Voilà quatre ans que s’embrasait le monument le plus prestigieux de l’histoire de France. C’était le lundi saint, premier jour de la Semaine Sainte, le 15 avril 2019.
Retour sur 2010 : un petit groupe de visiteurs franchit la porte dérobée, à l’intérieur de la cathédrale, pour prendre l’escalier qui mène au sommet des tours ainsi qu’au chemin de ronde. Surprise : le guide qui les accueille n’a rien d’un catho : un look afghan, avec un accoutrement interrogateur. Il ne manquait que les kalachnikovs ! Voici à quoi il pouvait ressembler :
Toujours est-il que le barbu semblait connaître parfaitement la géographie des lieux. D’où la question : comment se retrouvait-il dans cette fonction ? Qui l’avait recruté ? L’archiprêtre Monseigneur Chauvet ou bien l’une de ces nombreuses associations qui font visiter les monuments historiques avec l’accord du diocèse ? Si tel est le cas, il doit bien y avoir une trace quelque part de ces personnes habilitées à monter dans les tours avec du public ! Et l’on ne peut s’empêcher de se poser la question suivante : les autorités de Notre-Dame auraient-elles été infiltrées à leur insu ?
Cette hypothèse n’est pas si farfelue : non loin de Notre-Dame, la préfecture de police avait été infiltrée par un islamiste qui, de surcroît, travaillait dans un service chargé du renseignement : Mickaël Harpon. La tuerie a eu lieu à peine six mois après l’incendie de Notre-Dame !
Crédit JDD
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/attaque-a-la-prefecture-de-police-de-paris/
Après deux ans d’enquête, la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris a conclu que l’incendie de Notre-Dame de Paris n’était pas d’origine criminelle, corroborant l’hypothèse avancée dès le lendemain du drame, le 16 avril 2019, par Rémy Heitz, procureur de la République de Paris : « rien ne va dans le sens d’un acte volontaire » avait-il déclaré.
Quatre ans après l’incendie, l’enquête devrait se solder par un non-lieu. En effet, le 17 août 2022, Le Canard Enchaîné rapporte les propos d’un magistrat du parquet : « Le dossier va être classé car il nous est impossible de savoir si c’est la piste du mégot ou celle du court-circuit électrique qui est la bonne (…) S’il y avait eu des victimes, la situation serait différente, il y aurait des mises en examen. Mais, là, que voulez-vous, il n’y a que des dommages matériels ».
Cela arrangera bien tout le monde et surtout l’État propriétaire des cathédrales de France et qui est aussi son propre assureur. Aussi, certains voient-ils, dans cet empressement à clore l’enquête, un véritable scandale d’État !
https://lechiffon.fr/incendie-de-notre-dame-enquete-sur-un-mensonge-detat/
Mais ce n’est pas parce que les indices sont difficiles à trouver que la piste criminelle doit être écartée. Il est bien connu dans les affaires criminelles, dont les séries télévisées nous abreuvent, que le feu permet de faire disparaître les indices ! Mais est-ce pour autant une raison pour capituler ?
En effet, trois éléments questionnent :
La recrudescence des attaques contre les lieux de culte chrétiens : l’Observatoire continental rapporte qu’en 2018, 1063 attaques contre des églises ont été recensées.
http://www.observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=999
On se souvient du départ de feu visant les portes de l’église Saint-Sulpice, moins d’un mois avant le drame de Notre-Dame de Paris, le 18 mars 2019. L’on se souvient encore de l’attaque incendiaire de la cathédrale de Nantes du 18 juillet 2020.
Saint Sulpice
Nantes
Un projet d’attentat a visé Notre-Dame de Paris, le 4 septembre 2016 : une Peugeot était retrouvée par des policiers à proximité de la cathédrale Notre-Dame à Paris, avec six bonbonnes de gaz à l’intérieur. Le drame avait alors été évité de justesse.
L’irruption de visiteurs improbables dans la cathédrale
Certes, à raison d’une moyenne de 30 000 visiteurs par jour, il est difficile d’assurer une sécurité sans faille, malgré la mise en place, peu avant l’incendie, d’un vaste système de vidéosurveillance autour de la cathédrale.
