Un rêve en or

 

La fabrication de l’islam lors de la prise de Jérusalem

 

Contrairement à l’affirmation des musulmans et au montage bricolé d’un islam-religion, le coran n’a pas été écrit par Mahomet ni même de son vivant.

 

Comme nous avons été bernés par les musulmans nous imposant tranquillement leur histoire sainte falsifiée en nous faisant croire qu’il s’agissait de l’Histoire réelle des faits advenus du temps de Mahomet, et que la vérité – tout autre  –   vient d’être découverte, nous avons un effort intellectuel à faire pour modifier notre vision des faits.

L’image pieuse véhiculée par la tradition était que Mahomet avait reçu la Révélation de la Sharia sur le modèle de Moïse recevant le Décalogue. Et que le coran, le livre saint des musulmans, avait été écrit par Mahomet.  La logique alors s’imposait : l’islam est une vraie religion à respecter, puisque son Livre saint, le Coran, a été dicté par le Dieu Allah au Prophète Mahomet, à La Mecque, entre 610 et 632. Comme on ne peut pas, légalement, s’opposer à un Dieu ni à sa religion, l’islam peut donc s’implanter en France ! C’est ce qu’il fit et le résultat est catastrophique pour les Français. La défaite de la France face à l’islam est un désastre.

 

Les résultats actuels des recherches des scientifiques mettent à bas le bel échafaudage ayant permis l’implantation de l’islam hors des pays arabes et arabisés/islamisés. Et nous apportent des arguments indiscutables et de première force dans notre engagement contre l’islam en France (ailleurs, ça ne nous regarde pas directement).

C’est important pour nous, résistants républicains à l’idéologie musulmane, opposés à l’islamisation de la France, à la conquête de notre pays par une armée étrangère qui refuse notre démocratie et nos choix de vie, de bien nous imprégner de ce qui s’est réellement passé à l’origine de l’islam et de participer, là où l’on peut et chacun à sa façon, à l’écroulement de ce château de cartes qu’est l’islam.

 

Le coran, qui est la Constitution et la base de cette organisation, non seulement n’a pas été écrit par Mahomet sous dictée divine, mais a été écrit longtemps après la mort du personnage appelé Muhammad et paré du titre qu’il n’a jamais imaginé de son vivant de ‘’prophète’’. Ce personnage est une création, un montage à partir des images des anciens prophètes juifs et chrétiens servant de modèles aux rédacteurs du coran et à partir du souvenir qu’ils avaient confusément d’un Bédouin pieux, nourri des textes juifs et chrétiens, qui habita La Mecque près d’un siècle avant les conquêtes arabes. Ce montage littéraire est datable de la fin du premier siècle de l’islam et du début du second siècle (7 et 8ème siècle de notre calendrier).

Les historiens, archéologues et chercheurs ont déjà décelé de nombreuses preuves permettant de dissocier dans le temps  le coran et Mahomet. Nous en avons déjà indiqué quelques unes dans un précédent billet. En voici une autre.

 

  • Selon les historiens, la conquête de Jérusalem eut lieu après que le second calife et second successeur de Mahomet, Omar, en eut fait le siège en 636 et 637. Un premier bâtiment de prière construit sous Omar sera remplacé par une mosquée qui ne sera achevée qu’en 705, c’est la mosquée Al Aqsa que les musulmans revendiquent pour être « le troisième lieu saint de l’islam » (avec La Mecque et Médine). Cette ‘’mosquée d’Omar’’, a été édifiée sur la colline où subsistaient les vestiges de l’antique Temple juif de Salomon rasé par les Romains en l’an 70 de notre ère.
  • Selon le coran et donc la croyance musulmane, la prise militaire de Jérusalem résulte d’un miracle voulu par Dieu. L’écriture de la sourate est destinée a posteriori à asseoir la légitimité de l’islam à s’être emparé de Jérusalem, ville des juifs et des chrétiens de l’époque byzantine. Les Arabes ne se sont emparés de cette ville que pour satisfaire la volonté divine.

 

Selon le coran, Mahomet, dès 630 (année de son retour de Médine à La Mecque), aurait fait directement savoir qu’il avait des visées de conquête militaire urgente de Jérusalem, l’ancienne capitale des juifs depuis bien avant la construction du Temple par Salomon, 17 siècles auparavant. Cela faisait 10 ans qu’il aurait développé ce projet. Jérusalem était assez riche pour attiser son appétit de butin et celui de ses ‘’guerriers de l’islam’’ ; il aurait donc raconté à son auditoire une curieuse histoire (sourate 17).

