J’ai le souvenir d’un principal de collège qui avait fait l’injonction « obtempère ! » à une petite racaille, qui lui avait répondu « nique ta mère », en pensant sans doute que le principal insultait son père…
Typhaine D. comprend la langue française un peu de la même manière et cette nana s’est fait de superbes noeuds au crâne pour accoucher… d’un langage pire que l’écriture inclusive.
Les verbes qui contiennent la sonorité « père » sont changés pour la remplacer par « mère ». On n’espère pas, on esmère…
On a touché le fond du bocal, même si l’initiative présente un côté poétique rigolo et anecdotique.
Père Ubu est de sortie… Mais alors, de façon inversée, ne devrait-on pas dire « je t’epperde » au lieu de « je t’emmerde » ?
Le Figaro se prend pour Libération ou l’Humanité (ou même le Monde et la plupart des quotidiens locaux gauchisés à fond) en la relayant et surtout en osant parler à son sujet de « grammaire » !
Comment peut-on être inculte à ce point ?
Il ne peut en aucun cas s’agir de grammaire car la « création » de Typhaine D. procède simplement d’une terrible méconnaissance de la langue.
Nos mots sont pour la plupart issus du latin, avec des déformations au Moyen-âge mais souvent, globalement, une fidélité à leur étymologie où le mot père se disait « pater« .
Beaucoup de mots qui contiennent la sonorité « père » n’ont rien à voir avec le père, le patriarche, le géniteur… C’est le cas notamment des mots, nombreux, issus de la locution « per« , qui veut dire à travers, comme perspicacité (littéralement, la capacité à voir à travers, donc au-delà des apparences superficielles).
Les mots français qui contiennent la sonorité « père » n’ont donc souvent rien à devoir au « patriarchat » qui est l’obsession de l’extrême-gauche apatride…
Typhaine D, sans doute née dans un chou, veut évincer le père de la langue française.
Nouvelle précieuse, elle confond les adjectifs et les adverbes en préconisant « partoute » plutôt que « partout ». Partoute, pour ma part, me fait plutôt penser à « partouze » et n’est donc pas du tout élégant, pour un hommage à la féminité !
Cela ne peut donc pas être une nouvelle grammaire et Typhaine D. donne bien évidemment le bâton pour se faire battre.
L’intéressée est une comédienne qui cherche à se faire remarquer. Elle mérite un rôle dans « Les Précieuses ridicules » !
Je salue en tous cas le niveau élevé d’absurdité de sa proposition, car même à vouloir officier dans le registre poétique plutôt que grammatical, Typhaine D. ne s’est pas trop foulée finalement. Elle a juste osé ce qu’aucun n’avait osé jusqu’à présent et on aura la grâce de ne pas lui rappeler comment on appelle ceux qui osent tout.
Le plus dur, c’est de parler comme elle le préconise et je ne doute pas que quelques « écervelé.e.s mélenchonien.n.es » s’appliqueront chaque soir à s’entraîner pour parler selon la « féminine universelle » dont elle est l’auteur.
En ce qui me concerne, j’ai mieux à faire ! Les « intéressé.e.s » feraient mieux de se muscler le cerveau pour débattre des vrais sujets plutôt que d’enculer des lépidoptères… euh pardon, des lépidomtères.
Quant à Ségolène Forgar, le Figaro devrait voir pour la refiler à l’Humanité ou Libération où elle aurait plus sa place, l’intéressée estimant que la comédienne est la cible des « masculinistes ». Kézako, jeune dame sans doute nommée ainsi en hommage à Ségolène R. ?
Cette médiocre journaliste procède à des rappels historiques qui n’ont aucune pertinence puisque la langue de Typhaine D. relève de la fantaisie et n’ayant aucune dimension scientifique, ne peut relever d’une grammaire raisonnée.
Les dérives néoféministes sont un obscurantisme.
N’aurait-il pas été plus simple, honnête et valorisant de parler de Typhaine D. comme une poétesse, qui s’est lancée dans une entreprise poétique comparable à la gageure d’écrire un roman sans la lettre « e » ?
Pourquoi, sinon pour chercher à se faire une publicité, évoquer une grammaire controversée pour ce qui pourrait être une initiative poétique finalement ?
«J’esmère», «partoute»… Typhaine D, créatrice controversée d’une grammaire où «la féminine l’emporte sur la masculine»
La comédienne Typhaine D a créé la «Féminine Universelle», qui consiste en l’invention d’une grammaire féministe. Mais sa démarche en crispe plus d’un, sur Internet comme dans les groupes masculinistes. Rencontre.
En classe de CP, on apprend qu’au pluriel, le masculin l’emporte sur le féminin. Et l’on imagine très bien qu’à l’énoncé de cette règle, des écolières ont très certainement grimacé, quelque peu gênées par le sourire narquois de leurs camarades garçons… Avant de se résigner. Typhaine D, elle, ne l’a jamais digéré. Cette comédienne de 37 ans se souvient de ce jour qu’elle dit avoir vécu comme «une humiliation immense». «C’est un mini-trauma, nous confie-t-elle d’emblée lorsqu’elle nous reçoit dans son salon. Clairement, cette règle signifie que les garçons valent plus que les filles. C’était l’objectif de l’Académie française lorsqu’ils l’ont inventée au XVIIe siècle, masculinisant ainsi la langue française.»
