Ah, ces écolos ! Difficile de les comprendre ! Ils nous cassent les oreilles -et jusqu’aux pieds !- avec leur défense de la nature, de la vie, des plantes, des insectes, des animaux (ok, pour l’espèce humaine, elle est à anéantir !).
Et quand il y a une perspective (certes pas pour demain) de retour à une vie végétale voire animale sur une belle partie du globe mise au congélateur depuis 34 millions d’années, un retour à l’air libre grâce à la fonte des glaces de l’Antarctique, alors là, ce sont des cris d’orfraie -ou d’effraie (1)- du genre : « Oh, là, là, si le réchauffement climatique fait fondre la glace de l’Antarctique, c’est une menace pour cette découverte de nouvelles terres ! »
Mais quelle menace ? Ne serait-ce pas le contraire ? Ne serait-il pas intéressant de retrouver les restes d’espèces -plantes, insectes, animaux- disparues il y a des centaines de millions d’années ? Et que les écolos ne craignent pas de tomber sur les restes de « vilains » ancêtres à eux, les premiers humains n’étaient pas encore descendus sur Terre !
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Le 24 octobre, une étude scientifique nous a appris que, dans l’Antarctique, sous « à peine » 2 000 mètres de glace, a été découverte une région terrestre avec monts et vallées plus étendue que notre voisine la Belgique ! Donc une région où, avant la période de glaciation, vivaient et où donc également ont vécu tout d’abord des espèces végétales puis des insectes et, ensuite, des animaux dont les dinosaures !
Comme nous l’a annoncé Sciences et Avenir : « Découverte, sous la glace de l’Antarctique, d’un immense paysage verdoyant caché depuis des millions d’années ! Ce paysage plus grand que la Belgique serait resté intact pendant potentiellement plus de 34 millions d’années. Un décor figé dans le temps : des scientifiques ont détecté un vaste paysage de collines et de vallées verdoyantes, caché depuis des millions d’années sous la glace de l’Antarctique. Cette étendue de 32.000 kilomètres carrés abritait autrefois des forêts et probablement des animaux. Avant que la glace la recouvre pour la « figer dans le temps ». »
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Et quoi de mieux que le Muséum National d’Histoire Naturelle -né, lui, il y a 400 ans !- pour remonter le temps et nous dire quand la vie est apparue sur Terre :
« À ce jour, les plus anciennes traces de vie sur Terre remonteraient à 3,8 milliards d’années, comme semblent l’indiquer des restes fossilisés retrouvés dans les roches sédimentaires. La vie était alors exclusivement aquatique et le restera pendant près de 3,4 milliards d’années ! (…) Mais ce n’est que vers -400 millions d’années que l’on trouve trace des premiers animaux évoluant sur la terre ferme. (…) Les premiers animaux terrestres sont essentiellement des Arthropodes, un embranchement auquel appartiennent les insectes, les scorpions, les araignées, les mille-pattes… On retrouve aussi les traces des premiers gastéropodes terrestres : les Pulmonata, un ordre de mollusques qui regroupe les escargots et les limaces. »
https://www.mnhn.fr/fr/quand-est-apparue-la-vie-sur-terre
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Quant au relief terrestre de l’Antarctique, il a été découvert grâce à des détections de température effectuées à l’aide de radars équipant des avions, comme le précise le site Positivr : « Le sondage radio-échographique consiste à survoler la zone en avion pour envoyer des ondes radio dans la glace. En analysant les échos, les scientifiques ont découvert ce paysage autrefois composé de collines et de vallées verdoyantes. »
« Il s’agit d’un paysage non découvert sur lequel personne n’a jamais posé les yeux », a tenu à préciser à l’AFP Stewart Jamieson de l’Université britannique de Durham, auteur principal de cette étude parue dans Nature Communications.
En effet, « personne » dans le sens « être humain » ! Heureusement car toutes les périodes précédentes n’auraient jamais pu exister si l’espèce humaine était déjà arrivée sur Terre si l’on en croit les écolos-anti-humain ! : regardez -avec, évidemment, un « oeil d’écolo »-, à quoi cette espèce destructrice a réduit la Terre en à peine 2,5 millions d’années !