Une nuit (vers l’an 620, durant sa période mecquoise), alors qu’il priait dans la mosquée de La Mecque, il se retrouva à sa grande surprise sur l’emplacement de l’ancien Temple des juifs, sur la colline dominant Jérusalem ; conservant son sang froid, il ne se démonta pas, attacha calmement au mur son cheval Burak, et fut enlevé aux cieux (les rédacteurs du coran avaient dû entendre parler de l’histoire chrétienne de l’Ascension de Jésus, un peu plus de 600 ans auparavant, et estimaient que leur prophète pouvait très bien, lui aussi, bénéficier des mêmes prouesses divines). Puis Allah les ramena la même nuit, lui et son fidèle Burak, à La Mecque.

Le premier verset de la sourate 17 est ainsi écrit : « Gloire à celui qui a transporté Son serviteur, la nuit, de la mosquée sacrée (de la Ka’aba) à la mosquée (pas encore construite ! elle ne le sera que plusieurs années plus tard, après 640, par le calife Omar) très éloignée (à Jérusalem !), autour de laquelle Nous avons mis Notre bénédiction, afin de lui faire voir certains de nos signes ».

 

Ainsi, dès 620, durant la période mecquoise du supposé prophète, il aurait déjà eu des visées de conquête de Jérusalem, ce qui est contredit par les études historiques prouvant qu’à cette époque les relations étaient excellentes à La Mecque entre le futur ‘’prophète’’ et ses amis juifs et chrétiens. C’est le premier anachronisme de ces versets écrits longtemps après la mort de Muhammad.

Le second anachronisme tient à ce qu’il est fait mention de la mosquée de Jérusalem du vivant de Mahomet, alors qu’elle ne sera construite que 73 ans après sa mort. Il y eut d’abord un simple endroit de prières à partir de 637, puis le début d’une mosquée en 640 qui ne sera achevée qu’en 705.

Puisque la mosquée Al Aqsa de Jérusalem n’a été achevée qu’en 705 et que les rédacteurs du coran font dire à Mahomet qu’il a attaché son bidet au mur de la mosquée, c’est que ce récit a été écrit… après 705 ! Au mieux au début du second siècle de l’islam. On en revient à cette affirmation prouvée que le coran n’a pas été écrit par Mahomet ni de son vivant. Que le coran n’est donc pas une « Révélation divine » et n’a pas une origine surnaturelle. Que donc l’islam est, dès son origine, une fumisterie, un montage qu’il ne faut pas prendre pour une religion.

Le récit coranique de la sourate 17 indique ensuite que tous les prophètes de la Bible, Isa (Jésus) compris, ont été convoqués  à cette occasion à Jérusalem (Isra) et reconnaissent Mahomet comme le dernier et véritable prophète envoyé de Dieu, juste avant que Mahomet s’élève par une échelle de lumière jusqu’au septième ciel où trône Allah qu’il put alors contempler et qui lui demanda de prier cinq fois par jour. Mais pas que !

Prier cinq fois par jour est une demande divine compréhensible. Mais il y a plus important dans ce verset et lié étroitement à l’exigence divine de la conquête, ordre donné à tous les musulmans : l’ordre donné à Mahomet de continuer la conquête des autres oasis, des pays voisins et sans aucune limite !

C’est le troisième anachronisme de cette sourate : c’est parce que les Arabes avaient, de façon impromptue et imprévue, réussi à vaincre les populations voisines et à s’emparer par force et par surprise de leurs territoires, qu’il  fallut  demander aux rédacteurs du coran de présenter ces victoires (déjà réalisées) comme des prophéties de victoires futures effectuées juste pour obéir au Créateur de l’Univers !

Petite précision : d’après Ibn Ishaq, Buraq est « une monture entre la mule et l’âne, ayant une tête de femme ». Voilà un informateur qui, certainement, fut témoin oculaire de l’événement.

Historiquement, ce ne fut que cinq ans après la mort de Mahomet (que le coran situe en 632), qu’Omar, le second calife, s’empara de Jérusalem, cette ville symboliquement stratégique et autrement plus riche que les campements bédouins du désert arabique !

