La plus grande arnaque du siècle ? Le réchauffement climatique dû à “l’activité humaine” en CO2

Qu’affirment nos ignares d’écolos dinguos dans leurs délires ? La production humaine de CO2 (appelée aussi dioxyde de carbone ou gaz carbonique) pollue l’atmosphère et induit, ipso-facto, le réchauffement climatique.

Ces puissants du cervelet affirment aussi qu’il faut, coûte que coûte comme le dit leur chef nazi Macron, réduire la production de CO2 à zéro, et tout doit être fait pour cela même si c’est au prix de la destruction totale du pays, voir même la disparition de sa propre population. Ils savent tellement de choses, ces cerveaux auto proclamés écolos…

Bien. Voyons cela de plus près.

Il est d’abord important que votre serviteur précise qu’il n’est pas un savant de la climatologie et qu’il est loin de connaître toutes les démonstrations, toutes les études, toutes les analyses, toutes les expériences, etc… concernant ce sujet.

Quand un sujet fait appel à de très nombreuses données et de très nombreux paramètres, il est relativement aisé de confirmer un paramètre par un autre ou de le démolir.

Concernant le réchauffement climatique dû à l’activité anthropique produisant du CO2, il se dégage un certain consensus entre de nombreux spécialistes.

Sur le très long terme passé, l’augmentation de température et celle du CO2 sont à peu près maîtrisées de par les expériences réalisées. Sur le très court terme, quelques dizaines d’années passées et les temps présents, les conclusions sont bien souvent à l’opposé les unes des autres.

Certains disent que l’activité anthropique productive de CO2 est directement responsable du réchauffement climatique et des mesures draconiennes doivent être prises. D’autres disent que cette augmentation n’est pas due à l’activité anthropique de CO2, et d’autres encore disent que si tel était vraiment le cas, cela ne concerne qu’une extrême courte période, et que cela n’a et n’aura aucune influence sur le long terme de l’existence de la Terre, dont seuls les cycles s’étendant sur plusieurs milliers, plusieurs dizaines de milliers, et plusieurs centaines de milliers d’années ont des influences cycliques.

Si votre serviteur a intitulé ce bien modeste article de la façon suivante : “La plus grande arnaque du siècle ? Le réchauffement climatique dû à “l’activité humaine” en CO2″, c’est par ce qu’il a tendance à croire que la Terre suit des cycles de glaciations et de réchauffements cycliques comme unanimement démontré par l’ensemble de la communauté scientifique, et que, s’il advenait que la production humaine de CO2 serait partiellement, voir totalement, responsable d’un réchauffement très ponctuel (s’étalant sur quelques dizaines d’années, voir un siècle), celui-ci n’apportera aucunement toutes les catastrophes annoncées par les politiques.

Qu’appelle-t-on atmosphère ?

L’atmosphère est l’enveloppe gazeuse qui entoure une planète. Elle est maintenue autour de cette planète par la force gravitationnelle qui la retient et l’empêche de s’échapper vers l’espace interplanétaire.

L’atmosphère terrestre est une machine complexe, un fluide en perpétuel mouvement, composé de différents gaz, de poussières et de liquides en suspension. Elle se déplace, se déforme, se mélange, se transforme sans cesse sous l’influence de ses propres contraintes physiques ou chimiques et de ses échanges avec les milieux extérieurs.

Elle reçoit du rayonnement solaire et nous protège en absorbant, ou renvoyant vers l’espace interplanétaire, les rayonnements les plus dangereux pour nos organismes.

Le mélange de gaz qui compose l’atmosphère terrestre, l’air, est incolore, invisible et inodore. Il est essentiellement composé de diazote (N2), de dioxygène (O2), de vapeur d’eau (H2O), de gaz rares (ou nobles) comme l’argon (Ar), le néon (Ne), l’hélium (He), le krypton (Kr), le xénon (Xe) et le radon (Rn), de dioxyde de carbone ou gaz carbonique (CO2), de méthane (CH4), d’hydrogène (H2), d’ozone (O3), etc…

Le CO2 étant le principal gaz à effet de serre.

