Vous préférez « Iel est nouvelles·aux dans un lycée » ou bien « Iel est nouvelleaux dans un lycée » ?

 

Exemples d’utilisation

Pour ne pas mégenrer une personne :

  • « Iel est nouvelles·aux dans un lycée » en inclusif

  • « Iel est nouvelleaux dans un lycée » en neutre

 

N’hésitez pas à laisser en commentaire d’autres exemples d’utilisation pour enrichir la liste.

Pour rechercher de nouveaux mots à écrire de manière inclusive, vous pouvez utiliser le dictionnaire inclusif gratuit : eninclusif.fr

https://www.blog.eninclusif.fr/post/nouvelles-et-nouveaux-en-%C3%A9criture-inclusive-epicene

 

Pour changer des envies de tout casser qui nous prennent à chaque heure du jour et de la nuit, je vous propose le petit voyage ci-dessus en Absurdie, parce qu’il vaut mieux en rire qu’en pleurer et que, quoi qu’ils fassent ou disent, leur écriture inclusive n’a aucune chance de persister et de s’imposer à tous parce que sa complexité et ses variantes sont dépourvus de logique et qu’elle est juste idéologique et non vouée à la communication.

Alors rions, mes amis, n’hésitez pas à vous payer la tête des dégénérés en tous genres qui, forts de la mise à l’index du FN depuis près de 50 ans, croient qu’il suffit de répéter ad nauseam un mensonge, d’être intolérant et violent pour imposer aux politiques, aux medias et à Monsieur et Madame Dupont leur vérité pour qu’ils l’adoptent. Grave erreur !!!

Ce qui se passe  est l’application stricte du mythe de la Tour de Babel. Cette légende biblique veut que les hommes, pris d’une inquiétante curiosité pour le royaume de Dieu, qui prétendait régner sur la terre, se soient mis à construire une Tour assez haute pour arriver jusqu’au ciel, jusqu’au royaume de Dieu…

Ce dernier, paniqué, voyant ses pouvoirs risquant d’être remis en cause, a trouvé la parade : il a créé un nombre incroyable de langues, qui ont empêché les constructeurs de la tour de Babel de se comprendre… et donc de mener leur projet à terme.

Eh bien l’écriture inclusive, c’est du même tabac ! Un voyage en absurdie, dans un pays où personne ne se comprend, sous prétexte de mettre en avant non plus la communication, la compréhension, mais le militantisme genré et sexuel… La vache ! Quand je m’exprime je dois faire comprendre à celui qui m’écoute que je ne m’adresse pas à Paul ni à Laetitia mais à une femme avec un vagin qui n’existe que par ce vagin, à un homo n’aimant que les hommes, à un trans pas bien dans son sexe de naissance etc. etc. C’est juste la destruction du principe de la communication. Si chaque phrase prononcée doit révéler l’intimité du locuteur et celle du destinataire, ça veut dire que le message n’a aucune importance, qu’il ne s’agit que de favoriser des groupes aux dépens des autres et donc que tout message a un sens non pas politique (ça se saurait si l’écriture inclusive aidait à vivre dans la Cité) mais militant…

Quelle vision restrictive et lamentable de ce qu’est un être humain, de ce qu’est la communication, de ce qu’est la culture, l’information, la beauté, l’histoire….

Quelle vision destructive de l’homme et de la civilisation !

La communication réduite à des échanges narcissiques entre personnes se prenant pour le centre du monde, non pas parce qu’elles seraient Galilée, Mozart, Léonard de Vinci, Voltaire ou Einstein, mais parce qu’elles seraient de sexe masculin ou féminin ou adeptes de telle pratique sexuelle. A force de se regarder le nombril, les ratés gauchos finiront par finir en décrépitude dans un squat quelconque, à côté de gens leur ressemblant mais incapables de se comprendre les uns les autres, enfermés dans une espèce de pidgin, un nouveau pidgin. Vous savez ces langages inventés entre jumeaux le plus souvent et qu’ils sont seuls à comprendre.

Pidgin :  simplification d’une langue donnée, servant uniquement aux besoins d’une communication limitée entre jumeaux, entre membres d’un cercle restreint ou d’une famille…

L’écriture inclusive est en effet le nouveau pidgin réservé aux tarés inclusifs…  qui nous parlent même « d’écriture inclusive épicène »… s’ils le disent !

Ecriture inclusive épicène...

Epicène : Se dit d’un nom qui a la même forme aux deux genres, un élève, une élève.

Mais quand il s’agit d’un pronom, « iel », ça devient corsé ! 

