Témoignage : chronique des déboires ordinaires quand on est typé Français de souche

Mardi 19 septembre au matin, je me suis rendue dans un cabinet de radiologie pour un examen. Préférant toujours être en avance à mes rendez-vous, j’avais prévu un livre pour m’aider à patienter. D’ailleurs, un livre de poche m’accompagne en toutes circonstances, pour mieux supporter les transports en commun ou quand je vais en consultation médicale, comme ce fut le cas ce jour-là.

Ce cabinet de radiologie comporte deux salles d’attente, or la plus grande étant déjà bien remplie, je me suis installée sur l’un des sièges alignés le long du couloir, proche de l’entrée. Alors que j’étais assise depuis déjà un bon moment, j’ai levé la tête de dessus mon livre et le hasard à voulu qu’à cet instant précis, une femme qui était aussi présente pour une consultation, passe dans le couloir devant moi, le visage tourné de mon côté tandis qu’elle se dirigeait en sens inverse. Et quelle ne fut pas ma surprise de l’entendre dire : « Qu’est-ce qu’elle a à me regarder ? » sur un ton tout aussi profondément étonné qu’énervé, avant de poursuive son chemin vers la salle d’examen…  

Cette réflexion était d’autant plus surprenante et injustifiée que mes yeux s’étaient posés sur sa personne par hasard et naturellement. Par conséquent, cette réaction infondée m’a mise mal à l’aise. Mais, rapidement, cet incident est venu corroborer tout ce que j’apprends depuis des années grâce aux sites patriotes, j’étais soudain, malgré moi, en terrain connu. En effet, il m’avait suffi d’un simple regard pour voir qu’il s’agissait d’une « Française d’Outre Mer ». Afin de ne vexer personne, je ne dévoilerai pas le nom de l’île d’où cette femme pouvait être originaire. Il ne s’agissait pas d’une musulmane voilée, mais d’une métisse, ni noire ni blanche. Mais, à mon avis, insuffisamment blanche à ses propres yeux pour éprouver de la rancœur envers les « vrais » Blancs. Elle arborait une sorte de turban sur la tête et, outre sa couleur de peau, c’est cet élément vestimentaire caractéristique qui m’a amené à penser qu’elle était native d’une île lointaine. C’est aussi une question d’expérience et de flair de savoir appréhender, à peu près, d’où viennent ceux que nous sommes amenés à côtoyer…

Cela étant dit, mon tour n’étant pas encore venu, je me suis replongée dans ma lecture, tout en faisant de courtes pauses de temps à autre. Ainsi, au bout d’un moment, quand j’ai aperçu la silhouette exotique dans le fond du couloir, venant dans ma direction, je me suis appliquée à rester les yeux rivés sur mon livre car je savais d’instinct qu’il ne fallait pas la regarder, sachant qu’elle appartenait à la catégorie d’individus perturbés qui aiment faire des histoires. J’aurais voulu me tromper. Hélas, mon instinct ne m’avait pas trompé car, alors que j’étais toujours tête baissée, cette femme au lieu de prendre la porte de sortie et de partir s’est immobilisée sur le pas de porte. Au bout de quelques minutes, sentant sa présence inquisitrice, j’ai levé la tête et j’ai vu que cette femme qui avait été offusquée parce que mes yeux s’étaient posés sur sa personne un moment plus tôt, de manière accidentelle et furtive, me scrutait, elle, avec insistance… Elle avait un air agressif, haineux. J’étais stupéfaite car j’avais imaginé que sa visite étant terminée elle allait partir au lieu de se poster devant moi et de m’observer. Sous son regard mauvais je suis restée statique, certes interdite par son attitude mais non intimidée. Je n’ai pas baissé les yeux. Elle a fini par ouvrir la porte et avant que le battant ne se referme j’ai entendu l’insulte : « Salope ! »…

 

Ce n’est pas la première fois que je me fais traiter de salope sans raison par une vermine importée. Et avec le recul je me dis que ces gens ont vraiment des problèmes psychiques graves car, je vous le demande, qui ne subit pas le regard des autres, volontairement ou involontairement, bienveillant ou malveillant, tous les jours dans notre société ? Il est fréquent que des gens me fixent sans que je sache pourquoi mais jamais il ne me viendrait à l’idée de les agresser et de les insulter même si leur insistance me gêne ou m’interroge !