En dehors de ces gaz, l’atmosphère peut comporter un certain nombre de particules liquides (embruns, gouttelettes de nuage, gouttes de bruine ou de pluie…) ou solides (poussières, cristaux de glace, flocons de neige, grêlons…) et donner naissance à des précipitations intenses, des vents violents (tornades, trombes), des manifestations électriques (orages, feux de Saint-Elme, elfes, farfadets ou jets bleus), acoustiques (tonnerre) ou lumineuses (éclairs, arcs-en-ciel, halos, couronnes, irisations, gloires…).

L’atmosphère n’est pas non plus exempte de polluants qui proviennent de l’activité humaine dans certaines zones (produits de combustion, particules, oxydes d’azote, composés organiques volatils, ozone, pesticides…) ou de processus naturels (pollens, érosion des sols, éruptions volcaniques…) et dont la concentration et l’étendue varient en fonction de l’intensité des sources et des conditions météorologiques.

Ce qu’affirme haut et fort tous ces écolos autoproclamés c’est que la production humaine de CO2 provoque le réchauffement climatique. Pour cela ils s’appuient sur les seuls rapports du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) constitué de plusieurs États.

Officiellement, ce sont ces États membres qui en assurent collectivement sa gouvernance. Pour la France, cette fonction est exercée par l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC), depuis 2001. Mais depuis 2008, l’ONERC est rattaché à la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC), qui se trouve au sein, et sous l’autorité du ministère en charge de l’Environnement. In fine, le GIEC n’est ni plus ni moins qu’un groupe de fonctionnaires sous l’autorité du ministère de l’Environnement. Bonjour l’indépendance, et bonjour les avis contradictoires des conclusions du GIEC.

Le GIEC est dirigé, depuis 2015, par le sud-coréen Hoesung Lee. Il est aussi le président des experts climats de l’ONU (référence). Tout le monde connaît l’infection généralisée de l’ONU par les mondialistes, lesquels passent leur temps à chercher des armes acceptées par les populations pour détruire un maximum de pays afin d’installer leur idéologie nazie. Les exemples ne manquent pas. Il est dans ces conditions bien difficiles à d’autres savants et chercheurs d’exprimer des avis différents.

À propos d’avis différents, le Professeur Vincent Courtillot (couvert de diplômes, références, missions techniques des plus hauts niveaux, conférencier international, et bien d’autres, voir la note 1) en fin d’article) émet de très sérieuses réserves sur ce réchauffement climatique qui serait dû à la production humaine en CO2. C’est la raison pour laquelle les abrutis dictateurs le classe comme “climato-sceptiques”.

Il n’existe pas de scientifiques “climato-sceptiques”. Il existe des scientifiques dont les recherches sont divergentes des scientifiques officiels sous les ordres du gouvernement macronien. Comme toujours, le terme de “climato-sceptiques” est employé par les gauchistes et écolos pour disqualifier des études scientifiques non politisées. On a connu exactement le même phénomène, puisque c’est un classique chez les gauchistes et écolos, avec le Professeur Raoult.

Claude Allègre lui-même, éminent scientifique reconnu par tous, a été écarté du pouvoir officiel quand il a commencé à prendre des positions mettant en doute l’origine anthropique (= due à l’activité humaine) et l’importance du réchauffement planétaire, qui allait contre le consensus scientifique officiel. Il avait cependant dans la décennie précédente soutenue les thèses officielles, mais s’est rendu compte ensuite que ces thèses ne tenaient pas la route, et étaient dirigées par une volonté politique bien supérieure à la scientifique.

Pour bien comprendre ces questions climatiques, il faut bien connaître les cycles climatiques et leurs transitions, et cela sur une très longue période passée. Ceux qui ne résonnent que par le présent ou quelques siècles passés sont totalement dans l’erreur. Les cycles climatiques terrestres se manifestent sur plusieurs dizaines, et mêmes centaines de milliers d’années.