Depuis, ne se contentant pas de La Mecque et de Médine, de Bagdad et de Damas, comme « lieux saints de l’islam », les musulmans font un blocage sur Jérusalem, appelé (abusivement) le « Troisième lieu saint de l’islam ». La politique et la religion, une fois de plus amalgamées, se moquent du réel.

Notre chance est que les rédacteurs du coran n’aient pas écrit que le prophète, dans son rêve, avait attaché Burak sur les rives de la Seine avant de monter voir Allah aux Cieux. La France a ainsi échappé, pendant plus de 13 siècles, à être le Troisième lieu saint de l’islam. Mais notre bonheur a ses limites : l’ordre donné par Dieu aux musulmans de conquérir tous les pays se retrouve toujours dans le coran, et l’invasion de notre pays est en cours.

 

Comme, historiquement, preuves archéologiques à l’appui, la construction de la mosquée de Jérusalem a été achevée 73 ans après la mort de Mahomet, ce n’est pas Mahomet qui a pu écrire le récit de sa visite même en rêve à Jérusalem et comment il a attaché son cheval au mur de la mosquée. Mais, au début du second siècle de l’islam, il devenait important pour le calife d’affirmer que les prises militaires des Arabes étaient voulues par Dieu. Que Jérusalem était une possession d’Allah et des Arabes. Et que les musulmans devaient être unis dans la croyance en un ‘’prophète’’ capable de prodiges similaires à ceux des grands prophètes précédents. C’est ainsi que fut écrit le coran et que fut créé l’islam.

Les musulmans qui prétendent s’appuyer sur l’Histoire pour étayer leur récit coranique, peuvent se suicider ou apostasier : l’Histoire contredit point par point le récit coranique et dément tout lien entre le coran (un livre matériel et réel, écrit, imprimé, distribué) et le « prophète » (hypothétique, personnage créé près d’un siècle après la mort de l’individu qui suscita l’idée de ce rôle). L’Histoire contredit le coran et les récits des imams et l’islam vacille. Poussons-le du côté où il penche.

 

Contre une religion, on ne peut rien faire. C’est la loi.

Mais contre une armée : Si, on peut ! On a la loi avec nous, on est dans notre droit et même notre devoir en résistant à une armée en invasion de notre pays !

 

 

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28 Comments

  1. Le coup du cheval , c’est pour concurrencer l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, modestement monté sur un âne, pour la fête des Rameaux.
    Il n’y a jamais eu de miracles en Islam, jamais de prophètes, jamais aucun prodige.
    D’ailleurs cette histoire du cheval est d’un ridicule consommé, qui ne peut tromper que de grands ignorants.

  2. 6/
    Ce n’est donc que plus tard, dans le but de faire de la ville sainte du judaisme et du christianisme, leur propre ville sainte, que l’Islam (qui s’était étendu géographiquement) révisa la localisation de « la Mosquée Lointaine » à Jérusalem, selon leur habitude classique de vol des sources légitimes :
    Abraham n’est plus Juif mais musulman, idem pour Jacob, Joseph, Moïse, Jésus etc…
    Il en est allé de même pour Jérusalem, tout simplement.

  3. 5/
    Cette thèse est d’ailleurs reprise par des érudits musulmans contemporains :
    « Saudi Lawyer Claims Al Aqsa Mosque Is In Saudi Arabia Not Jerusalem | Muhammad Shaikh Speech In 1992 »
    https://www.youtube.com/watch?v=Y1ObtRn8LDE

    ou encore cet article, reprenant les propos d’Osama Yamani :
    https://www.i24news.tv/en/news/middle-east/1605438896-saudi-lawyer-claims-al-aqsa-mosque-s-true-location-is-not-in-jerusalem

    et qui dit que la Mosquée Lointaine était en Arabie, dans un lieu nommé Al-Jurana près de la Mecque.