C’est bien à cette différence que l’on mesure le fossé qui sépare les Français de métropole de certains « Français d’ailleurs » ou étrangers non européens…

Evidemment, comment ne pas penser au syndrome du « Mauvais Regard » ?… Comment, rétrospectivement, ne pas être glacée d’horreur en pensant au sort de ces jeunes Français qui ont été tués, massacrés, au motif qu’ils auraient eu ce fameux « mauvais regard » ?  Pour ma part, il ne s’agissait pas de « jeunes » de banlieue mais d’une femme, d’une quarantaine d’années environ, ayant apparemment le même problème culturel que ceux des banlieues qui ne supportent pas le regard des Français… Tout est dans leur tête et c’est bien là où se trouve le danger car il faut dès lors comprendre qu’en un rien de temps, sans raison valable, tout peut basculer et nous pouvons devenir des victimes, mourir, sans même avoir eu le temps de comprendre ce qui se passe…

 

J’ajoute cependant, pour conclure de manière positive, que lire l’actualité sur nos sites, aussi dramatique qu’elle soit et surtout grâce aux alertes quotidiennes des contributeurs de RR et RL, l’effet de surprise devant l’attaque est moindre. Or, je pense qu’une prise de conscience rapide dans de telles situations, permet d’opposer l’attitude qui convient. Il est important de conserver son calme et de ne pas répondre à l’agressivité, à la violence par de la violence. Evidemment, je parle en tant que femme et j’imagine que si un de nos jeunes reçoit des coups il devra les rendre.

Je suppose que certains m’objecteront que j’aurais dû tenter de l’interroger sur les raisons de sa hargne mais une parole avec ce genre d’individu peut être l’étincelle qui met le feu aux poudres et je ne voulais pas d’un esclandre dans le cabinet médical. D’autant que dans ce genre de dispute on devient vite suspect aux autres alors que nous sommes l’agressé. Il faut savoir penser à tout en quelques secondes pour prévenir le pire…

Dans mon titre, j’ai mis « déboires » au pluriel car j’ai plus d’une histoire à raconter et je réserve à une autre fois la suite, si toutefois cela peut intéresser.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais, je ne peux terminer sans évoquer ce qui m’est arrivé ce matin : j’allais prendre un bus pour me rendre en ville quand, de loin parmi d’autres personnes qui attendaient sur le trottoir, j’ai aperçu, et surtout entendu, un énergumène qui vociférait à pleine voix des bordées d’injures. En m’approchant, j’ai compris qu’il ne s’adressait à personne en particulier, il criait devant lui, étant seul à savoir à qui il destinait sa grossièreté : « Bande de nazes, fils de putes !…», etc… Naturellement, il s’agissait d’un homme d’Outre-Méditerranée, grand et costaud mais dont le cerveau était HS, juste bon à jeter des imprécations. Quand le bus est arrivé il était proche de moi mais j’ai gardé la tête baissée, évitant à tout prix de croiser son regard. Il s’est calmé et n’a pratiquement plus rien dit pendant le trajet. Il avait dû zapper ses médicaments car il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait d’un malade mental.