Pour rappel, jusqu’au milieu du XVIIe, la féminisation des professions était en effet naturelle. Les poétesses, médecines, professeuses, philosophesses, peintresses ou encore autrices avaient toute leur place dans la langue française. Pourtant, en 1651, les grammairiens de l’Académie française – fondée par le cardinal de Richelieu en 1635 – décrètent que le genre masculin l’emportera désormais sur le féminin. Une réforme arbitraire qui pose aujourd’hui question et scandalise certaines féministes, à l’instar de Typhaine D. Cette dernière a donc décidé d’inventer sa propre grammaire, la «Féminine Universelle», qui consiste à féminiser ou créer des mots selon un principe : que «la féminine l’emporte sur la masculine». Histoire de rendre à César ce qui appartient à César, ou plutôt de «rendre à Cléopâtre ce qui appartient à Cléopâtre», rectifie-t-elle.
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Ecriture inclusive : Sandrine Rousseau se rebiffe, elle n’est pas d’accord avec Macron. Pour elle, le masculin grammatical n’a rien de neutre. Elle y tient, à ses pointillés, qui d’ailleurs sont illisibles à l’oral. Peut-être, en lisant, faut-il souffler à chaque pointillé ? Elle n’a pas compris.
quelle andouille !
Heureusement nous pourrons continuer, dans son langage, à lui dire qu’elle nous « em-mère-de. »
Comme disait mon grad-père, la connerie humaine est incommensurable!
Je ne savais pas que l’adverbe « partout », était du masculin, bizarre… mystérieux .
Pour la loufoquerie de cette Tiphaine, ça ne me fait pas rire, ou peut-être sur scène, au second degré, comme une parodie du féminisme, c’est à voir…
Pour le collégien, ce serait pas « Zob ton père, nique ta mère » ?
Ah ! la beauté de notre langue, si joliment mise en valeur par les importés !
de nous faire rire
C’est Molière depuis Là-Haut qui a dû lui souffler cette farce, histoire de nous faire à nouveau.
Bonjour Amélie. Molière ne lui aurait jamais soufflé des bêtises pareilles. Ce qu’elle propose (genre exmert pour expert n’a aucun sens et n’est même pas drôle) Son « partoute » pour partout implique une méconnaissance abyssale de la langue française : un adverbe n’a pas de genre. Bref, c’est lourd, stupide, pas drôle, rien à voir avec les trouvailles amusantes et pittoresques des Précieuses Ridicules.
Bref, il s’agit là d’un étalage d’inculture et de médiocrité qui se prétend bien à tort spirituel.
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Bonjour Carole,
On est d’accord bien évidemment.
En fait en imaginant une inspiration de Molière, je pensais aux célèbres comédies « Les Précieuses ridicules » et « Le Médecin malgré lui ».
Différentes thématiques certes, mais le ridicule et la bêtise sont bien là mis en scène….
Sans pères elle ne serait pas venue au monde. Ce n’aurait pas été plus mal.
Rassure-toi Tif Haine, gourde et bécasse sont bien des mots féminins et ils sont parfaitement adaptés à des demeurées de ton espèce.
La psychiatrie, bonjour !
Pour résumer, les féministes des femmes qui ne sont pas bien dans leur peau de femme. Je suis femme et ne me suis jamais sentie écrasée, au contraire, et si c’était le cas je saurais réagir donc pas de souci.
Dans tout ça une chose m’échappe : la voyelle « e » serait féminine….?….
d’où les dégâts du cannabis sur le cerveau
Les noms, notamment de professions, sonnent mieux à l’oreille lorsqu’ils sont au masculin. C’est sans doute ce constat de bon sens qui a amené les hommes du XVIIème siècle à réformer l’orthographe, en optant pour un accord du masculin sur le féminin. Personnellement, je n’ai pas été traumatisée quand, enfant, j’ai pris connaissance de cette règle grammaticale. Et quand on voit ce que deviennent les femmes de pouvoir, ou plus exactement ce que les femmes sont capables de faire quand elles sont au pouvoir, comme Van Der Layen, il n’y a pas de quoi pavoiser !
Mais alors pourquoi appelle-t-elle son spectacle « La Pérille mortelle » et non « La Mérille mortelle »? Je suis un peu merdu.
Bonjour,
Je vous sens très apère …
… et même profondément merturbé par les merles linguistiques de cette méronnelle.
Bonjour,
Perci !