Le Professeur Vincent Courtillot présente une expérience capitale, évidemment totalement censurée comme il se doit dans une dictature, ce qu’est, et devient toujours plus, la France ou ce qu’il en reste.

Trois chercheurs de l’université de Grenoble ont fait des études très poussées à Vostok. Cet endroit est une station de recherche russe située en Antarctique, à une altitude de 3 488 mètres, et qui a été choisi par la possibilité de faire des forages très profonds. Dans cet endroit collaborent des scientifiques russes, américains, britanniques et français. Il a été découvert en 1996, à 4 000 mètres en dessous de cette station scientifique, un immense lac sous la calotte glaciaire antarctique d’une surface de 15 690 km². Il s’appelle le lac Vostok. Cette station de recherche détient le record de la plus basse température mesurée sur Terre : -89.2 °C. Mais les scientifiques estiment que dans l’air dépassant l’altitude de la station, la température peut descendre jusqu’à -98 °C.

Les 3 chercheurs de l’université de Grenoble menée par Jean Robert PETIT, aidés d’autres scientifiques sur place, ont procédé à plusieurs forages de la calotte glaciaire en extrayant des carottes. Le premier trou (appelé trou 3G) était de 2 202 mètres en 1984, le trou 4G de 2 546 mètres en 1990 et enfin le trou 5G en 1996 fut stoppé à une profondeur de 3 623 mètres se rapprochant grandement des eaux du lac Vostok.

On peut ainsi facilement dans ces carottes de glace, mesurer dans les bulles (de glace) et dans la glace elle-même qui permet de calculer couches de glace par couches de glace les âges différents (comme les anneaux d’accroissement des arbres), l’équipe de chercheurs a pu remonter jusqu’à 400 000 ans.

À gauche de la courbe nous sommes à – 400 000 ans, et à droite c’est le présent. Dans les bulles des carottes glacières, l’équipe scientifique à mesuré la teneur en gaz carbonique (courbe rouge sur le schéma). Dans la glace il y a aussi les isotopes (2) de l’oxygène présent dans l’eau composant les carottes des calottes glaciaires, courbe bleue sur le schéma (déjà étudié à Vostok dans les années 1970 par l’Union soviétique) qui a permis de mesurer la température. Donc, ceci se traduit par le schéma de la courbe bleue pour la température et de la courbe rouge pour le gaz carbonique. On observe ainsi sur cette courbe les airs glacières. Les périodes de chaleur et de froid alternent tous les 100 000 ans environ (le froid est en bas de la courbe et le chaud en haut comme indiqué à droite du schéma).

À noter le delta entre les maximums des périodes chaudes et froides (+4 et -10) soit 14° Celsius.

Actuellement, les courbes ci-dessus montrent sans aucune contestation que nous sortons d’une période glaciaire depuis 18 000 ans et nous montons vers une période chaude.

Des travaux plus poussés, permettant de remonter à une période d’environ 800 000 ans ont permis d’étudier les mêmes éléments. C’est ce que l’on appelle le projet EPICA. Celui-ci donne la courbe suivante :

Alors, sur la courbe ci-dessus pourquoi ne pas en déduire que le gaz carbonique qui se situe au-dessous de la courbe de l’oxygène isotopique “pousse” la température a augmenter, et que donc ainsi l’augmentation du gaz carbonique est responsable de l’augmentation des températures.

D’ailleurs, Al Gore ne s’est pas gêné pour se servir de ces courbes, dont le parallélisme entre le CO2 du bas et la température du haut marque les esprits, afin “d’expliquer” au public que le réchauffement climatique n’est dû qu’à un seul et unique élément, le CO2 et, ne s’embarrassant pas trop de détails, le seul CO2 produit par l’activité humaine. Al Gore n’étant pas un imbécile, il choisit bien ses mots afin de faire croire au public l’inverse de la réalité scientifique. L’attrait du pouvoir et de l’argent passe, pour cet homme, avant la vérité scientifique. Bon, Al Gore n’est qu’un homme d’affaires et un homme politique, et nous savons tous que dans ce milieu-là le mensonge est quotidien et ne s’arrête devant rien.