 

Il est aisé d’imaginer dans ces conditions, enfermée dans un bus, que l’on puisse craindre le pire de la part d’un tel individu. Heureusement, il n’a pas sorti de couteau mais son portable, tout en marmonnant…

 

Pendant tout le trajet, il était debout devant moi et j’ai évité de le regarder. Et c’est un fait que ces gens nous amènent à leur bestialité. Car chacun sait que pour certains animaux, les chiens, les loups, se regarder dans les yeux est un signe d’hostilité… Je ne veux pas manquer de souligner que j’ai toujours su établir des liens amicaux avec les animaux, même inconnus, même sur leurs gardes… Des clignements d’yeux et le message est toujours passé, pour le meilleur. Je n’en dirai pas autant avec ces humains, je ne tenterai pas l’expérience.

 

 

 

 

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28 Comments

  1. Hélas, être Français en France commence à nous poser des problèmes du fait que tout un tas de sinistres individus qui n’ont rien à faire sur notre territoire et qui, pour certains, auraient du bénéficier d’un bon coup de pied au cul pour faire respecter l’OQTF auquel ils sont soumis, ne nous supportent pas. Nous sommes chez nous mais nous devons nous adapter à eux !!!!
    Quant aux décérébrés dont la faiblesse du QI ne leur permet pas de se comporter normalement que faire ? Hélas, rien si ce n’est se préparer et surtout ne jamais baisser les yeux devant eux. Pour une femme il existe des bombes au poivre, des bombes lacrymogènes qui peuvent aider le cas échéant.

  2. J’ai vécu cette haine du béké comme ils disent en Guadeloupe où nous ne sommes pas désirés mais à un point inimaginable !
    Seulement , ayant 1 fort caractère , je ne me laissais pas faire et leurs disait ma façon de penser !
    Par contre , j’étais sans cesse énervée, c’était invivable .

  3. Un truc les déstabilise énormément : Au lieu d’amorcr un dialogue aussi pénible qu’inutile avec eux, traitez-les d’emblée de racistes, effet garanti : Privés de leur argument fétiche, ils se retrouvent comme des cons, interdits.

  4. Je vous comprends mais cela m’énerve fortement. J’en ai marre que nous, Français bien élevés, subissions la haine des importés, des envahisseurs protégés !
    Jeune, on aimait se faire regarder par les filles et inversement ; maintenant, il faut baisser les yeux sous peine de peut-être mourir.
    Je ne sais plus quoi écrire pour exprimer ma haine en voyant mon pays vendu ou donné à ces sous-diarrhées alors que nous avons fait de notre mieux pour le maintenir en bon état.

  5. Les Français purs jus et les Racailles de l’immigration s’affrontent dans une guerre ces mêmes Racailles de l’immigration veulent massacrer des Français avec une haine viscéral envers les autochtones simplement pour les remplacer et conquérir plus de territoire mais la Gauche égalitariste ne voit pas que cette guerre est une guerre civile qui ne dit pas son nom !

    • quand un français est prit à partie par une racaille la police prend le parti de la racaille.
      Au nom de la loi MON CUL.
      Ils nous trahissent chaque jour, je ne compte plus sur eux depuis très longtemps. Nous sommes en guerre et ces collabos au service d’un pouvoir anti France tout autant qu’anti Français nous empêche de rendre coup pour coup.
      Sales traîtres!
      La trahison se paie en trahison, la macronie se fout bien d’eux, on en a la preuve comme l’exemple de Nanterre, entre autres

  6. Trois choses : tout d’abord vous avez eu raison de faire profil bas devant quelqu’un qui cherche visiblement à agresser quoi quon fasse. Ensuite UN LIVRE !!!! si ça se trouve c’est l’ensemble livre+couleur qui a cristallisé la haine. Et enfin, s’il vous arrive de devoir aller jusqu’à vous défendre officiellement, une des chos.se à utiliser comme argument, c’est que si ELLE A VU que vous la regardiez, c’est QU ELLE MEME VOUS REGARDAIT. D’ailleurs ça s’est confirmé à la fin ..