  4. 4/
    Mordekhai y prouve son fait en partant de sources reconnues musulmanes qui établissent que la Mosquée Lointaine était en Arabie. Je cite :
    « The second difficulty is that Islamic tradition tells us that al-Aqsa mosque is near Mecca on the Arabian Peninsula. This was unequivocally stated in « Kitab al-Maghazi, » a book by the Muslim historian and geographer al-Waqidi. According to al-Waqidi, there were two « masjeds » (places of prayer) in al-Gi’irranah, a village between Mecca and Ta’if – one was « the closer mosque » (al-masjid al-adna) and the other was « the further mosque » (al-masjid al-aqsa,) and Muhammad would pray there when he went out of town. »

  5. 3/
    En réalité, les érudits expliquent que dans les premiers temps de l’Islam, il s’agissait stricto sensu du réglement d’une « querelle de clocher ».
    La réconciliation entre deux mosquées concurrentes, toutes deux en Arabie et Mahomet, par cette sourate, vient simplement, faire de la diplomatie pour dire aux deux assemblées de fidèle que chacun est respectable.
    Un orientaliste israélien de renom, Mordekhai Kedar, avait évoqué le sujet sur Al-Jazeera (vidéo disponible sur YouTube) ainsi que dans cet article :
    « The myth of al-Aqsa » ( https://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3596681,00.html )

  6. 2/
    Les faits (suite).

    A partir d’une date (que je ne sais établir), la tradition musulmane établit que la mosquée en question, « la lointaine » était à Jérusalem.
    C’est une forme de révisionnisme typique de l’Islam et qui permit aux Musulmans d’élaborer leur syncrétisme, qui veut que l’Islam soit la version mise à jour de la vraie religion (donc la 3.0), ou le nouveau « Nouveau Testament ».
    Je vous renvoie à l’article d’Antiislam sur l’ « appropriation culturelle » de l’Islam quant aux éléments religieux des monothéismes l’ayant précédé :
    https://resistancerepublicaine.com/2023/05/03/le-supremacisme-musulman-est-aussi-un-negationnisme/

  7. 1/

    Texte très problématique et auquel je ne souscris pas du tout.
    Il part d’une prémisse non-dite et qui est, je crois, fausse.

    Les faits :
    Dans le Coran, le nom de Jérusalem n’apparaît nulle part. On a seulement une sourate appelée « le voyage nocturne » (sourate 17, verset 1 ) qui mentionne l’existence d’une deuxième mosquée, appelée la lointaine (Al-Aqsa) en ces termes :
     » Gloire à celui qui a fait voyager de nuit son serviteur de la Mosquée sacrée à la Mosquée très éloignée dont nous avons béni l’enceinte, et ceci pour lui montrer certains de nos Signes. »

  8. Bref Dehors l’islam. L’islam est une secte maléfique et pas une religion. Dehors, dehors, dehors et raser moi toutes ces saloperies de mosquées.

    • Christian, et si, au lieu de les raser, nous en faisions des musées de l’horreur musulmane ? On a largement de quoi les remplir d’horreurs ! La pédagogie, auprès des écoles, des touristes étrangers, de tous les Français et visiteurs de notre pays, ne serait elle pas plus efficace pour que l’islam disparaisse définitivement ?

      • Avec tous les articles de Jules Ferry, on a de quoi faire un musée des horreurs qui ferait peur au plus matérialiste des mafieux albanais.

  9. Les musulmans ont toujours été des opportunistes et ceci dès le départ en se servant du judéo-christianisme, notre religion pour édifier la leur comme une évolution de la nôtre, qui peut croire une telle absurdité et il ne s’agit pas de foi mais de rationalité, on estime que le pentateuque dans sa première version date de 1400 avant JC ce qui fait que les musulmans se seraient raccrochés à lui 2000 ans après sa création et tout ça juste parce que le peuple arabe descendrait du patriarche Abraham ? le lien n’existe pas avec l’islam et sa création ! Les musulmans font exactement la même chose aujourd’hui en France en se servant de nos lois Françaises pour être protégés et reconnus alors que leur objectif n’est pas de nous ressembler mais bien de nous conquérir et de nous soumettre même si pour ça ils doivent mentir, tricher, manipuler ou pire encore. L’islam est un système politique totalitaire qui ne s’arrête jamais sauf si on lui botte le cul.

    • Et c’est quand qu’on lui botte le cul pour vivre enfin en paix ? J’attends !!!

  10. Comme on dit en langage populaire: « En remettre une couche!! » Voilà c’est fait! Merci pour cette deuxième belle couche ! Je n’ai plus qu’un souhait ,c’est que régulièrement l’Islam soit dénoncé comme une supercherie historico/religieuse . Christine a toujours écrit dans ce sens, à ses dépens…….félicitations.
    Merci à tous. Exemple de  »couverture juridique » :
    S 8 Ver 17: Ce n’est pas vous qui les avez tués; mais c’est Allah qui les a tués!!