À l’époque de ces courbes, les connaissances scientifiques ont permis de les établir avec exactitude sur les observations réalisées, mais n’étaient pas suffisantes pour un affinement desdites courbes. La question était de savoir si ces deux courbes se produisaient en même temps, ou si l’une existait avant l’autre.

La réponse de l’affinement de ces courbes a été amenée par Milankovitch (1879 – 1958), ingénieur – astronomes – géophysiciens – climatologues reconnu dans le monde entier comme un des meilleurs scientifiques dans les sciences de la Terre, NASA entre autres. Milankovitch a établi ce que l’on appelle “Les cycles de Milankovitch” lesquels donnent une explication plus détaillée de ces courbes.

Les Cycles de Milankovitch expliquent que les changements orbitaux sont responsables des périodes glaciaires et interglaciaires. Les Cycles de Milankovitch concernent trois paramètres fondamentaux de la Terre. Ils sont :

  • L’inclinaison, appelée aussi obliquité
  • La précession
  • L’excentricité

L’inclinaison (appelée aussi obliquité) varie entre 22,1° et 24,5° sur une période d’environ 41 000 ans. Elle n’a aucun impact sur la puissance totale (= énergie solaire) reçue par la Terre, même si cela affecte la répartition géographique solaire reçue par la Terre.

La précession des équinoxes n’a aucune influence sur la distance Terre-Soleil pas plus que la puissance de rayonnement solaire sur la Terre. Elle n’influence ainsi en rien la puissance totale solaire reçue par la Terre. Le changement de direction de l’axe de rotation de la Terre se fait sur une période de 25 760 ans. Voir schéma ci-dessus.

La lecture ci-dessous en rouge et italique peut-être zappée, cela n’affectera pas la suite de la lecture de l’article suivante, en noir et non italique.

L’orientation de la planète change tous les 41 000 ans, la précession fait un tour tous les 23 000 ans, c’est ça qui fait que l’Étoile polaire est aujourd’hui l’Étoile polaire, mais il y a 23 000 ans divisés par deux, soit 11 500 ans, ce n’était pas cette étoile. Ce nom de Polaire est le surnom donné actuellement à l’étoile Alpha de la Petite Ourse. En effet, elle est l’étoile la plus proche du pôle Céleste Nord. Elle a la particularité de se retrouver dans le prolongement de l’axe polaire de la Terre passant dans l’Univers. L’axe polaire de la Terre sera au plus près de cette étoile vers l’an 2048 à cause du mouvement de précession d’équinoxe qui imprime un mouvement de rotation à l’axe de rotation de la Terre, comme expliqué ci-dessus. Il y a 1 000 ans, c’est à dire, au temps des Vikings, l’étoile polaire était Alpha de la Girafe (étoile très faible). Au temps de Jésus, il n’y avait pas d’étoile Polaire. Par contre vers l’an 2 500 avant J.C., au temps des pyramides, c’était Alpha du Dragon qui était l’étoile Polaire. Dans quelques milliers d’années, l’étoile Polaire sera une étoile de Céphée, puis Delta du Cygne, puis Véga… Donc l’étoile Polaire n’est qu’un titre que possède une étoile, le temps que l’axe de rotation s’approche puis s’éloigne de cette dernière.

Il reste l’évolution de l’excentricité de l’orbite terrestre. Cette évolution de la forme de l’orbite terrestre va légèrement changer la puissance reçue par la Terre sur une année.

Les études de Milutin Milankovitch, élaborée en 1941, rendent compte de l’alternance des cycles glaciaires et interglaciaires durant le Quaternaire. Une glaciation se produit lorsque les hautes latitudes de l’hémisphère nord reçoivent un minimum de rayonnement solaire durant l’été.

