L’islam applique ses principes à la lettre, en Israël aujourd’hui, en France demain

Une telle accumulation d’illusions…

Nous avons la confirmation de cette remarque sociologique par l’enfoncement de la population palestinienne dans l’attentisme, la pauvreté, la hargne, le racisme, l’immobilisme, la résignation et la soumission, la préférence pour une vie dans l’Au-delà plutôt que la seule vie terrestre réelle, pour les miracles, l’irrationnel, le merveilleux.

Les chefs religieux musulmans, qui ont succédé aux sorciers, aux chamans, aux gourous, profitent de cette naïveté et de cette ignorance de leurs troupeaux et les mènent là où ça leur rapporte le plus.

Le Hamas est l’une des organisations militaires des Frères musulmans, qui sont d’obédience sunnite ; il contrôle Gaza (2 millions de Palestiniens). Le Hezbollah, lui, est d’obédience chiite, et contrôle plusieurs camps de ‘’réfugiés’’ au Liban, avec l’aide financière de l’Iran chiite.

Le but du Hamas, en lançant cette importante attaque du 7 octobre depuis Gaza sur le territoire même d’Israël, était manifestement double.

1. Envoyer un message à destination de l’Arabie Saoudite.

2. Et un autre message à destination des ‘’Palestiniens en exil’’ : ils sont environ environs 6 millions recensés par les agences des Nations Unies.

La reconnaissance officielle de l’Etat d’Israël par l’Arabie Saoudite, telle qu’elle était préparée à Ryad et aux Nations Unies à New-York, ne pouvait pas être du goût de nombreux musulmans attachés à combattre les juifs comme ennemis héréditaires, nommément cités dans les textes sacrés de l’islam. Reconnaître Israël c’est, pour la plupart des musulmans, renier l’islam.

Reconnaître l’Etat d’Israël sur le territoire aujourd’hui géographiquement défini n’est pas davantage acceptable par la grande majorité des Palestiniens ni par leurs amis, qu’ils soient Arabes, qu’ils soient musulmans, et qu’ils soient pro-palestiniens de nombreux pays.

Les intérêts de l’Arabie Saoudite, pays d’origine de l’islam et phare des musulmans, ne coïncident plus avec ceux des Palestiniens et de leurs amis. Le Hamas se devait de manifester un rappel de désaccord qui vaut menace : si MBM signe cet accord de reconnaissance d’Israël et de coopération avec ‘’l’identité sioniste’’ (termes consacrés pour éviter d‘avoir à nommer l’ennemi inexistant ou à l’existence à refuser), il y aura une nouvelle fissure dans le monde arabe et dans l’Oumma, sous la seule responsabilité de l’Arabie Saoudite désignée comme traître à l’égard des Arabes et des musulmans.

De la part des jeunes Gazaouis qui se sont laissé embarquer dans cette aventure, c’est aller au martyre sans la moindre chance d’en tirer profit : Gaza ne pèse pas lourd dans les préoccupations et les intérêts des monarchies du Golfe ! Mais leur fanatisme religieux les aura aveuglés. Ils auront fait des morts et des blessés pour rien, des deux côtés.

En 1948, ce furent entre 800 et 900.000 Palestiniens (sur 1.400.000 qui vivaient sur place) qui prirent le chemin de l’exil, la plupart en emportant la clé de leur maison ou de leur appartement, persuadés d’y revenir quelques semaines ou mois plus tard. D’autant plus qu’une résolution (N° 194), prise en Assemblée Générale des Nations Unies, reconnaissait aux Palestiniens le « droit au retour ».

Aujourd’hui, 75 ans plus tard, donc au moins 3 générations plus tard, ce sont entre 6 et 9 millions de descendants de ces exilés qui nourrissent l’illusion qu’ils sont toujours Palestiniens, qu’ils ont toujours droit au ‘’retour’’, qu’ils devraient tous pouvoir vivre en Palestine.

Or 33% de ces ‘’Palestiniens’’ vivent dans des camps administrés par l’UNRWA (agence des Nations Unies pour les réfugiés) : 58 camps, autrefois en toile, sont maintenant construits en dur au Moyen-Orient (19 en Cisjordanie, 8 dans la bande de Gaza, 12 au Liban, 10 en Jordanie et 9 en Syrie). Les populations de ces camps sont assistées par l’UNWRA (dispensaires, écoles, aides sociales) mais se désocialisent au fil du temps : en Palestine, la moitié sont apatrides et la moitié aussi ont moins de 15 ans : on sait faire des enfants dans ces camps où le chômage atteint 33%. D’autres ‘’Palestiniens’’ ont trouvé des solutions en émigrant en Europe et aux Etats-Unis. Mais ils cultivent l’illusion qu’en chassant les Israéliens (le coran, qu’ils connaissent par cœur, dit « les infidèles ») des ‘’territoires occupés’’ ils pourraient ‘’revenir’’ en Palestine créée sur l’ex-Israël.

