Décidément toute la crapulerie woke états-unienne a une dent contre la France et une vilaine dent.
Eugénie Bastié se fait l’écho dans une tribune du « Figaro » d’un livre haineux contre Albert Camus, livre traduit aux éditions « la Fabrique », par ailleurs éditeur indigéniste de la mégère haineuse Bouteljda.
Albert Camus m’a passionné, à mon adolescence.
J’avais ouvert « l’Etranger » à 14 ans et je l’avais vite refermé.
La très célèbre première phrase du roman » Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. » m’avait bouleversé et je ne me sentais pas du tout capable d’aller plus loin.
Un ou deux ans, plus tard, j’ai repris ce roman et ce fut un enchantement.
Un choc littéraire, à jamais.
Enchantement qui s’est reproduit, quand, bien plus tard, sur « Radio Libertaire », j’ai entendu le disque où Camus, lui-même, dit son livre.
Curieusement , avec le recul, j’ai pris conscience, que lisant le roman , au début des années 70, j’étais absolument « étranger », pour le coup, au contexte du livre que je ne comprenais pas du tout.
C’est plus tard que j’ai compris que la France avait colonisé l’Algérie, ce qu’était un pied-noir etc
Preuve que déjà en ces années-là, moins de 10 ans après la fin de l’Algérie française , la page était tournée, définitivement tournée.
Les Français ne voulaient plus entendre parler de l’Algérie et de fait ils n’en parlaient pas, ils n’en parlaient plus , plus du tout : trop douloureux.
C’est la faillite complète des régimes arabo-musulmans incapables qui a entraîné l’immigration-invasion massive que l’on sait qui nous impose matin, midi et soir (coucou Plenel !) des dissertations mensongères à n’en plus finir sur le sujet.
Nous devrions nous poser en accusateurs des musulmans anti-français qui immigrent chez nous, pour leur incohérence : ils ne voulaient plus de la France en mars 1962, mais, dès l’été 62, ils n’ont eu aucune pudeur pour venir lui demander leur pain.
Mais les Gauchos, à la Plenel, ont réussi à tellement pervertir les faits, que c’est nous qui nous retrouvons en accusés, par ces militants et colons musulmans, musulmans donc, oui, suprémacistes.
Bref, à l’époque, j’ai lu Camus, j’ai lu Sartre : leur débat sur le totalitarisme, datant des années 50, me passionnait et je me contrefichais des livres abscons, alors en vogue des Deleuze, Guattari, Foucault et autre Derrida.
Le sort des pays de l’Est m’apparaissait autrement important que les petits délires individualistes de ces gens-là.
Et, justement, j’en viens à mon propos principal : les délires de ces petits bonhommes, dont je viens de faire la liste, exportés aux Etats-Unis, nous reviennent dans la g***, en 2023, sous le nom de « French Theory », coeur de la Déconstruction, coeur du Wokisme.
L’un des épigones états-uniens de la « French Theory », Olivier Gloag, vient de sortir un livre ignoble dont Eugénie Bastie rend compte avec une juste fureur : « Oublier Camus ».
D’après la recension de Bastié, (je n’ai aucune intention de lire le torchon de Gloag) tout est bon pour accabler Camus, en glorifiant Sartre, par ailleurs.
Camus n’a pas été anticolonialiste, il a été selon Olivier Gloag, « un colonialiste forcené ».
« L’Etranger » : « un chef d’oeuvre de racisme ».
« La Peste » : une charge contre la démographie arabe.
« L’Homme révolté » : un texte anticommuniste donc « fondamentalement réactionnaire »
etc etc
Bien entendu, comme tout bon idéologue woke, Olivier Gloag charcute les textes pour leur faire dire exactement le contraire de ce qu’ils disent.
Eugénie Bastié donne un exemple des manipulations ignobles de Gloag :
Il s’agit pour Gloag, avec cette « citation », de démontrer que Camus était raciste.
Cette crapule, j’ose le mot, a tronqué la phrase de Jean Grenier qui se poursuivait ainsi:
«ne voulant pas dire que les Arabes le gênaient par leur présence, mais par le fait qu’ils avaient été dépossédés.»
Mais les vomissures de ce type ne sont pas terminées, il lui faut faire une profession de ce faux féminisme de 2023…
Camus avait le grand défaut pour ces coincés puritains protestants états-uniens, très mal repeints en Gauchistes, d’aimer beaucoup les femmes.
Et donc il est décrit, par Olivier Gloag, comme un horrible mâle blanc hétérosexuel « adversatif » (sic) aux femmes.
Ce Gloag, enseigne , paraît-il, la littérature française en Caroline du Nord :
https://www.unca.edu/person/oliver-gloag-ph-d/
La littérature française se passerait aisément d’ « amis » comme ce type…
Bien entendu, il fait une tournée, armé de son livre, à Ulm, à Sciences-Po, dans les facs françaises, où tous les Gauchos français ne manqueront pas de lui faire fête …
« Oublions Gloag », lisons et relisons Camus !
