L’inspiration c’est comme les champignons, quand il n’y en a pas, faut apprendre à faire sans…
D’inspiration, je manquais aujourd’hui pour écrire un article. Et soudain, comme la lumière vint aux Rois mages pour trouver le chemin de Bethléem, j’ai été illuminé par une information éclatante : les cinquante ans du torche-cul Libération !
Cinquante années de sévices idéologiques qui n’ont pas peu contribué à la déconstruction méthodique – et non moins jouissive pour ces cancrelats journaleux – de la France, avec le résultat enviable que l’on sait. Libération, ce journal gauchiste mondain, fondé, entre autres, par la grande gueule la plus veule et vilaine de la littérature française du XXe siècle : Jean-Paul Sartre, l’homme qui racontait comment faire mais qui n’a rien fait du tout. L’homme encore qui, juste préoccupé de sa gloire, rampait sous l’Occupation et s’est, toute honte bue, inventé un destin de résistant après-guerre. Destin qui n’a jamais pu être authentifié.
Sartre dont Céline avait brossé un portrait d’une justesse rigoureuse, en ces termes : « Ces yeux d’embryonnaire ? ces mesquines épaules ?… ce gros petit
bidon ? Ténia bien sûr, ténia d’homme, situé où vous savez… et philosophe !… c’est bien des choses… Il a délivré, paraît-il, Paris à bicyclette. Il a fait joujou… au Théâtre, à la Ville, avec les horreurs de l’époque, la guerre, les supplices, les fers, le feu. Mais les temps évoluent, et le voici qui croît, gonfle énormément, J.-B. S. ! Il ne se possède plus… il ne se connaît plus… d’embryon qu’il est il tend à passer créature… » (À l’agité du bocal).
Revenons à Libération, ce « journal du peuple pour le peuple », qu’on disait, enfanté par des bourgeois révolutionnaires, en 1973.
L’un des hauts faits d’armes de ce furoncle de la presse mal écrite sera son traitement durable de la pédophilie, érigée en art de vivre dans ses colonnes, tout comme Le Monde immonde qui avait publié une tribune favorable à cette pratique prédatrice, en 1977. Ce qui, contrairement à d’autres, n’a jamais valu à Libération et au Monde le sort que ces combustibles à cheminée auraient mérité : leur disparition pure et simple.
Pourtant, Libération fête ses cinquante bougies suintantes. Libération qui, de 1975 à 1995, a, en toute connaissance de cause, compté un pédophile dans sa rédaction : Christian Hennion. Imaginez un court instant qu’il se soit agir de Valeurs actuelles…
Lorsque l’affaire Matzneff a éclaté, Libération a voulu se la jouer encore plus repentant, rappelant, avec une contrition fausse, qu’en juin 1981 il publiait l’entretien d’un certain Benoît, pédophile décomplexé, avec le titre aussi racoleur que sordide : « Câlins enfantins ». On pouvait y lire (accrochez-vous !) : « Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j’ai eu fini, la petite s’est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit “à mon tour, maintenantˮ. Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans. » Et le journaliste de rapporter : « Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse. » Envie de gerber ? c’est normal !
Nonobstant sa promesse d’un examen de conscience en la matière, et réveillant à nouveau ses vieux démons, en 2021 Libération publie la lettre d’un violeur adressée à sa victime. La justification du journal face au tôlé est la suivante : « “L’auteur décrit avec précision les déterminants personnels, culturels et sociaux qui ont participé à la commission de son acte. Il ne se justifie pas, ne s’autoflagelle pas, ne se défausse pas, il explique. Et expliquer n’’est pas excuserˮ, estime le journal. “Dire qu’il donne le point de vue du violeur n’est que partiellement vrai. Sa réflexion vise à nous interpeller, à nous sortir de la zone de confort consistant à considérer que le violeur, le monstre, c’est l’autreˮ, se défend le quotidien, faisant valoir “une condition nécessaire, mais pas suffisante, pour entrer de façon plus éclairée sur le terrain de la prévention du violˮ. »
Cela s’appelle du voyeurisme gourmand et bien dégueulasse comme il faut. Mais ce n’est que mon avis réactionnaire, bien entendu ! Ou comment, par ailleurs, justifier un gros coup de pub en descendant dans les abysses de l’océan d’infamie. C’est quoi la prochaine étape, Libé : la publication des souvenirs d’enfance de Dennis Rader, tueur en série américain plus connu sous le doux nom de BTK, (bind, torture and kill : ligoter, torturer et tuer) ?!
Là, je n’ai causé que des mœurs de ce papelard salasse. J’aurais pu évoquer ses fantasmes délirants, comme le « terrorisme d’extrême droite », qui lui fait mouiller aussi sûrement la culotte qu’à l’idée, jadis, de tripoter une gamine de cinq ans !
J’aurais pu, par exemple, raconter l’islamophilie systémique de Libération qui dure depuis des années. Comme en 2002 où, sous couvert de rapporter les faits, alors que les vautours du MRAP, de la LDH et la LICRA avaient saisi le juge des référés contre un ouvrage jugé islamophobe (déjà à l’époque !) de la journaliste italienne Oriana Fallaci – La rage et l’orgueil –, Libération avait titré en toute dhimmitude : « Fallaci, la femme qui diffame l’islam ».
https://www.liberation.fr/societe/2002/06/19/fallaci-la-femme-qui-diffame-l-islam_407567/
Puisque je ne suis pas Prévert, j’arrête là mon inventaire. Et je te souhaite un joyeux anniversaire, putride Libé perfusé au fric français, cependant résolument tourné vers la haine de la France charnelle. Puisses-tu fêter tes soixante ans au cimetière…
Charles Demassieux
https://ripostelaique.com/liberation-fete-ses-cinquante-ans-dimmondices.html
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Je n’ai jamais acheté une seule fois un n° de Libération. Le vrai test, ce sera quand l’Etat cessera de subventionner la presse. Là, ça risquera d’être douloureux pour ce journal nocif.
faire tout un article sur ce torchon que personne n achete a part laurent mouchard le directeur de ce pq je ne vois pas trop l interet
J’avais un collégue, un gars sympa, socialiste dans l’àme pour la bonne cause à l’époque ( le bien être de ses semblables, un gars pur).
Quand il me tendait Libé je lui répondais : « non merci, j’ai les mains propres ! »
Un jeu entre potes ☺.
Je tiens à démentir : Sartre était bien un résistant… mais dans les rangs du FLN. Il a fait une campagne glorieuse en 1940… dans les services météorologiques de l’Armée. Pas étonnant que l’on ait perdu cette guerre. J’ai pu voir une photographie de Sartre en soldat : effrayant, les Allemands ont dû en faire dans leurs pantalons. Dix comme lui et nous remportions la victoire.
Libération ? C’est un torchon de Gauchos, de pédophiles avec Christian Hennion et la glorification des Pédophiles type Gabriel Matzneff et cie, l’islamo Gauchisme dont les journalistes gauchistes glorifient l’idéologie islamiste, de la délation avec la grande dinguerie Covidiste et la Guerre Russo, l’anti France, le délire Antiraciste de Pierre Plotu et consorts bref Libération est une merde Gauchiste qui mérite de disparaître du monde de la presse tellement ça pue !