  7. Oui quoiqu’on en dise, rien à voir avec la vraie France.

    Cela m’est déjà arrivé, en général, regardant droit dans les yeux (regard doux…), je pose une question d’une manière très polie. En général, le quidam (ou la) baisse les yeux gêné, ils ne sont pas habitués et ne s’y attendent pas, c’est l’effet de surprise.

    Bien sûr je n’ai pas essayé dans les lieux hantés par la jungle où je ne vais jamais.

  8. Je crois que certains perçoivent à notre habillement, notre politesse, notre distinction, notre respect, nos occupations… qu’on n’est pas du genre à se laisser embobiner par Macron ou Mélenchon. Je suis impressionné par le nombre de personnes qui m’ont catalogué « lepéniste » sans même que j’aie évoqué mes opinions politiques. Déjà le fait de lire un livre plutôt que d’être scotché à son smartphone (je suis comme vous même si Wikipédia ou Hérodote sont d’excellents compagnons de salle d’attente) vous classe immédiatement dans le camp de ceux qui pensent (mal à leurs yeux) et refusent de subir.

    • « vous classe immédiatement dans le camp de ceux qui pensent (mal à leurs yeux) et refusent de subir. »

      De tout façon, ceux qui pensent déjà sont mal vus. C’est un indice au niveau des dictatures, ce sont les premiers rejetés.

  9. Quand je dois me rendre en « ville » bien pourrie avec mes enfants, pour des rdv médicaux, je leur répète les règles élémentaires de sécurité, nommées ainsi devant eux.
    1) Ne les regardez pas
    2) ne faites aucune remarque quoi qu’ils disent ou fassent
    3) ne vous éloignez pas de moi

    J’ai un cran d’arrêt, une mini matraque téléescopique sur moi, je reste sur le qui-vive et surveille les alentours. Je leur ai expliqué que cette vigilance ne peut pas tout éviter, mais au moins on aura pas la sidération de l’effet de surprise. Nous ne perdrons pas de temps à nous demander le pourquoi du comment de la chose. Apprendre à se méfier au lieu de seriner bêtement  » faut pas avoir peur de l’AUTRE » est l’une des leçons les plus utiles d’un parent à ses enfants.
    Hélàs…………………..
    J’enrage de devoir m’adapter mais je le fais, pour que nous puissions vivre.

    • Vous avez tout à fait raison, hélas. J’avais 10 ans en 1974 et on pouvait se balader seul pour aller à la biblio ou marchand de jouets etc…
      Maintenant c’est la Colombie ce Frankistan.
      Je vous comprends et il vaut mieux être parano donc sur ses gardes, que relax et agressé par surprise.
      Continuez à apprendre cela à vos enfants car ce n’est pas demain que nous serons libérés de cette horrible invasion.

    • Suite tjrs tenir son chien en laisse, ne pas laisser sortir son chat dehors, etre vêtu « pudiquement »(f/h), ne pas porter de bijou ni de sac, ne pas demander l assurance si accident de voiture ou autre avec eux etc

  10. Ce n’est pas nouveau. J’ai toujours vu des jeune Arabes en région parisienne qui dévisageaient les gens avec provocation. Et si ensuite on les regardait aussi, il invoquaient ,un mauvais regard. Ça s’appelle « chercher la bagarre ».

    • Ces merdes hurlent nikelapolice et hurlent aux bavures, mais c’est la POLICE qui les protège. S’ils cherchent la merde avec qqun qui leur fout une raclée, ce dernier ira tout droit au tribunal et écopera du maximum. Pareil en juin dernier ceux qui prétendaient protéger leurs biens étaient embarqués devt des racailles hilares de voir ça. Si je retrouve la vidéo je vous la donne

    • Jeune mariée depuis 2 ans, cadre active et future maman (de 6 mois) de mon premier, toute fière de mon « état », en 1978, je prenais le métro Alfortville pour me rendre à la gare Montparnasse rejoindre mes parents (et mon chéri, en école supérieure- internat) en Bretagne . 2 racailles grises (déjà !) d’une quizaine d’années, peut-e^tre 18, me dévisageaient, moi, ma petite valise et mon ventre rondelet sous robe ad hoc, et m’ont lancé « la pilule, tu connais pas , TOI !  » Un choc ! déja , le tutoiement , et le reste..J’ai failli en avoir les larmes aux yeux

  11. Ces gens là ne sont pas humains, ce sont des monstres sortis de l’enfer. Même les animaux se comportent mieux qu’eux. Ils ont rien à foutre chez nous, dehors.

