d’atteindre l’astre en question pour en déflorer les profondeurs insoupçonnées.

C’était donc ça, la république en marche vers la lune.

Elle a contenté les soumis de première heure et «en même temps »  profondément irrité les récalcitrants.

Les partis de gouvernement ne pesant plus guère qu’un demi dixième de l’électorat, se sont rués au soir du second tour de 2022, vers les contrées prometteuses de Tintin au pays de l’or noir en haranguant les quelques péquenots s’étant tromper de bulletin en leur faveur, d’une absolue nécessité d’un front républicon désormais aussi mort que ses inventeurs.

On connaît la suite et les milliards qui ne cessent de fuir l’économie française, tandis que les « migrants » ne cessent d’arriver.

Curieuse balance commerciale que nous livrent Mozart et son chef d’orchestre contemplateur de l’oignon provoquant les larmes de la ménagère autant lorsqu’elle l’épluche, qu’au moment où elle le paie en caisse.

Mais le propre de l’imposture est qu’elle finit tôt ou tard par être démasquée, à peine deux années après son second forfait, Tintin que l’on savait Pinocchio, apparaît comme un guignol.

Sa crotte de popularité est à sec, mais pire, sa concurrente que l’on prétendait humiliée en débat, ne cesse de bondir en tête des sondages.

L’artiste de sortie de métro grattant en play-back sur une guitare sans cordes, en serait à tout le moins ombragé, vaniteux qu’il est.

La moindre de ses sorties physiques et verbales est retoquée, parfois même par ses contributeurs originels, « Minc alors ».

Voici donc notre utilisateur de wc élyséens aux abois, tandis que la caravane de bédouins qu’il tente de nous refiler prochainement passe, guidée par son Vidocq d’opérette reconverti en chamelier, vers la Californie pourtant déjà fortement encombrée d’Ali et de ses quarante dealers, qui nous invitent à l’avoir dans le baba.

Tous les anciens pourfendeurs de notre nation, leur chef en tête, se ruent sur les idiots utiles du père Méluche devenu infréquentable. Celui là même que l’on accueillait à bras ouverts lorsqu’il s’agissait de pécher les voix contre la bête immonde venu d’Armorique.

En ce temps là, l’arc républicain acceptait les antisémites d’aujourd’hui.

Pas vrai Edouard ?

Et c’est ainsi que renaît le baudet des trois, PS, LR, Modem, roulant vers de nouveaux horizons, avec pas autre chose dans son bide, que la matière y résidant habituellement.

L’équidé gonflé à bloc est prêt à se déverser une nouvelle fois sur notre beau pays.

La bonne nouvelle, c’est qu’il y en aura pour tous.

Aux bottes citoyens, pourvu qu’il nous restent des masques.

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