Alors en 3,8 MILLIARDS d’années, à l’apparition des premières plantes puis insectes sur Terre, l’homme se serait lui-même détruit, et depuis, dans ce cas, des milliards d’années ! Mais, bonne nouvelle, les écolos auraient également disparu avec eux, euh, avec nous qui ne serions pas là à se moquer bêtement d’eux !
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Redevenons sérieux : l’espèce humaine n’est en effet apparue que parmi les petits derniers arrivants en notre Paradis terrestre, il y a à peine quelque 2 500 000 années…
Grâce aux estimations de températures, selon Sciences&Vie, rapportant les propos d’Iestyn Barr, auteur principal de l’étude publiée mardi et maître de conférence en géographie physique à l’Université métropolitaine de Manchester, « les chercheurs ont pu retracer l’évolution des glaciers transantarctiques. Les premiers glaciers tempérés se seraient formés durant le Paléocène supérieur (-60 à -56 Ma, c’est-à- dire il y a entre 60 et 56 Milliards d’années), au niveau de cirques de haute altitude. (…) Le climat de la région aurait été radicalement différent à cette époque, avec des forêts subtropicales et des dinosaures encore en liberté, mais nous avons trouvé des preuves de la présence de glaciers dans les plus hautes montagnes. »
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Donc, plutôt que de voir le bon côté d’un réchauffement climatique, les écolos accusent l’Homme. Déjà… sous entendu l’Homme blanc de plus de 50 ans, pourquoi ?
Tout simplement, pour faire dire aux plus jeunes générations que la faute est à mettre sur le dos des pépés et mémés (tant pis pour eux -génération dont je fais partie !-) car, eux-mêmes ont tapé sur leurs pères et mères -eux, pas moi-. C’était, je m’en souviens puisque j’en fus spectateur-et non partisan : j’étais stagiaire journaliste (n° carte professionnelle 27472 remontant à 1967 : si un jeune journaliste de 2023 lit ce détail, j’aimerais savoir où en sont les numéros de cartes de journalistes en 2023 ?) c’était la révolte étudiante de 1968, donc de jeunes contre leurs pères et mères. Et ces anciens « jeunes » sont maintenant grands-parents voire arrière-grands-parents et se retrouvent critiqués par les nouvelles générations donc par leurs petits-enfants.
On sait ce que « 68 », leur « 68 », a engendré comme problèmes. On commence à « apprécier » ceux que veulent nous faire avaler leurs progénitures modèle « Greta-Thunbergistes » ! Ayant vu ce que nous ont apporté les « bienfaits » de mai 68, du gauchisme au wokisme en passant par le laisser-faire puis le laisser-entrer jusqu’au laissez-passer au profit des pires ennemis de la France !- ce n’est pas moi qui pleurerais sur ce qui peut arriver à nos descendants !
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Ceux-ci, j’en suis persuadé, s’adapteront peu à peu, au fil des millénaires voire des milliards d’années, à une température douce voire chaude ou même caniculaire… Simplement, ils auront le cuir plus solide et les attaques des futurs écolos glisseront plus facilement sur leurs carcasses ou plutôt leurs carapaces anti-UV , anti-rayons solaires ! Carapaces anti-brûlures qui, alors, seront toute à fait naturelles puisque « garanties de… naissance » !
(1) Selon le site La Langue Française, « l’expression provient plutôt de la « chouette effraie », ainsi nommée par déformation du mot « orfraie ». Animal nocturne, cette chouette blanche très commune, aussi appelée « effraie des clochers » ou « fressaie », émet des hurlements stridents et « effrayants » (…) considérés comme étant de mauvais augure.
C’est ainsi qu’apparaît au XVIe siècle l’expression « des cris d’orfraie » (ou « orfraye » en ancien français), pour décrire toutes sortes de cris stridents et alarmants.
https://www.lalanguefrancaise.com/expressions/pousser-des-cris-d-orfraie
JACQUES MARTINEZ, journaliste, ancien de RTL (1967-2001), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
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Il ne faudrait pas confondre les millions et les milliards d’années.
Lire ou relire « La nuit des temps » de René Barjavel : on est en plein dedans ! Quand la fiction rejoint le réel…
Lors de l’optimum climatique au MoyenAge, la vigne poussait au Groenland.
et aujourd hui, le grouin land recule partout !!
halal la la la !!
c’ est normal,n ils sont à l’ image de Greta, mais moins riches