Les glaciations sont dues à de faibles variations de l’orbite de la Terre sous l’effet des planètes du système Solaire et particulièrement des planètes géantes qui ont plus d’influence. En effet, selon la loi de Newton, si la Terre était seule dans le système Solaire, son ellipse serait circulaire. Or elle ne l’est pas. L’influence des autres planètes, par les forces d’attraction gravitationnelle, impose une modification de l’ellipse terrestre pour la rendre de forme ovale. Cela s’appelle l’effet d’excentricité l’ellipse s’allongeant ou s’aplatissant tous les 100 000 ans.

Cette modification de l’ellipse terrestre est la cause principale des quatre glaciations de 100 000 ans que nous venons de connaître successivement. Mais attention, on représente toujours sur ce schéma, pour bien le faire comprendre, un allongement excessif de l’excentricité orbitale de la Terre, alors qu’en réalité il est très faible.

Connaissant l’évolution de l’orbite terrestre au fil du temps, on peut calculer l’évolution de la puissance moyenne reçue par 1 m² en haut de l’atmosphère.

On retrouve également ces variations climatiques dans la géologie, les sédiments. Au sud de la Sicile, la plage Punta di Maiata présente des alternances de couleurs intéressantes alternativement roses, blancs, gris, blanc, par dizaines. On sait maintenant que chacune de ces alternances de couleurs c’est la trace d’un cycle de 23 000 ans de précession des équinoxes. Quand il fait froid les sédiments sont gris, quand il fait chaud ils sont rouges. Neuf cycles sont visibles, exhibant donc l’histoire d’environ 200 000 ans.

L’affinement de ces courbes donc après les travaux de Milankovitch et les moyens techniques poussés, ont permis de voir qu’il y avait un décalage entre la courbe bleue et la rouge du schéma ci-dessus. Dans le shéma ci-dessous, la courbe de température (couleur bleue) précède la courbe d’augmentation du CO2 (couleur rouge). Le décalage de ces 2 courbes est de l’ordre de quelques siècles à quelques milliers d’années. C’est la courbe du CO2 qui suit la courbe de température. Dans les carottes de glace de Vostok, les variations de CO2 sont la conséquence des variations de température et non pas l’inverse.

Les orbites de Milankovitch qui changent tous les 100 000 ans, changent l’éclairage de l’atmosphère, laquelle chauffée chauffe l’océan, lequel chauffé ressort son gaz carbonique (et lorsqu’il refroidit le gaz carbonique rejoint l’océan).

La thèse inverse qui consisterait à dire que produire du gaz carbonique, notamment par l’activité humaine, changerait la température, laquelle température changerait l’orbite de la terre, et changerait dans la foulée également les effets de Jupiter et de l’ensemble des autres planètes sur la Terre, paraît, a priori, totalement absurde.

Les détracteurs de ces explications sont très nombreux. Pour certains ils ont sorti de nombreuses études en les interprétant ce qui aboutit à une contradiction de ce qui est expliqué dans le présent article. Pour d’autres, ils essaient de reprendre les arguments un à un du Professeur Vincent Courtillot afin de les démonter méthodiquement.

Comme d’habitude, nous sommes là dans un cas de figure bien connu en France pour ce genre d’attitude. Lors de l’épisode Covid, les détracteurs du professeur Raoult ont procédé de la même sorte, ainsi que les détracteurs et convaincus que l’homme a bien marché sur la Lune, ainsi que les détracteurs et convaincus de la bonne attitude du Maréchal Pétain, ainsi que les détracteurs et convaincus de l’attaque anglaise sur Mers el-Kébir, ainsi que……

En conclusion, votre serviteur qui essaie de raisonner dans un esprit scientifique, lequel exclut toute idée ou sentiment politique, idéologique, sentimentale, affective pour ne retenir que de froides observations et interprétations, ne peut pas affirmer que telle ou telle position et/ou démonstration est la plus réaliste. Comme dit ci-dessus, il pense que si une activité anthropique productive de CO2 pourrait augmenter légèrement la température, si un tel cas existait, il serait epsilon et passager, et n’aurait aucune conséquence majeure et alarmiste, ni immédiate, ni pour l’avenir.

