C’est décidé, je boycotte la Fnac et tous ceux qui prétendent nous imposer leurs choix

Boycott de la FNAC mais aussi de tous ceux qui « pensent bien mieux que nous » dans leurs pubs TV ou autres ! Pourquoi pas ?

L’excellent article de François des Groux le 26 juin sur sa colère à l’adresse de la FNAC, me pousse, à titre personnel, à rayer la FNAC de ma liste de fournisseurs !

https://resistancerepublicaine.com/2023/06/26/je-suis-blanc-et-la-fnac-madresse-une-carte-danniversaire-racisee/

Je me pose la question : pourquoi ne pousserais-je pas mon rejet -même si je suis seul- tous azimuts, vers de grandes marques d’habillement ou de sports, d’alimentation ou d’électroménager, de firmes automobiles ou de matériels informatiques… employant ces mêmes méthodes « bon chic, bon genre » ou plutôt « bon fric car bon dégenré ! » ?

J’ai dégusté, savouré le papier de François des Groux « Je suis Blanc et la FNAC m’adresse une carte d’anniversaire “racisée” ! », papier dont j’aurais aimé être l’auteur tant il relate, décrit, détaille parfaitement ce que je ressens face à ce genre de propagande destinée à toucher une majorité de Français sous le fallacieux prétexte concocté par une minorité d’intellectuels -dont une grande partie de mes confrères journalistes évidemment classés… pardon, qui se classent eux-mêmes, vantards qu’ils sont, dans une catégorie où ils sont juges et parties à savoir « les bien-pensants » !
Et ceux qui -comme moi- ne pensent pas comme eux, sont à rejeter, majestueusement…-pardon il n’y a aucune majesté en leur for intérieur- ou sordidement. « Sordide » qualifie mieux leur façon de vouloir nous imposer leur prétendue « bien-pensance » ! qui va jusqu’à nous écarter de toute vie sociale, ne parlons même pas de la vie professionnelle.

« Chez ces gens-là, Monsieur », on ne travaille et vit qu’entre-soi, les idées des autres sont à ignorer, même s’il s’agit de celles d’une majorité de Français ! Il n’y a qu’à voir les résultats des réactions des fidèles de l’émission Estelle Midi sur RMC Story : souvent, 7, 8 ou même 9 Français sur 10 ont des réponses à droite voire très à droite au grand dam d’ailleurs d’Estelle Denis ! Ces « bien-pensants » se vantent d’être dans la case « intellectuels », alors que leur regard ne fonctionne à 10/10, c’est curieux, que de l’oeil gauche, et leur ouïe ne perçoit de sons que de leur oreille gauche. À droite, leur trompe d’Eustache, c’est ballot, est bloquée par des acouphènes ! Alors que les acouphènes ne sont pas des sons extérieurs mais venant directement de leurs cerveaux et touchant les deux trompes… Voilà pourquoi à gauche, ils interprètent ce qu’ils croient entendre selon ce qui leur fait plaisir…
Que cesse donc ce bulldozer ou plus exactement ces haut-parleurs de logorrhées, c’est-à-dire ces flux de paroles confuses et ininterrompues au seul profit de leur écologie si politique et si indigeste, logorrhées proférées contre ce que, nous, nous pouvons penser !

D’autant que nos adversaires ne sont qu’une minorité de Français exclusivement de gauche. Mais une minorité active et surtout installée dans des secteurs clefs :
– magistrature avec, dernier « exploit » en date, un certain Clément Malverti qui suggère au Conseil d’État d’accepter que les islamistes puissent jouer au football avec un hijab alors qu’il est interdit dans des pays musulmans tel que le Maroc !

-cinéma dont une certaine Marion Cotillard qui entre dans ma liste des « boycottés » puisqu’elle est du « côté des boys » anti-terreux ! Je ne suis pas prêt de payer une place de cinéma pour aller voir cette mignonne prétendument écolo.
-presse : en 2014, quand un Nicolas Demorand, directeur de la publication de Libération et coprésident du directoire de ce journal « quelque peu à gauche », passe à France Inter, aucune opposition, seulement des applaudissements chaleureux… Mais en 2023, lorsqu’un Geoffroy Lejeune licencié de Valeurs Actuelles est accueilli par Bolloré au Journal du Dimanche, le même… Libération crie au scandale et se réjouit : « Sidérés, les salariés ont voté une grève reconductible à 99 %. »

Tous ces gens du « camp du bien » veulent nous faire ingurgiter leur mélasse non seulement imbuvable mais, naturellement -puisque préparée par eux- à base d’un poison mortel pour notre civilisation, donc pour la France, notre France dont ils n’ont rien à faire puisque seul le mondialisme compte pour eux.