C’est un peu se moquer des précieuses pas si ridicules en face de « ça »
» Et quand tu vois ce beau carrosse, Où tant d’or se relève en bosse, Ne dis plus qu’il est amarante, Dis plutôt qu’il est de ma rente …
xxxxx
pauvre fille
une bonne fessée en public la soignerait peut etre…
comment veux tu faire des gosses avec ce genre de tarée !!!
une poutre de Bamako ? ça lui remettrait ses hormones en place!!
ou une abaya et un seigneur et maître ?
va dégoiser tes délires de tarée en Afghanistan et on en reparle dans quelques mois, connasse malfaisante !
merci à toi Maxime pour ce développé plein d’humour, même si le fond est très sérieux ! » Faire chier son monde! » La donzelle a une tête de…ou d’oeuf !
Bravo et merci, Maxime, pour cette belle descente en flammes de cette précieuse à la fois ridicule et nuisible à la langue française. Elle fait ce qu’elle peut pour tenter de se rendre intéressante, mais son ambition est du niveau le plus puéril. Elle ne s’aime pas, voilà tout ; on comprend pourquoi.
Bonjour,
Merci Maxime !!
Typhaine D la Maboul néo féministe hystérique fanatique d’extrême gauche est la grande spécialiste de la destruction de la langue française en remplaçant les mots masculin en mot féminin pour lutter contre le prétendu sexisme dans sa tête. Greg Toussaint a déjà fait une vidéo sur elle bien avant qu’il soit banni de Youtube et le Crayon avait organisé un débat avec cette folle et la Cartouche un influenceur suisse de droite. La Gauchiasse du Figaro Ségolène Forgar déshonore le journal qui a été dirigé par Louis Pauwels en son temps en écrivant cet article qui pue le féminisme Fanatique hystérique d’extrême gauche frelaté qui inspire le dégoût à l’encontre d’une folie où la langue française se fait massacrée de plus belle.. Libération va devoir recruter la Forgar qui coche toutes les cases du parfait Wokiste !
Si ce n’est pas un gag, c’est assurément le symptôme d’une grosse fêlure, un trouble obsessionnel relevant de la psychiatrie.
Les Précieuses de Molière utilisaient un langage métaphorique, codé, d’une toute autre classe et faisant appel à une certaine imagination, donc rien à voir avec ces inquiétantes stupidités. Ainsi, les « chers souffrants » étaient les pieds (pas les vieux parents comme on pourrait le croire), les « ailes des pieds » étaient les violons (qui faisaient danser), etc.
Le masculin ne « l’emporte pas » pas. Le neutre est marqué par le masculin. Le masculin s’efface, seul le féminin peut être distingué en français. La langue fait avec ce qu’elle a. « Bonjour à toutes » : il n’y a que des femmes, femelles de l’espèce humaine. « Bonjour à tous » : on ne sait pas. Pour distinguer les mâles il faudrait préciser, « bonjour à tous les gars » par exemple. Un effacement du mâle serait un sexisme ? Quelle imbécilité et haine de soi et de sa langue …
A sa mort, il faut absolument léguer son cerveau à la science… Pour s’apercevoir qu’en fait elle n’en a pas. C’est le genre de connasse qui a fait que je hais le féminisme. Pour moi, le féminisme comme ça, c’est ridiculiser les femmes. Nous sommes bien plus intelligentes que ça, ce n’est pas la grammaire ou la conjugaison qui va nous représenter.
👍👍
Bonjour Julie, voilà qui est bien dit et qui devrait revenir par courrier à cette évaporée sans imagination.
Bonjour Julie
Très pertinent votre commentaire !
« le masculin l’emporte sur le féminin. »
On ne donne jamais LA JUSTIFICATION de cette règle, mais il est vrai que moi on me l’a donnée, de mémoire, qu’une seule et unique fois à l’école, et justement parce qu’une fille l’a demandé :
le masculin l’emporte sur le féminin CAR LE MASCULIN EST, généralement, LA FORME LA PLUS SIMPLE, notamment il n’y a pas, le plus souvent, la lettre supplémentaire E à la fin.
Exemple :
BEAU, 4 lettres; BELLE, 5 lettres : la forme la plus simple est le masculin
C’est aussi simple que cela.
Bonjour Laurent, et merci pour l’explication, que j’ignorais. J’aurai appris quelque chose ce matin, aussi agréable que la relaxe de Christine et de B. Germain au tribunal.
“le masculin l’emporte sur le féminin.”
Ceux qui ont imaginé cette formule pour retenir une réglé de grammaire destinée tout bonnement à simplifier celle-ci avaient utilisé pour ce faire une image forte et quelque peu humoristique (à prendre au second degré) afin de la fixer dans les mémoires, dans le style « pub » … Ils ne s’attendaient sûrement pas à une telle névrose féministe, quelques décennies plus tard faisant virer l’affaire en drame aussi démesuré que ridicule. Mais l’enculage de mouches semble une règle chez les néo-féministes. Une règle qui ne sert à rien, apparemment, vu l’absence totale de résultat y compris pour des faits autrement plus graves.
Bonjour,
Bien vu !! :=)
Elle a été bercée trop près du mur quand elle était bébé, ça laisse des traces.
on voit ce que ça donne d’ abandonner la France et sa culture