Notons cependant que :
– le 2 janvier 2016, neuf Femen viennent profaner le lieu de culte pour « fêter » le départ de Benoit XVI !
– en 2018, des adolescents sont montés par les échafaudages pour se filmer en train d’escalader, en toute impunité, le toit de la cathédrale.
On peut les voir escalader des grilles et atteindre, très facilement, des lieux normalement inaccessibles au public. « Sans jamais être inquiétés l’espace d’un instant, ils y passent même la nuit pour attendre le lever du soleil ».
Sans parler de guides venus de nulle part, comme celui qui avait étonné le groupe de touristes de 2010 !
Les incohérences de la piste de l’accident
En l’absence d’indices matériels sérieux, on limite le débat à deux hypothèses : celle du mégot mal éteint et la défaillance de l’installation électrique. Inutile de dire que la première hypothèse relève du grotesque : un mégot ne peut suffire à enflammer des poutres en chêne vieilles de 850 ans ! Si une défaillance électrique est possible, si l’alerte a tardé à faire intervenir les secours, la rapidité de la propagation de l’incendie interroge. C’est là que les choses se compliquent ! Une entreprise était passée pour passer un produit insecticide sur les poutres. Sauf qu’il s’avère que ce produit était hautement inflammable. Certains pensent qu’on lui a substitué un produit pyrotechnique, à base de poudre d’oxyde de fer et d’aluminium. Ce qui expliquerait la coloration des flammes, le brusque échauffement et la rapidité de l’embrasement.
Cette potion magique, qui libère une très grande quantité de chaleur, est d’ailleurs utilisée pour souder les rails de chemin de fer. La suite, on la connaît : la forte température a eu pour conséquence de percer la toiture et de faire fondre les plaques de plomb qui la recouvraient. Or, il est de notoriété publique que les pompiers se sont interrogés sur la nature de l’incendie qu’ils avaient à combattre.
Comment un produit insecticide a-t-il pu être remplacé par un produit pyrotechnique ? Est-ce de manière accidentelle ou intentionnelle ? Qui avait passé cette commande et pourquoi ? Voilà une nouvelle question qui risque bien d’être au cœur des nouvelles investigations et qui, indirectement, réactive l’hypothèse d’un attentat, à défaut d’une erreur humaine.
Il va de soi que la piste criminelle dérange : si elle se révélait fondée, elle mettrait à mal les services du renseignement qui auraient été incapables d’anticiper l’événement. Elle risquerait aussi de réactiver les tensions interethniques qui divisent de plus en plus la France. En 2019, le souvenir des attentats du Bataclan n’est pas très vieux ! Il faudrait alors relancer une opération de com’ du genre « vous n’aurez pas ma haine »… au risque cette fois-ci d’un flop général ! Tous les moyens sont donc bons pour écarter cette piste. L’absence de preuves matérielles tombe à pic. Rien n’est plus simple, pour faire taire les mécontents, que de lancer une campagne de diabolisation : c’est exactement ce qui s’est passé, avec la complicité des médias aux ordres. Ceux-ci ne se sont pas privés, dès 2019, de crier au complotisme, au conspirationnisme, au racisme d’extrême drouate et aux fake news.
Nicolas Dupont-Aignan est accusé de conspirationnisme par Libération (16 avril 2020). Jean-Marie Le Pen est accusé de verser dans la théorie du complot (RTL 1er mai 2019). André Bercoff, Jean Messiha et Fdesouche sont pointés du doigt par le journal Le Monde (2 novembre 2019). Faisant fi de toute déontologie, Libération accuse même Russia Today d’y voir un affrontement entre chrétienté et islam. Pourtant, à l’époque, d’après un sondage de l’IFOP pour la fondation Jean Jaurès et Conspiracy Watch, 46 % des personnes interrogées doutaient de l’origine accidentelle de l’incendie.