Cher lecteur, la bibliographie, si tu as de l’argent à jeter dans le caniveau, moi pas :
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Faites savoir CONCRETEMENT à ce wokiste yankee, olivier « cloaque » gloag, que vous partagez pleinement l’analyse exposée dans cet article :
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Je suis assez réfractaire au wokisme, cancel culture, identité de genre. Pour moi ce sont des modes. C Churchill qui en parle le mieux, des États-Unis. Ils sont passés de la barbarie à la décadence, sans passer par la civilisation.
Ils sont jaloux de l’Europe, ils n’ont pas de passé, on est une jeune civilisation, j’inclus le Canada. La plus vieille ville c Québec en Amérique du Nord, on a fêté ses 400 ans en 2008. l’Europe vous avez des villes qui sont millénaires. On a les défauts de la jeunesse, dans le cas des États-Unis, c l’arrogance, avec ce qu’il s’en vient, ils vont apprendre l’humilité.
Camus est un très grand de la littérature française, n’en déplaise à ce minable et obscur wokiste yankee…Je suis d’accord avec l’auteur de ce texte ; l’étranger est « un choc littéraire à jamais »….Que n’aurait-il pas écrit et dit par la suite si la Facel Vega qui le transportait à vive allure n’avait pas fini si lamentablement dans un platane? On a tous en nous quelque chose de Camus….
Bonjour,
Merci :=)
bon bref ce gloag cloaque est un enc…
on se fiche de ce que peux dire cet olibrius sans intérêt : le wokisme étant un tas de fumier, le wokiste y reste perché comme le coq !
J’ai lu « L’étranger » mais je n’ai jamais compris pourquoi le sens du mot étranger avait été de mon point de vue autant dénaturé. Il n’existe qu’un mot en français alors qu’il y en a deux en anglais : stranger et foreigner. Stranger a été celui qui m’est venu à l’esprit et non foreigner. Je n’y ai jamais ressenti aucune idéologie mais plutôt le cas d’un jeune homme psychopathe ne ressentant aucun sentiment pour autrui quelque soit ses origines.
Mais c’est qui ce connard ? Il cherche de la publicité pour se faire mousser et c’est tout.
Aux chiottes, et on tire la chasse.
C’ est toujours pareil, la médiocrité qui s’ attaque à l’ excellence, le temps d’ une courte jouissance médiatique. Et retour dans leur tanière favorite, les égouts. Peut-être que le mieux, c’ est de n’ en point parler? Juste le doigt ( à vous de choisir lequel) sur sur le bouton qui nous débarrasse des matières fécales.
Ou comment sortir de l’anonymat et du ruisseau en crachant sur quelqu’un de connu et de respectable et en s’en vantant. Cet Olivier Gloag ne fait qu’utiliser un vieux stratagème d’utilisation de l’autre en le rabaissant. Merci, Antiislam, pour nous signaler ce courageux article d’Eugénie Bastié.
Je n’avais jamais entendu parler de ce olivier CLOAQUE avant cet article …
Et tout ce qui vient des gauchos ne m’intéresse en aucune manière …
Merci pour cet article qui me permettra d’oublier cette merde dès que j’aurai fermé cette fenêtre, sans rancune aucune bien évidemment, Ami Patriote Antiislam :-))
J’ai toujours adoré Camus. Je ne comprends pas que sa pensée humaniste puisse déclencher tant de haine.
Tout est bon pour détruire notre pays. Son passé, son présent, son avenir.
La thèse de ce twisted Oliver est aussi critiquée par de ses pairs (universitaires), aux Etats-Unis mêmes :
https://www.erudit.org/fr/revues/pir/2021-v41-n2-pir06106/1078053ar/
Bonjour,
Un grand merci pour ce lien !
Olivier Gloag est un sale Wokiste deconstructiviste de merde qui crache sur un auteur comme Albert Camus qui dénonce les ravages de la Guerre d’Algérie mais c’était aussi un auteur qui met en avant une forme d’humanisme mais pour Gloag c’est un colonisateur, Un Méchant selon lui. Olivier Gloag l’indigeniste comme Houria Bouteldja est édité par la Fabrique une maison d’édition d’extrême gauche dont la haine de l’Occident est très vive. Le Wokisme : Une idéologie d’extrême gauche, Satanique qui détruit toutes les valeurs !
Deux livres que j’ai lus en 3eme. J’ai beaucoup aimé La Peste, moins l’Etranger, qui était bizarre.
« La peste » est un livre polymorphe qui peut s’adapter à tous les phénomènes sociétaux : l’islam, le covid, le wokisme et tout ce qui se rattache à la liberté d’expression.