Professeur Têtenlair

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1) Le Professeur Vincent Courtillot est diplômé de l’École des mines de Paris, de l’université Stanford, de l’université Pierre-et-Marie-Curie et de l’université Paris-Diderot, docteur ès sciences, Il est professeur émérite de géophysique à l’université Paris-Diderot. Il a été directeur de l’Institut de physique du globe de Paris jusqu’au 12 janvier 2011, remplacé par Claude Jaupart.

Il a enseigné à Stanford, à l’université de Californie à Santa Barbara et au Caltech. Il a été membre de l’Institut universitaire de France. Il a également exercé des responsabilités administratives (directeur de la recherche, conseiller spécial) au ministère chargé de l’enseignement supérieur, pendant le mandat de ministre de Lionel Jospin et de Claude Allègre. Référence Wikipédia.

2) La matière est faite d’atomes : hydrogène, hélium, lithium, béryllium, oxygène, et des centaines d’autres. Chaque atome se distingue par son nombre de protons, de neutrons, et d’électrons. Un isotope est un type d’atome d’un élément qui a le même nombre de protons et d’électrons, mais un nombre différent de neutrons. Les isotopes d’un élément ont les mêmes propriétés chimiques, mais des propriétés physiques ou nucléaires différentes.

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33 Commentaires

  1. grâce à un “bloom” de plancton verts, notre planète bleu foncé qui surchauffe au soleil pourrait bien redevenir une planète cyan clair qui se refroidira très lentement.
    Pas de panique: les 12 réchauffements climatiques précédents ont tous été suivi par une glaciation.

  2. Enfin une démonstration scientifique que le réchauffement climatique présenté par les Torquemada du climat est une imposture. Malheureusement, peu de gens quasiment 1 % de la population sont capables de comprendre. Pendant ce temps, nos torquemada sont en train de démolir la France. Personne ne s’étonne que les véhicules à essence soient bientôt interdit en Europe (sauf en Allemagne!) mais pas aux États-Unis ni dans le reste du monde ! C’est pourtant unvraisemblable.

  3. Quand l ‘on est né dans les hauts de FRANCE juste après la guerre et que l ‘on a connu la neige , le verglas , le froid , l ‘on est bien content que la terre se réchauffe à la retraite .
    D ‘ailleurs à la retraite beaucoup émigrent , et même ailleurs que dans le sud de la FRANCE et de l’ Europe
    Pourquoi les gens se plaignent de la canicule ( soit disant ) et vont ils en Vacances dans le sud , en Espagne , Maroc , Grèce , etc …
    Ostende ou Narvik devraient être plus appropriés

  4. Bravo pour cet article. Puisse-t-il servir de base de réflexion aux nombreuses personnes qui ne font qu’écouter les “écolos-dingos” et autres “politicos-mafieux” de la pensée ! Les cycles entre-autre solaires sont connus depuis des siècles par les scientifiques… Les vrais !

    • Merci de tes compliments qui me font très plaisir. Mais je doute fort que ce modeste article puisse faire réfléchir 90 % de la population française, qui est devenue un amas de morts-vivants totalement lobotomisés.

  5. Le CO2 est un gaz indispensable dans le cycle du carbone et la vie des végétaux. Son taux dans l’atmosphère était trop bas, c’est une chance qu’il remonte
    Le CO2 n’a rien à voir dans les variations climatiques qui sont naturelles. La théorie radiative de l’effet de serre est fausse, contraire aux principes fondamentaux de la thermodynamique. C’est une escroquerie destinée à nous imposer des taxes et des contraintes inutiles.
    Il n’y a aucune augmentation des évènements climatiques extrême qui ont toujours existé.
    La forte réduction d’activité lors de l’épidémie covid, l’arrêt de la circulation aérienne des passagers pendant 2 ans n’ont eu strictement aucun effet, pas une coupure, pas un frémissement, sur la concentration du CO2 dans l’atmosphère qui continue de croître comme si de rien n’était. Nos rejets sont infimes par rapport aux mouvements naturels.