    • Joli retour du boomerang ! Bien trouvé, merci Florius !

  11. Merci pour ce récit ; je suis athée…mais je me pose des questions et je penche dans la spiritualité ; il y a des faits indéniables d’une construction fictive, comme vous dites  » se moque du réel  » ! ;mais alors qu’en est il du récit de notre propre religion, peu dans le réel – mais au fond, cela nous regarde – , de Jésus qui sort du tombeau en roulant une pierre d’un certain poids ! et de la vierge qui enfante sans…le savoir ? ! Après, ce que je reconnais dans la religion catholique, c’est que, encore aujourd’hui, elle fait des recherches, – nous le voyons au travers d’émissions fréquentes – , c’est important, et qu’il y a eu des modifications au fur et à mesure du temps. Ce que ne fait pas l’islam qui dit bien qu’il est impossible de changer quoi que ce soit puisqu’il est incréée ( ce qui est bien commode ! )

    • Bonjour Denise. Il y a des théologiens distingués, dont plusieurs abbés, qui lisent nos articles et commentaires de R.R. et qui répondront peut-être mieux que moi à votre question. Mais je ne me dérobe pas. Supposez qu’un archéologue lise ma réponse dans xxx siècles et ne dispose plus des codes pour comprendre notre façon de parler, il traduira mon commentaire dans sa langue et en déduira que je porte une  »robe » puisque j’ai écrit que je ne me  »dérobe » pas. Et si je vous écris que mon verre vient de tomber et s’est cassé en « mille morceaux » il pourrait en déduire qu’au XXI è s. nous comptions les morceaux lorsqu’un verre se casse. Il pourrait même créer une secte dont l’objet serait de casser des verres de façon à arriver à mille morceaux pour pouvoir aller au paradis des casseurs de verres. Hé bien, transposons : les récits des évangiles ont été écrits par des Juifs en Orient il y a 2000 ans, pour des populations aux mentalités, à la culture, aux façons de penser et d’occuper son temps bien différentes des nôtres. (suite 1)

      • (suite 1) Le but de ces récits agrémentés de miracles n’était pas de faire passer Jésus pour un magicien (marcher sur l’eau, changer de l’eau en vin, ressusciter des morts, guérir des aveugles, etc.) mais de dire à ces populations (les évangélistes ne pensaient ni ne s’adressaient ni à nous ni à notre cartésianisme d’aujourd’hui !) qu’elles avaient tout intérêt à modifier leurs croyances (judaïques ou polythéistes romaines) et réformer la religion dominante en Judée-Samarie à cette période de domination par les Romains où ça ne marchait pas très fort pour les Juifs. « Ressusciter » est donc une expression orientale de l’époque pour signifier que ce Jésus-prédicateur qui dépoussiérait son judaïsme en se libérant de lois caduques et devenues sans lien avec l’époque, avait raison aux yeux des évangélistes juifs et des premiers  »chrétiens » (l’appellation viendra plus tard, à Antioche). (suite 2)

        • (suite 2) Leur message était : croire en un Dieu-Père (et non plus celui Terrible de Moïse, ni être athées), aimer son prochain (et non plus la loi du talion), se libérer d’obligations et de lois (alimentaires, familiales, vestimentaires, etc.) contraignantes et sans grand intérêt pour l’individu et la société, ne pas placer l’argent comme première valeur à adorer, abandonner la loi du plus fort, etc : ce sont les  »Béatitudes ». Et aujourd’hui et ici, pour adhérer à ces choix de vie à notre époque, pour être chrétien donc, nul besoin de croire aux miracles décrits pas davantage qu’à la Résurrection de la chair. Cette expression forte était nécessaire il y a 2000 ans dans le cadre étroit et archaïque de la Palestine romaine, ce n’est plus le cas pour nous à notre époque en France. (suite 3)

          • (suite 3) Ceci dit, je suis moi aussi athée. Et heureux que la civilisation que j’apprécie et que je défends ait bénéficié de ces choix de vie (les  »Béatitudes ») attribuées à Jésus et diffusées par ses apôtres, ses évangéliste et ses disciples. Entre notre civilisation chrétienne et humaniste, et l’islam qui veut nous conquérir pour nous imposer la Sharia et des choix de vie archaïques, c’est le jour et la nuit ! Je suis donc heureux de faire partie d’une civilisation chrétienne et on peut me compter comme  »chrétien » s’il faut être comptabilisé pour des statistiques.