  12. Ces gens-là sortent à peine des limbes des premiers primates. Les réflexes d’agressivité ne se sont pas encore dissipés. Ils faut les ramener sur leurs territoires d’origine où ils pourront exprimer ce que leur dicte leur instinct. En milieu civilisé, on se regarde sans crainte, on se sourit, on se salue.

  13. C’est vrai, même les bountys viennent nous chercher la merde ! Il y a quelques mois une voiture c’est arrêter en plein devant le portail de chez une de mes sœurs, nous étions à table, ma sœur est sortie dire au conducteur qu’il était garé devant la porte de la cour et que personne pouvait sortir. Le conducteur était en fait une bounty des îles qui a aussitôt traité ma sœur de raciste et qu’elle allait revenir avec des amis pour mettre le feu chez des sales blancs, alors nous sommes tous sortis dehors et nous n’avons jamais revu cette merdeuse enturbanée et « ses amis »…

    • depuis le « summer of floyd » ils se sentent plus pisser.
      Ajoutez à ça le wakanda, les pyramides électriques, les délires wokistes mettant les noirs jusque chez les Viking pas étonnants.
      Ils sont cons et prétentiards, ça les flatte

      • Les complexes d’infériorité les submergent. Je suis ainsi nantie d’une voisine, qui se prétendait médecin en précisant le nom de l’hôpital où elle était censée exercer ses talents. Les médecins que nous connaissions avaient consulté l’organigramme du dit hôpital: évidemment, elle n’y était pas. Maintenant, « retraitée », elle se prétend extrêmement riche depuis le décès de son père. Elle a surtout mis le grappin sur un jocrisse assez friqué et esseulé. Et elle s’en est prise à à peu près tous les voisins. Elle est d’une grossièreté confondante.

        • je connais ce genre de cas.
          J’en ai eu un comme collègue aide soignant dans un service de soins à domicile associatif (ils prennent pour ainsi dire n’importe qui) qui se disait médecin, il savait pas prendre la tension
          Ben voyons…

          • mon marchand de fruits et légumes est « dentiste » a Djerba……aprés avoir « étudié » a Paris…
            il a trois boutiques en periphérie de Paris
            menteur comme un arracheur de dents
            Esope peut dire qu internet est bien la meilleure et la pire des choses

      • Oui ; Constaté en vacances (chez ma cousine qui y a une entreprise) à la Martinique: Les bonnes femmes, surtout les jeunes sont hautaines, puantes et bêtes..;le seul autochtone intelligent, aimable et accueillant que nous avons rencontré était…un institeur noir de noir rentrant d’un séjour de 4 ans en  » métwopole » parisienne.

  14. Ce n’est plus possible de vivre comme ça, dans ce climat de crainte. Je hais ces connards de politiques qui ont bousillé la France.

    • Julie la peur fait partie de la conquète ( mahomet) ils font en France ce qu ils ont fait en Algérie Il n y a pas de musulman modéré car même si l un d eux veut vivre normalement, ils se surveillent tous les uns les autres( les vieux surveillent le comportement des femmes, tous font le ramadan, certains vont même voir dans les poubelles) Tous freres dans l oumma, aucun ne dénoncera l autre ( ou se battra contre un autre musulman, interdit par mahomet, les califes ont du trouver des excuses bidon :ex » ils ont trahi mahomet »)

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