    • Excellent, tu as parfaitement compris et résumé la situation. Et tu as raison de parler aussi de la photosynthèse. La lumière, l’eau, et le CO2 sont indispensable à la photosynthèse, processus naturel et vital.

  6. “Le CO2 étant le principal gaz à effet de serre” – c’est une erreur directe.
    Le CO2 est un deuxième par l’importance gaz à l’effet de serre dans l’atmosphère terrestre. Et le premier est la vapeur d’eau et sa contribution dans l’effet de serre est beaucoup plus important (son rôle varie en fonction de la situation géographique, en moyenne 10 fois). De toute façon, l’effet de serre n’est pas du tout le premier facteur dans un bilan thermique de notre planète, le coefficient de réflexion de rayonnement solaire (albedo) est beaucoup plus important.
    Par contre, je suis entièrement d’accord avec le reste d’article et surtout avec ses conclusions.

    • Réponse 2 sur 2 à mon ami @D.P.
      Cependant, d’autres publications de scientifiques comme, par exemple Bénédicte MÉNEZ (docteure en géochimie, chargée de recherche au CNRS) affirme “Les teneurs en dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre (G.E.S.), ne cessent d’augmenter dans notre atmosphère (…)”.
      Egalement, Yves GAUTIER, docteur en sciences de la Terre, explique, à propos du protocole de Kyôto de 1997, je cite : “Les six principaux gaz à effet de serre (G.E.S.) sont le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), les hydrofluorocarbones, les hydrocarbures perfluorés et l’hexafluorure de soufre (SF6).
      Mais, je te l’accorde, c’est la vapeur d’eau qui est la principale responsable de l’effet de serre. Le CO2 vient en 2e position, et comme il est le fruit de l’industrialisation, c’est de lui dont on parle plus !

    • Réponse 1 sur 2 à mon ami @D.P.
      Bonjour ami @D.P.
      Lorsque j’écris un article, il est dans mes habitudes de vérifier toutes mes affirmations, et dans la mesure du possible qu’elles soient référencées. Je donne lesdites références, parfois je ne le fais pas toujours car, bien souvent, cela serait trop long.
      Alors, dans l’absolu, tu as raison. Les principaux gaz à effet de serre sont, par ordre d’importance : la vapeur d’eau (H2O), le dioxyde de carbone (CO2), l’ozone (O3), le méthane (CH4) > Jean-Louis DUFRESNE, directeur de recherche au CNRS et Céline GUIVARCH, directrice de recherche à l’École des Ponts.

  7. Mais non, la terre est plate comme l’affirme le Noble Quran. Attention à ne pas faire l’objet d’une fatwa et d’attirer les couteaux déséquilibrés en soutenant le contraire.

  8. Le Réchauffement climatique est l’arnaque du siècle où les Dépressifs Soja et leurs relais Politique avec les Gauchistes d’extrême gauche et le psychopathe Macronor Terminator Flatulator veulent détruire tout ce qui fait notre fierté industrielle pour lutter contre le prétendu Réchauffement climatique afin de sauver la planète mais ces gens là nous impose une dictature pour le climat et ont que cette dictature pour le climat est tombée à l’eau voir retourner contre eux parce que les mensonges sont enfin dévoilées. L’homme n’est pas responsable du prétendu Réchauffement climatique comme l’imaginent les Dépressifs Soja et les Cinglés de l’extrême gauche qui tentent d’accuser le CO2 d’être responsable de cette prétendue Apocalypse climatique prédit par la Mongolita Greta Thunberg, le phacochère Yves Cochet et tous les psychopathes du climat dont GIEC ont vu qu’ils se sont trompés et qu’ils ont montrer à la face du monde que ce sont des escrocs !