Est-il abusif d’exiger des enquêteurs qu’ils poursuivent leurs investigations sans négliger aucune piste, qu’ils questionnent les responsables ecclésiastiques sur les autorisations qu’ils ont accordées à leurs partenaires dans la gestion des visites, qu’ils vérifient les marchés passés avec les entreprises intervenantes ? Tout un travail qui semble avoir été minimisé, voire ignoré, tant par les enquêteurs institutionnels que par les journalistes d’investigation. Notons au passage que le contenu de la plupart des enquêtes n’a jamais été divulgué au public. Secret défense ou raison d’État ?
Hector Poupon
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Bien sur que c’est un incendie criminel voulu pour détruire ce symbole de la France Fille Ainée de l’Eglise , foutriquet et l’ordure d’edouard philippe sont responsables .La Thermite utilisé en soudage aluminothermique. plusieurs experts avaient évoqués ce produit pour enflammer la charpente en chêne vieille de + de 800 ans , ,un chêne de cet âge est aussi dur que du béton , donc il en faut des mégots et des étincelles pour y foute le feu .
Ces poutres étaient pétrifiées, càd transformées en pierre par le temps.
Il n’y avait nul besoin d’insecticide, cela parait pour le moins totalement incongru.
Qui a eu cette idée ? l’Etat ou le diocèse ?
Quelle a été l’entreprise choisie ? Quel a été le produit utilisé ?
L’enquête est simplissime, mais encore faut-il le vouloir .
L’incendie de Notre Dame de Paris est criminel tout simplement ! Même si cette église est le théâtre de différents manifestations des Progressistes Femen e cie il est dommage de voir cette église être incendier de la sorte .
Moi aussi, je suis convaincu que cet incendie était criminel, a été sciemment organisé et je ne crois pas une seule seconde le narratif des médias bien pensants. Et puis, c’était quand même troublant, cet empressement de classer une affaire aussi grave…
le fouet de mon grand père maternel, cocher de son état, me conviendrait pour calmer ces jument depoitraillées dites « femelles »
Oui le mégot de cigarette est sans doute responsable de l’incendie de ND.
Il suffit de répandre un bidon d’essence ou tout autre produit hautement combustible et de balancer un mégot et boum!
Le même mode opératoire est très certainement employé pour les centaines d’incendies de forêts.
Mais tout ça bien sûr est accidentel! Les poutres en chêne de plusieurs siècles auraient été traitées peu avant l’incendie! Pourquoi ? et avec quels produits ? C’est quand même incroyable que des analyses sur les produits de traitement n’aient pas été faites ou tenues secrètes, la couleur des flammes au vu des spécialistes affirme que ce serait dû à la présence de thermite dont la température monte à 2200 degrés. Si les poutres ont été traitées à la thermite l’incendie ne pouvait que tout brûler, bois, métaux, pierres. Amen!
J’espère pour eux que les deux barbus plus haut ne fument pas, ou gare aux feux de broussaille !
Que voulez vous que ce soit d’autre ?????????????????????? a part la Termite ou Thermite ……
En faire autant dans la grde mosquée de paris, mais le feu ne prendra pas parce-que toutes les mosquées en béton, faut qu’elles soient solides les casernes à jihadistes qu’affectionne le herr dogan « européen » !
THERMITE.
La couleur jaune moutarde visible lors de l’incendie et très caractéristique est typiquement la couleur d’un feu de cette substance (que l’article évoque par sa composition chimique mais sans la nommer).
https://fr.wikihow.com/fabriquer-de-la-thermite
Vous etes exaucé
Je n’ai jamais cru à un coup du hasard pour ma part.
Notre-Dame est un symbole fort, le jour aussi est significatif.
J’ ai donné 2 commentaires , dont je suis sur quasiment a 100% , rien ? pas grave , on se pose des questions tout simplement …. sur un evenement qui symboliquement sert a detruire le Christianisme sur la sainte Terre de France , parce que depuis Saint Augustin qui est venu christianiser la France vers 350 apres J.C ,la Terre de France a conçu TOUTE SA CULTURE et SA CIVILISATION sur LE CHRISTIANISME ET LE CATHOLICISME , n’en déplaise aux faux -culs La Terre de France et de Navarre n’est et ne sera pour le futur que d’obédience …CHRÉTIENNE , quand a la censure , pas grave on s’en remettra
Les dégâts commis sur la statuaire, les vitraux, les oeuvres d’art sont irréparables. Si ça avait été une mosquée, il y aurait eu une enquête approfondie et on aurait trouvé des coupables même de circonstance, d’extrême- droite de préférence.