Les nouveaux pronoms personnels ne représentent donc plus personne et renvoient leurs locuteurs au néant.  On félicitera au passage le Robert qui n’est plus ce qu’il a été et qui entre dans le jeu des dégénérés…

 Le robert

IEL : Pronom personnel... (????)

sujet de la troisième personne du singulier (iel) et du pluriel (iels), employé pour évoquer une personne quel que soit son genre. Iel se définit comme non binaire. Les stagiaires ont reçu les documents qu‘iels doivent signer.

 

 

 

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15 Comments

  1. Qu’ils aillent se faire foutre avec leurs délires débiles et totalement inutiles !!

  2. Les Wokistes deconstructiviste d’extrême gauche et leur délire inclusive ! Dans un lycée ou autres on dit nouveaux et nouvelles ce qui est normal mais pour les Gauchos qui obsédés par le Wokisme et la prétendue intersectionnanilite des luttes ils veulent imposer la décadence intellectuelle et morale en déformant la langue française avec l’écriture inclusive qui est une merde au passage et l’utilisation du pronom Iel Iul et autres pour désigner les personnes non Binaire qui sont de véritables fous furieux tout comme les Transgenres. Les progressistes d’extrême gauche se casseront la figure avec leur Maudit écriture inclusive satanique !

  3. Il faut reconnaître que ni les surréalistes, ni les dadaïstes, ni d’autres farfelus n’avaient inventé un truc pareil…

  4. Je lis tous vos commentaires vieux jeu – dans un cas comme celui-ci il faut au contraire pousser le bouchon au-delà du possible, par exemple exiger la feuille pour la déclaration des impôts en écriture inclusive, sinon vous refusez de faire votre déclaration car elle est sexiste – idem pour tous les documents officiels – etc.

  5. Christine, il y a un truc que vous devriez éclaircir : lycé c’est masculin – lycée c’est féminin – on ne peut tout de même pas décider qu’un mot soit masculin ou féminin sans laisser le choix ou plutôt sans laisser la liberté de choix – à mon avis il faudrait dire/écrire « lycéoue » ou plus moderne « lycé/e » – c’est d’autant plus confondant que le lycée c’est pour les filles tandis que l’athénée est pour les garçons… Si on fait le lycée aussi pour les garç0ns il faut aussi faire l’athénée pour les filles et donc aussi « athéné/e » – Bien du plaisir messieur(e)s de l’Académie… (messieur(e))s pour les hommes qui se sentent femmes et mesdam(e)s pour les femmes qui se sentent hommes ) Bonne chance aussi aux prof(e)s qui vont devoir corriger des dicté(e)s. C’est l’occasion de supprimer les prof(e)s et les dicté(e)s.

  6. Cela fait des années que je n’achète plus de dictionnaire Le Robert. Ce dictionnaire a été « vérole » par son directeur, feu Alain Rey, qui se croyait malin en y introduisant des mots « a la mode ». Le fondateur du Robert, Paul Robert, était quelqu’un de bien, mais son successeur, une véritable catastrophe pour la langue française. Je me souviens aussi – décret du gouvernement – de la suppression des traits d’union et des accents circonflexes pour simplifier la vie des écoliers des banlieues… On en voit les résultats.

  7. Ecriture inclusive ,désolé comprend rien à ce verbiage ,le niveau de l’écriture ,de la lecture ,de l’expression sont très faibles déjà ,cette invention ne serait qu’une catastrophe ,ah peut être une idée, ils n’ont qu’à l’appliquer à la prochaine déclaration d’impôts mdr !!!!

  8. c’est l’hopital psy à ciel ouvert, un univers de camés : bienvenue chez les cinglés

  9. Tous les calmants du monde n’y feront rien. Je suis en colère et j’ai envie de vomir.
    Je ne lis aucun document en écriture inclusive. Les mairies aiment ça. Boycott.
    Quand on ne connaît d’Alphonse Daudet que la plaque du nom de la rue, quand on ne sait pas accorder le participe passé, quand on ignore qu’après que doit être suivi de l’indicatif, on dit que le français est une langue difficile, qu’il faut qu’une langue évolue, iel, ciel au secours ! Un peu plus de schisme dans la France.

  10. Je suis un vieux con, je n’achète plus de dictionnaire. Je reste attaché à mon vieux Flammarion et à mon Larousse, tous les deux exempts de ces monstrueuses conneries. Si on veut me faire signer un document rédigé dans cette graphie, je refuserai en arguant du fait que je ne comprends pas ce sabir. Je demanderai un interprète.

    • D’accord avec vous, Argo. Mon Larousse le plus récent date de 1995 et c’est largement suffisant.

  11. Si on adaptait l’écriture inclusive au solfège, nous aurions le droit à une sacrée cacophonie! Mais il me semble que cela existe déjà, le rap en est un exemple. Ma contribution au dictionnaire inclusif: rappeur, rappeuse = bruitantaux.

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