  9. En Résumé une équipe d’escrocs pour des profits supérieurs d’une bande d’incapables nous vendent de la variation climatique pour du réchauffement climatique qui est totalement autre chose . Comme toutes ces associations ne recrutent que des gens d’accords avec eux on se retrouve au milieu d’une bande d’affolants videurs de nos poches et bloquant les bonnes décisions au profit de l’illusion et du farfelue le plus débile . La voiture électrique et les éoliennes sont deux exemples parmi d’autres des conneries qu’ils peuvent pondre sans aucune retenue , cent ans de progrès techniques du moteur thermique foutu a la poubelle de l’histoire par de la pure incompétence.

  10. Tres bel article clair et concis, il est évident que sur un aussi court laps de temps, l’activité humaine n’a pas pu impacter ainsi le climat, mais je pense que la démographie galopante et le mode de vie actuel, accentueront à l’avenir le phénomène.

    • @ Le chti français. Attention! Avoir la prétention de vouloir réguler la démographie c’est adopter le jeu mondialiste de réduction de la population. La terre dispose encore d’énormément de place et de ressources. D’autre part, tout a une fin ici bas. Le plus important est de réfléchir à notre propre fin qui elle, est certaine.

      • Gigobleu, Reduire la poulation ne serait pas un mal, mais ce n’est certes pas à nous les Français de faire un effort, d’autres passent avant nous! La terre est peut-être assez grande mais les regions habitables sont limitées, de plus une bonne partie de l’Afrique veut venir chez nous, vous ne le savezque trop bien!

        • Pas d’accord avec toi chti. Je maintiens fermement mon point de vue. De vastes régions peuvent parfaitement devenir habitables. L’invasion africaine, elle, est un autre problème. C’est nous qui les laissons venir chez nous. C’est donc nous qui devons stopper cette invasion et pour cela il faut une population déterminée, donc faire des enfants.
          On regarde toujours cette question de bas en haut au lieu de regarder les choses de haut en bas. Vu d’en haut, les zones habitées sur terre sont très réduites.

        • Je pense que gigobleu a parfaitement raison. Quand on voit que les tribus touarègues vivent quasiment dans le Sahara avec les températures qui y règnent, on se dit que 90 % de la surface terrestre du globe est habitable, ne présentant pas de telles facteurs d’inhabilité.
          Ensuite, il n’est pas question de réduire la population comme le mondialisme veut le faire : à savoir assassiner massivement par dizaines de millions, voir centaines, les gens déjà existants. Vouloir diminuer le nombre d’enfants dans les pays pauvres est noble à condition d’utiliser les méthodes de contraceptions. Et non l’avortement.
          Mais encore islam, et toujours l’islam, est fermement opposé aux méthodes contraceptives.
          Juste pour rappel, il y a 220 000 vies humaines en début d’existence supprimées en France chaque année. C’est ce que l’on appelle l’avortement.
          Et ces mêmes personnes n’ont pas trouvé d’autre remède pour pallier à cela que de faire venir l’Afrique entière chez nous.

          • Il est evident Cachou, qu’il n’est pas question d’utiliser des methodes autres que celle de la contraception comme le souhaite certains.

  11. La Terre n’est pas une planète fixe, elle gire autour du Soleil, lui-même sujet à des fluctuations au cours du temps. Les météorologistes et climatologues sont eux-mêmes incapables de prévoir le temps qu’il fera sur le long terme. Dans les temps anciens, les hommes se chauffaient au bois, se déplaçaient à cheval. Ces braves équidés polluaient eux aussi par le biais de leurs flatulences. L’écobuage ,en vogue au moyen-âge, également. Merci cher professeur pour cet article, génial comme vous l’êtes vous- même. Amitiés.

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