Moi, je n’en démords pas, je suis persuadé que c’est un attentat et notre gouvernement macronien nous ment encore une fois. Le perfide clown qui nous sert de président (c’est pas le mien) se fendait la gueule en regardant la cathédrale cramée et tout le monde sait qu’il préfère les adeptes de l’islam aux français de souche. C’est un attentat, point barre. Mééééé si un français avait foutu le rife à une mosquée alors là…….
Bonjour Christian Jour,
Essayez de lancer le feu dans une cheminée avec un morceau de chêne du genre 10X10. Rien que ça vous n’y parviendrez pas. Bien sûr que c’est un attentat. Et les autres églises et bâtisses incendiées c’est quoi?
Bonjour Gamma, vous avez raison une poutre de chêne relativement vieille à beaucoup de mal à s’enflammer, après l’incendie de la cathédrale de Paris et suite aux polémiques au sujet du mégot laissé par un des ouvriers j’ai voulu voir avec un chalumeau le résultat est une brûlure importante en laissant le chalumeau pendant longtemps mais pas de propagation.
« Bonjour Gamma, vous avez raison une poutre de chêne relativement vieille à beaucoup de mal à s’enflammer »
Exact. J’en ai chez moi, et, inquiète car c’était du bois en cas d’incendie, un pompier m’avait dit qu’au contraire, que des poutres en chênes auraient du mal à brûler.
Bonjour Amélie Poulain, en effet, sachez qu’à température égale une maison en béton et parpaing brûlerait nettement plus vite qu’une maison ancienne avec poutres en chêne. Alors leur mensonges aux naïfs.
Je pense que les produits inflammables destinés au traitement des poutres n’ont pas été utilisés par erreur. Beaucoup d’entreprises emploient du personnel plus que douteux. Les terroristes ont tous une profession qui dissimule leur véritable activité. Tant qu’ils seront là, nous avons tout à redouter. Je ne suis pas sûr que la cathédrale ne sera pas cramée après sa restauration.
Bonjour Argo, certes que les criminels ont utilisé des produits inflammables. Impossible qu’un mégot ou autre ait entamé une poutre. Mettez 100 mégots dans une cheminée collées à la bûche de chêne il s’éteindront en noircissant quelque peu cette dernière. En tout cas, qui n’a pas pleuré en voyant ND brûler n’a pas de sentiments pour la France et son histoire.
Je suis au courant. Une vieille poutre en chêne c’est dur comme du fer. Même les pointes ne rentre pas. Ils ont fait voir sur youtube une vidéo ou un mec a attaqué un vieux morceau de chêne, en fait une petite poutre, au chalumeau, et bien macach, ça a juste brûler la surface et encore parce qu’il avait insisté. Alors un mégot….
Ce qui est improbable aussi c’est que Notre-Dame soit prête pour les J.O. de 2024 et son flot de touristes. C’était pourtant la promesse du merdeux de l’Élysée.
Un responsable de la restauration de la cathédrale a déclaré hier à la radio que l’accès à l’intérieur sera impossible et qu’il n’est pas du tout certain que tous les échaffaudages soient enlevés.
Mais je m’en fous car les J.O. ne sont pas un repère impératif dans l’Histoire de Notre-Dame. Comme je me fous des J.O….
Juste la petite satisfaction de voir encore macron passer pour un c..
Seul ce que nous explique Hector Poupon dans ce très pointu article est important.
Et pourtant nous allons attendre longtemps.
Un reportage sur France•3 confirme ce midi que Notre-Dame ne devrait rouvrir qu’en décembre 2024. Les J.O. seront finis depuis un moment.
Idem pour le « super-métro » autour de Paris dont on espère une mise en service vers 2025/26 !
Pas de bol pour notre macrounet, encore une promesse non tenue 😊 !