Leur méthode est celle des régimes qui, surtout au siècle dernier, ont asservi des peuples.
Pour ma part, outre la FNAC, j’ai déjà quelques reproches à faire à certaines diffusions télévisées en particulier dans les pubs. Surtout celles mettant en avant des enfants -ce ne sont pas eux que je critique mais le rôle que les marques leur font jouer parce que c’est « in » ! C’est « à la mode » ! C’est « vendeur » ! Des rôles qui en font des « têtes à claques » même si je n’ai jamais donné de gifles de ma vie, et encore moins à une gamine (1) mais ces « filles de pubs » m’agacent ! Que ce soit pour une voiture électrique ou pour des bouteilles -horreur- en plastique ! Je zappe ce genre de pubs ! Ainsi que celle d’une société de sécurité où le cambrioleur… me ressemble !

Pour le reste de mon boycott, tant pis si je me prive d’un objet que j’aime et fait pour mes besoins utilitaires, esthétiques ou pratiques ! La lutte contre des idées qui attaquent notre civilisation, vaut bien ce minuscule sacrifice.

Pour moi, seule est importante la France, celle de nos ancêtres… dont mes arrière-arrière-arrière-grands-parents lorrains, fiers d’être cantiniers dans les Armées napoléoniennes ; mes grands-pères ouvriers agricoles fiers d’avoir fait le Chemin des Dames en 14-18 ; et mon père militaire fier de sa carrière de 1939, FFL, à la fin de l’insurrection en Algérie.

Ils ont toujours brandi avec fierté et coeur notre drapeau tricolore dont ils nous ont transmis les valeurs : jamais ils ne l’ont arraché d’une façade d’immeuble comme cela a été scandaleusement fait, samedi dernier à Paris, et, en plus, sous les applaudissements de manifestants brandissant eux un drapeau de toutes les couleurs c’est-à-dire, en fait, un drapeau aussi peu consistant qu’un arc-en-ciel puisqu’un arc-en-ciel n’est qu’une illusion d’optique sans aucune consistance ! Nous ne les voyons quelques secondes en raison de la réflexion et la réfraction de la lumière et de l’eau à un moment précis. Ils n’ont pas de couleur persistante mais seulement éphémère. Donc aucune couleur permanente : j’ose donc ce néologisme, leur drapeau « LGBêta » (2) est un drapeau « inincolore », c’est-à-dire qu’il n’est même pas incolore ! Il est transparent…

Quels sont parmi mes confrères journalistes, ceux qui, du côté des organes payés par nos impôts, ont rapporté cet « incident » du drapeau tricolore arraché ? Comment voulez-vous qu’ils dénoncent une telle action contre le symbole de notre Nation puisque ce sont ces mêmes journalistes qui font de la publicité à ces énergumènes pour ne pas dire ces transcon…tinentaux !

JACQUES MARTINEZ, journaliste,
ancien de RTL, l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

P.S

Ah que ne dirait-on pas si le geste dont j’ai été, tout petit, la… « victime » était administré à notre époque ? J’avais 8 ans, en dernière classe des… « grands » à l’école primaire… garçons, les filles avaient leur école à côté. Nous étions en rang, dans la cour, printemps 1954, tous en shorts, tout d’un coup, je sens un violent coup de cravache en cuir sur ma cuisse gauche -j’en ai encore le souvenir !-. Le directeur de cette maternelle se « promenait » souvent avec sa cravache de 50 cm de long sur 5 de large ! Pourquoi ai-je eu droit à cette « caresse »? Simplement parce que mon pied étant légèrement hors du rang, ma cuisse n’était pas bien alignée !!! En ai-je gardé un souvenir traumatisant ? Absolument pas. Mon père est-il allé tabasser ce Directeur ? Non, il m’a simplement demandé de mieux me tenir dans les rangs. Pour les générations suivantes, il y a eu, avec Françoise Dolto, la méthode qui a « doltoïsé » les enfants et donc, psychologiquement, les a « lobotomisés ». Ce à quoi j’ai échappé à 8 ans ! Et je m’en porte merveilleusement bien. Je ne sais si Carlos, son fils, né trois ans avant moi, a lui-même « subi » les méthodes de sa chère Maman ?
(2) « LGBêta » : ne vous m’éprenez pas : il ne s’agit là que de la deuxième lettre de l’alphabet grec et non du terme affectueux de « gros bêta ».

Jacques Martinez

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