Le tribunal oblige le Ministère de la Santé à rendre public son rapport sur la gestion Covid
Mais pourquoi donc le cachait-il ?
Mais pourquoi donc le Ministère de la Santé, notre serviteur (en latin minister : serviteur, domestique…) voulait-il nous le cacher, à nous ses employeurs et payeurs ?
C’est le Parisien qui avait porté l’affaire au Tribunal administratif. Véran avait demandé en juin 2020 un audit sur « l’expérience de pilotage de la réponse à l’épidémie de Covid par le Ministère de la Santé« ... Or, en février 2021, le Ministère de la Santé (avec Véran à sa tête) interdisait à l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) de transmettre son rapport au Parisien qui l’avait demandé. Le Parisien a fait appel auprès du Conseil d’Etat qui a renvoyé au Tribunal administratif…
En février dernier, 2 ans plus tard (il n’est jamais trop tard pour bien faire, surtout que l’élection présidentielle a pu avoir lieu tranquillement entre-temps) le Tribunal administratif de Paris a ordonné que le rapport soit enfin transmis à qui le demande. En effet, le rapport « ne revêt pas, contrairement à ce qui est soutenu, le caractère d’un document préparatoire à une ou plusieurs décisions administratives. » Il en résulte que « la décision par laquelle le ministre de la Santé a implicitement refusé de communiquer à Mme Cazes (notre journaliste) le rapport qui lui a été remis le 26 novembre 2020 doit être annulée ».
En effet, il appert de la lecture du rapport que… rien ni personne n’a géré vraiment la crise du Covid (ben oui, avec Macron tout le monde obéit à Mc Kinsey, personne ne réfléchit, organise, utilise ses neurones et ceux des innombrables conseillers payés par le contribuable).
Où l’on voit que chacun des acteurs, des responsables avait une vision très limitée de ce qui se passait et que personne ne pilotait l’avion.
Où l’on voit un nombre incalculable de choses ENORMES et notamment que 610 000 seniors en Ehpad ont été carrément oubliés de tous les dispositifs... C’est pour cela qu’ils en ont achevé des quantités incroyables au Rivotril ?
Voici quelques-uns des titres et sous-titres du rapport
Face à son ampleur, la gestion de la crise s’est fragmentée et désorganisée
Une prise en compte de la variabilité des situations de terrain qui aurait pu être plus forte
Une organisation très évolutive et rapidement très dispersée
Une production normative d’une ampleur exceptionnelle entraînant parfois des difficultés d’appropriation par les ARS et les professionnels
1.2.1.2 L’arrivée massive des renforts a participé à une certaine désorganisation du centre de crise sanitaire et plus globalement de la direction de crise
La production législative et réglementaire a permis de déroger aux cadres habituels
Les recommandations ont été concertées avec les partenaires habituels du ministère mais n’ont pas toujours permis de sécuriser les pratiques des professionnels de terrain
Pour lire les 205 pages du rapport, c’est ici :
https://www.igas.gouv.fr/IMG/pdf/2020-058r_avril_2023_.pdf
L’article du Parisien :
Il en ressort le constat d’une organisation de centre de crise sanitaire « peu lisible, en externe comme en interne » et « très mouvante », ainsi que d’un processus de décision « fragmenté ». « L’organisation de la gestion de crise a connu un éclatement tel qu’au cours de la mission, aucun acteur rencontré n’a semblé en avoir une vision claire et exhaustive, quel que soit son niveau hiérarchique », notent les auteurs du rapport.
Confronté à un événement sanitaire de très grande ampleur, à la fois inédit et imprévu, le centre de crise sanitaire de l’avenue de Ségur s’est rapidement trouvé « submergé » et « n’est pas parvenu à s’organiser de manière structurée et durable ». Avec pour conséquence, dans cette ambiance chaotique, plusieurs défaillances : par exemple, l’oubli durant les premières semaines de la crise des quelque 611 000 seniors résidants dans les maisons de retraite (Ehpad) ou encore une dispersion en pure perte des efforts de la recherche médicale.
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Ils ont tués nos aines pour piquer leur retraite et les moutons PIQUOUSES vont suivre.. il faut vite les JUGER….
Tout, va se savoir, les casseroles pourri des salopards politique commence à sentir mauvais et il faudra bien un jour qu’ils payent, tous ces complotistes, car les complots covid ce sont bien eux qui les ont mis en oeuvre, non, dans le but de s’enrichir tout en nous faisant crever. Manque de pot pour eux, on a les nom, et ils sont grillés.
Ce n’est pas le COVID 19 qui a tuer les séniors mais les maisons de retraite qui ont contribuer à la mort de ces séniors qui n’ont pas mérité de subir ça car ce sont des êtres humains et la justice réclame un rapport du ministère de la santé sur les conneries qu’ils ont fait durant la grande Dinguerie Covidiste .Véran le Névrosé et Salomon précisément Jérôme Salomon le fossoyeur de la Santé à ne pas confondre avec Salomon Olembé un joueur de foot auront des comptes à rendre !
Il va bien falloir leur passer la corde au cou à toutes les ordures qui ont piquer nos anciens comme des chiens.
à quand un rapport sur les millions économisés par l’Etat pour retraites non versées du fait du décès des bénéficiaires pendant cette période/covid ?
tu crois ça toi? ils sont en train au contraire de vouloir économiser encore plus avec la réforme des retraites .
@ rebelle
Il n’y a pas de petites économies pour nourrir les racailles, les clandestins pudiquement renommés migrants et d’autres « refugiés » sur le dos des bosseurs corvéables à merci exclus des aides au profit des nécessiteux économiques importés volontairement par nos gouvernants.
Il me semble que pour ces séniors l’État s’est chargé gratuitement – tout de même avec l’argent du con-tribuable – de leur euthanasie à l’insu de leur plein gré. Une répétition ni vue ni connue sous prétexte de pandémie, en somme.
En résumé, personne n’est responsable, c’était tellement énorme qu’il était impossible de le cerner.
Mais, ils maitrisaient quand même leur incompétence comme dans d’autres domaines.
Circulez il y a rien à voir.