La surveillance des peuples devient la règle, GAFA et Etats s’en chargent !
Sur des articles du Monde et de Ouest-France…
Renseignement: la hausse des demandes sur l’activisme politique inquiète la commission de contrôle
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Dans son rapport annuel publié jeudi 15 juin, la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement s’inquiète de la hausse des demandes concernant les milieux politiques et syndicaux. Elle tire aussi la sonnette d’alarme sur ses moyens de contrôle désuets par rapport aux techniques de renseignement du 21e siècle.
Dans son rapport annuel publié jeudi 15 juin (154 pages), la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) tire la sonnette d’alarme sur la hausse des demandes concernant l’activisme politique*. Le gendarme des services secrets s’inquiète également du manque de mise à niveau législatif de sa mission d’encadrement des techniques de surveillance et de renseignement.
* : le ou lesquels ?
La CNCTR a pour mandat de surveiller le travail de la DGSI et de la DGSE. Cette année, elle pointe du doigt certaines actions intrusives utilisées par les services secrets afin de surveiller des milieux syndicaux et politiques, fait remarquer le journal Le Monde.
En 2022, la CNCTR a émis 629 avis défavorables aux demandes d’écoute des services spéciaux, nombre d’entre elles visaient la mouvance écologiste*. L’autorité indépendante précise dans son rapport que « les convictions politiques ou syndicales n’ont pas à être contrôlées ».
* : Uniquement ?
Lire aussi: Renseignement : plus de 21 000 personnes surveillées en 2017, dont plus de 9 000 pour terrorisme
Syndicats et politique dans la mire des services secrets
Le rapport reproche aux services de renseignements de confondre trop souvent entrave des actions violentes avec la surveillance d’activités militantes ou politiques.
Le rapport note ainsi que la prévention des violences collectives « ne doit pas être interprétée comme permettant la pénétration d’un milieu politique ou syndical, ou la limitation du droit constitutionnel de manifester ses opinions, y compris extrêmes, tant que le risque d’atteinte grave à la paix publique n’est pas avéré* ».
* : Il faudrait en parler à Dardmalin !
En 2022, la CNCTR indique avoir dû hausser le ton face aux services de renseignement sur la question de ces violences dites « collectives », faisant souvent référence à des manifestations qui tournent mal.
Le président de la commission, Serge Lasvignes, précise ainsi que l’organe de contrôle s’est en particulier « attaché à la balance entre nécessité du renseignement et protection, non seulement de la vie privée mais aussi des libertés d’expression et de réunion ».
Contrôle à deux vitesses
Concerne les moyens techniques… lire sur le site !
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Quand je dis que la DICTATURE s’installe en France j’ai raison puisque nous n’avons même plus le droit de penser.
Les Français réagissent comment ?… comme d’hab, ils blablatent et c’et tout !
La liberté de penser sous surveillance ! Du coup ,il n’y a plus de liberté de penser !!! Mais en fin qu’espéraient t’ils ? ils ont fracturées la société !!!
Pareil. Mon père et moi lorsque nous sommes au téléphone, on se dit « j’espère qu’on nous écoute! ».C’est notre petit côté parano.
+
S’ils surveillent mon téléphone portable ou fixe, ils ne seront pas déçus. Quand je parle avec mon grand fils , il faut voir ce qu’on balance sur Renaissance et Macron et les noms dont on les affuble. Je crois que le mot le plus sympa est fumier et qu’on souhaite à Moumoute d’aller se faire empaler. Pour ne pas dire autre chose.
Hi! Hi! Hi! Vous n’êtes pas le seul mon ami, nous sommes très nombreux dans ce cas ! Il faut savoir nommer les choses avec précision et c’est ce que nous faisons, un enc… est un enc…., je ne connais pas d’autre terme!
Empaler, un supplice qui commence si bien et qui se finit si mal !