          • merci pour votre réponse ! je me faisais l’avocat du diable, tout en me questionnant comme je l’ai fait ici, pour moi, mais aussi : si nous avions à discuter avec un musulman, il ne manquera pas d’évoquer notre religion dans ce que j’ai écrit précisément, comme je l’ai déjà entendu . Bien sûr qu’il n’y a aucune comparaison à faire avec l’islam, je ne comprends même pas que certains ne puissent le comprendre ! et je suis, même athée, empreinte de la religion catholique, en effet, comme eux baignent dans leur politico/ religion /dictature, c’est pour cela que nous sommes incompatibles !. Deux exemples ; un syrien vient d’arriver en Franche Comté, il a perdu sa 1ere femme et donc fait venir la 2eme épouse !! , et puis les printemps arabe, qui signifiait ( ? ) qu’ils voulaient se départir du carcan, mais qui ont échoués !

        • Désolé d’interrompre votre démonstration linguistique, mais il me semble que vous êtes en plein négationnisme concernant les écrits bibliques.

  12. Leur bouquin , leur coran n’est qu’en partie qu’un plagiat de la Bible et de la Thora dont des passages et textes furent tirés .L’Îsâ du Coran est un leurre, destiné à séduire les crédules occidentaux pour qu’ils acceptent l’idée que l’islam est une religion, au même titre que le Judaïsme et le Christianisme. Ce qui est absolument erroné ! En effet, pour l’islam, le Coran est la révélation dictée mot à mot par Dieu et fait donc loi, et la Torah et les Évangiles seraient des sortes de « pré-Coran », dont les textes auraient été altérés et dévoyés par les Juifs et les Chrétiens, selon les propos dictés par Allah à Mahomet. Facile comme justification pour rejeter la Bible dont le Coran n’est, en fait qu’un vulgaire plagiat, agrémenté de légendes et d’histoires arabes. Suite en dessous ou au -dessus .

  13. La vision Coranique du retour d’Issa à la fin des temps s’est inspirée de l’Apocalypse de St Jean, mais en l’adaptant en leur faveur. Issa reviendra pour tuer les Juifs et les Chrétiens et établir l’islam à la surface de la terre, abattre les croix, puis mourir. Joyeuse perspective à la mahométane !
    https://www.dreuz.info/2012/04/le-coran-est-un-plagiat-de-la-bible-et-de-la-torah-24982.html
    https://actualitte.com/article/18230/reseaux-sociaux/paleographe-elle-dechiffre-des-extraits-de-la-bible-sous-le-texte-du-coran

  14. Cher Jacques Lenormand,
    Un grand merci pour ce travail consciencieux et bien élaboré. Je vois que vous êtes quelqu’un de très informé, qui ne compte pas le temps de ses recherches et études – comme la majorité de nos contributeurs sur RR -, un site qui ne fait que réveiller les Français sur ce qui se trame dans leur dos. Bravo! Et pour cause, ce que vous dites est vérifiable et vérifié, moi-même qui lit l’arabe du coran, et pas que moi sur le site RR. Vous redonnez à RR une nouvelle impulsion sur ce sujet, qui ne peut être que saluée et appréciée. Continuez votre travail, informons, informons informons, et surtout ne laissons rien passer. Merci. Cdt

    • Chère Gamma, heureux de contribuer à accompagner vos recherches en ce domaine ! C’est bien parce qu’il y a des personnes comme vous sur ce site que je partage avec elles ma passion qui est de nous éviter l’étranglement par l’islam. Il y a un éventail de moyens pour cela. L’utilisation de la violence n’est pas mon premier choix. Ni le rêve stérile de tuer tel ou tel responsable politique. Il y a mieux et plus efficace. Et votre idée, ces jours derniers, de participer sur les forums (You Tube et autres) en apportant ce que nous savons et nos arguments (encore faut-il s’y intéresser et apprendre, travailler ) pour démonter les bases dites  »religieuses » de l’islam, est la meilleure ! Oui, informons ! Merci à vous. Cdt.

  15. Le coran, une fable a l’usage des ignorants, mais une fable dangereuse. Merci à Jacques Lenormand pour ce rappel important.

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