Ce fantasme du ‘’retour’’ est entretenu par leurs chefs religieux, au nom du coran, d’où la toujours vivacité de l’antisémitisme dans la population musulmane,  par leurs responsables politiques (liés au Hamas ou au Hezbollah), par les associations ‘’pro-palestiniennes’’, liées aux partis politiques islamo-gauchistes qui encouragent ce rêve impossible du remplacement d’Israël par l’arrivée de 6 à 9 millions de descendants de Palestiniens, par le symbole de la clé partout présente à leurs yeux sous forme de dessins, peintures et sculptures géantes. (voir illustration ci-dessus, là, c’est à l’entrée du camp de Palestiniens d’Aida, en Cisjordanie)

Ils ne se posent pas la question de l’impossibilité d’un tel  scénario. Ils sont dans le rêve le plus fumeux, le méga film, le péplum, la traversée de la mer Rouge à leur tour, telle qu’ils l’ont vue au cinéma. Israël est éradiqué, anéanti, disparaît dans une explosion et, à la place, ‘’reviennent’’ 6 à 9 millions de ‘’Palestiniens’’ qui brandissent les clés de quelques centaines de milliers de maisons qui existaient en 1948.

Ils ne se posent pas la question de ce que deviendront les près de 9 millions d’Israéliens : tués ? chassés où ? convertis de force à l’islam ? C’est du niveau du miracle, de la magie, cela correspond aux imprécations lues et relues dans le coran et fulminées dans les mosquées : « Tuez les infidèles partout où vous les trouvez » (5, 5) ; « Combattez les infidèles jusqu’à leur soumission et que l’islam seul règne » (2, 193) ; « L’islam doit prévaloir sur toutes les autres religions » (3, 85) ; « Quand les musulmans tuent les infidèles, c’est Allah qui les tue en réalité » (8, 17), etc.

Ils ne se posent pas la question de la réaction des Palestiniens actuels vivant aujourd’hui en Cisjordanie (5 millions) et à Gaza (2 millions) et qui ne les attendent pas !  Les mentalités sont différentes, ont évolué complètement différemment, peu de choses relient ces diverses populations, les unes traditionnelles (restées sur place) et les autres occidentalisées, n’ayant plus de ‘’palestiniennes’’ que le nom qu’ils se donnent et l’illusion d’une identité artificiellement entretenue. Les gens des camps, qui n’ont jamais travaillé et ont vécu en attente du ‘’retour’’ ne se mettront pas facilement au travail ni à accepter des règles d’une société qu’ils n’ont pas participé à construire.

Or, ce fantasme du ‘’retour’’ de gens qui n’ont jamais été en Palestine, 75 ans après le départ de leurs grands-parents aujourd’hui disparus, est toujours utilisé par les ennemis d’Israël et des Juifs pour entretenir une guerre dont l’issue est connue : Israël conforte son territoire et les Palestiniens, s’ils veulent être réalistes, doivent se montrer intelligents et accepter de vivre en paix et en bonne entente avec leurs voisins. En demandant aux amis descendants des Palestiniens exilés en 1948 d’abandonner les idées de revanches, de ‘’retour’’ et d’obéissance aux ordres du coran et de l’islam.

Mais allez faire comprendre cela à des gens qui ont le coran comme guide de société et de vie et qui confondent girouette et boussole…

La société française est prévenue. Les maires collabos et constructeurs de mosquées entendent ces mêmes ordres dans leurs villes : « Tuez les infidèles partout où vous les trouvez » (9, 5) ; « Combattez les infidèles jusqu’à leur soumission et que l’islam seul règne » (2, 193) ; « L’islam doit prévaloir sur toutes les autres religions » (3, 85) ; « Quand les musulmans tuent les infidèles, c’est Allah qui les tue en réalité » (8, 17), etc.

C’est de notre devoir de nous opposer à cette folie, à ce non-sens, à cette islamisation criminelle de la France.

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